Le livre est très intéressant. Il montre les jours de l'évacuation montre les émotions de tous les camps
zadistes comme gendarmes et aussi les violences dans les deux camps et les bonnes personnes dans les deux camps Mais ça va plus loin il y a des réflexions sur le sexisme que subit la préfète, sur la recherche du scoop que la rédaction demande aux journalistes et comment ils ne croient pas forcément les journalistes si le ministère leur dit autre chose,, sur le problème de " il ne faut pas trop montrer ses émotions" dans la gendarmerie. Même si c'est juste des passages car bien sûr elle se concentre sur la
ZAD. Pourquoi que quatre ?
Parce que même si elle montre de l'empathie pour tout le monde même , que ce soit les zadistes, certains de ses collègues ou les gendarmes je trouve qu'elle montre encore plus d'empathie pour la préfète et pour la personne de l'ACIPA interrogé qui pour moi sont les personnes pour qui j'en ai le moins. de la façon dont c'est décrit la préfète me semble plus " jouer dans les deux camps ( zadistes et policiers ) que neutre même si j'ai quand même de l'empathie pour le sexisme qu'elle reçoit . Quand à la personne de l'ACIPA qui s'apercoit que le préfète cherche à diviser les zadistes mais obéit quand même à la préfète,je n'arrive clairement pas à le comprendre