Pourquoi certains, à cause d'une phrase, d'un mot, ou simplement quand ils se sont levés du mauvais pied, s'enferment-ils dans un mutisme obstiné qui peut durer des heures, voire des jours, sans se préoccuper le moins du monde de leur entourage ? A quoi ça sert de bouder ? Peut-on y remédier ? Jusqu'où sommes-nous prêts à nous investir pour sortir de ce chantage au silence, de cette rupture de la communication ?