Des deux ânesses qui dormaient dans l'écurie derrière ma chambre, l'une frappait du sabot dans la nuit, sur le ciment, me tirant du sommeil. Son comportement intermittent, imprévisible, singulier, martelait de la solitude, de l'impatience, quelque chose que nous ressentons au travers des bruits, au travers des mouvements du corps qui nous enferment et nous menacent de ne plus nous entendre avec nous-mêmes, lorsque nous tentons de rejoindre la réalité, de nous réveil... >Voir plus