François David5/5
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Et c'est moi que je vois
Résumé :
« Tous ces autoportraits ont été pris sans selfie, sans retardateur, sans filtre, sans trucage, sans vergogne » sur son téléphone portable par François David qui s’interroge sur le hasard de l’effet-miroir, sur la découverte, dans l’image, de soi … Mais lequel ? Le soi intime ? Celui que les autres voient ? ...
Le questionnement est tout à tour ludique, profond, universel.
Entre chiens et loups. On le sent miraculeusement, en tout le corps et les épaules, cet impossible instant et pourtant si tangible dans un relâchement inouï de tout l’être. Envie d’arrêter le temps. Ou plutôt de l’étendre infiniment. Un instant éternel, est-ce toujours un instant ?
François David. Premiers poèmes pour tous les jours.