Tome 4. Ça se laisse toujours lire, mais ça casse quand même pas trois pattes à un canard.
Déjà, le scénario, avec cette histoire de général séditieux qui pousse les sujets de son propre seigneur à la révolte, est un tantinet redondant et pas très inventif, de massacre de villageois en scène de débauche.
Ensuite, il y a des fautes d'orthographe dans les phylactères, ce qui était déjà le cas au tome précédent.
Enfin, les personnages deviennent prodigieusement agaçants, entre Tchen-Qîn/Mizu, le samouraï d'élite, pardon, le "lapin", qui est devenu une vraie lavette et ne réagit plus quand il voit ses amis se faire violenter, Toshi "ah oui c'est vrai, t'es une tapette !" (on le saura), Kaï et sa bêtise proverbiale, Pimiko Zu, cette femme de caractère qui se laisse abuser et humilier, on se demande bien pourquoi, par Nichiren le moine bouddhiste pervers.
Non, franchement, y a des moments, on se surprend à souhaiter qu'ils se fassent tous seppuku une bonne fois pour toutes !
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La couverture est très réussie et on sent dans ce quatrième tome une immense machination dont les rouages se sont déjà enclenchés. Les forts commencent à douter mais surtout les gens purs ne sont pas ceux qui se montrent tels quel et les impurs sont parfois beaucoup plus méritants. Ainsi certains commencent à penser par eux même et à se soulever contre l'ordre despotique établi.
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Les ninjas sont des samouraïs sans foi ni loi, des parias mercenaires, des pourvoyeurs de mort organisés en corporations et vendus au maître le plus offrant. Ils sont des tueurs sans scrupules.
- Tu n'es pas obligé de te sentir insulté par la vérité. La vérité ne blesse que qui veut bien y croire... (pl. 4)
Les 7 vies de l'épervier 3ème époque 3