Je serai relativement brève : si j'avais commencé la lecture de la série par ce tome, je ne l'aurai jamais poursuivi. Par exemple, Joe Gregory est franchement antipathique dans ce tome, et personne ne l'empêche, parfois, de faire n'importe quoi.
Je me suis perdue dans l'intrigue, entre mafieux, anciens, nouveaux, policiers, anciens, nouveaux, retraités, et le meurtre d'un jeune homme qui portait le pardessus de son grand-père. Perdu, oui, et pourtant, j'ai trouvé l'intrigue lente, poussive, longue. Je ne me suis attachée à aucun personnage, puisque aucun d'entre eux n'était attachant.
Bref, un livre que j'oublie au fur et à mesure de l'écriture. Il faut dire que je venais de lire Robicheaux de James Lee Burke, et c'est tout de même plusieurs crans au-dessus.
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Voici un auteur américain dont j'ignorais l'existence ! Ne lisant que peu de polars, ma marge de manoeuvre est limitée. Deux détectives enquêtent sur la mort d'un jeune bagagiste dans un aéroport new yorkais. C'est assez psychologique avec un sens de l'atmosphère glauque et une façon de dessiner les personnages qui est assez fine. J'ai bien aimé.
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Un bon polar, un des premiers que j'ai lus lorsque j'étais encore au collège et commençais à m'intéresser aux romans policiers. C'est une enquête classique mais plutôt bien ficelée, qui nous permet de découvrir le New York des années 70.
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Il en va ainsi des gens sympas : au fond, ils ont envie d'aider. Il suffit donc d'attendre que leur bon sens s'efface devant notre insistance.
Voir à travers l'épais brouillard du chagrin, c'était là une technique de survie que les flics devaient apprendre.
Le commerce avec Dieu devrait être une affaire privée, entre Lui et vous.
- Je l'ai mis au monde, dit-elle. Je veux voir où il est mort.