Ce roman est inégal. En effet, le début m'a captivée. Comme Ellen, je suis partie à la découverte de la famille Weaver, de Florence, d'une ambiance générale qui m'a plu. Je me suis également attachée à Juliette.
Lorsqu'Ellen est victime de la bêtise d'une personne égoïste et superficielle, j'ai partagé sa souffrance et son amertume.
Ensuite, il y a eu un passage à vide. Ellen travaillant pour d'autres, tombant encore amoureuse de la manière la plus caricaturale qui soit... j'ai lu ces parties avec détachement. Les personnages étaient superficiels, et l'intrigue sonnait faux.
Les dangers des actions d'Arturo, puis l'emprisonnement dans un camp, toutes ses conséquences de la seconde guerre mondiale sont des choses à ne jamais oublier, des choses qui ne doivent pas se reproduire. Seulement, dans «
Fenny», tout cela m'a paru peu crédible.
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