AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,76

sur 7014 notes
Au vu des nombreuses critiques et résumés déjà présents je me contenterai de donner mon avis sur cette lecture et cet ouvrage.

Encore un énorme Joël Dicker ! J'ai été emballée par cette lecture, du genre de celle qui vous empêche d'éteindre tôt la lumière. Il ne cesse d'y avoir des rebondissements et sincèrement l'auteur nous mène en bateau et vers de fausses pistes. On pense connaître le dénouement et non il n'en est rien et ce jusqu'à la dernière page !

Exceptionnel ! Énorme coup de coeur !
Commenter  J’apprécie          230
Je spoile donc je suis...

J'ai la sensation d'avoir été flouée, arnaquée, bafouée et j'en passe. 650 page digne d'un scénario hollywoodien mais c'est un polar que j'ai demandé. M'en fout de savoir comment les personnes rentrent en scène! Joël Dicker s'est-il laissé éblouir par les étoiles glamours suite à son adaptation cinématographique de son précédent roman avec le Docteur Mamour.... Dans ce dernier roman, Joël Dicker a oublié un point essentiel, moi lectrice intransigeante n'aime pas perdre mon temps. Lui faire bouffer 650 pages il faut avoir une bonne raison, non? Après deux heures de sommeil, je cherche encore les raisons de ma nuit écourtée.

Je spoile donc je suis, désolée mais il faut que je vide ma grande frustration...
Comment Joël Dicker a construit son roman? En mettant en place de pions qui avancent en un point central, une pièce de théâtre jusqu'à effleurer l'assassin.
Comment je démonte les pions de Joël Dicker? EN SPOILANT, j'en suis navrée.

On est parti. Stéphanie Mailer journaliste enquêtait sur une vielle affaire. Elle alerte Jesse le flic de la situation qui s'est planté à l'époque. Mais voilà, la miss disparaît et l'affaire Gordon qui s'est passé pendant LE FESTIVAL de la ville il y 20 ans est relancé. Rentre en scène les acteurs principaux Derek et Anna et toute une ribambelle de personnages dont certains ne méritaient pas une place d'honneur. Ex, l'entrée en scène de Dakota. Je cherche encore l'intérêt de cette histoire pseudo secondaire dans la disparation de Stéphanie Mailer. Elle a certes un rôle important dans un moment clé mais ses problèmes familiaux, je m'en fous un peu. A part me faire chialer sur sa vie merdique et être outrée par la famille Scalini qui vend la mort de leur fille pour une maison. Steven le gros cochon. Oui il a joué un rôle mineur à l'époque avec son livre dont on ne connaît rien au final. Il s'en sort indemne dans ce chaos total et en plus auréolé. La moral de l'histoire, ne jamais tromper sa femme quand on n'a pas les moyens. Mais pour le gros cochon ça lui a apporté la gloire, quelle nouille nouille sa femme, pfffff.

Continuons les pertes de temps.... Je spoile donc je suis....
Comment faire passer des flics de province pour des andouilles ? Appelez Joël Dicker. Une brigade où les hommes sont de crétins finis en commençant par Kirk Harvey. C'est quoi cette histoire à dormir debout, nous faire focaliser sur un festival, la pièce de théâtre. Soit dit en passant j'aurais aimé connaître la première version. Tout un speech sur un livre, on le trouve et après aucune allusion à part ce titre et ce nom surligné. de toute façon, ce serait grappiller encore des pages pour nada. Alors le pompon, ce final où le meurtrier se dévoile, comme ça sans rien de plus, pour se rendre qu'on est loin du crime organisé mais juste un pseudo remake d'Hitchcock. Et le baiser, quelqu'un peut me dire quand il a senti le début d'une flamme?

Une lecture addictive, oh que oui, j'ai dévoré en finissant par une indigestion. le dessert n'a pas été accueilli en apothéose. Oui Joël Dicker est excellent pour narrer une histoire, voire un bon scénario. Mais ce besoin de nous en mettre plein la vue avec tous ces pions sans réel liens avec l'enquête m'a enlevé tout appétit. L'impression d'avoir eu un scénario entre les mains en long en large et en travers, d'ailleurs la dernière page le prouve. Joël Dicker avez vous trouvé votre beau gosse pour jouer Jesse Rotenberg? C'est ironique bien entendu vu ma critique assassine. Ma note reste correcte car l'auteur sait écrire et il a réussi à me garder captive jusqu'à la dernière ligne.
Commenter  J’apprécie          233
Catastrophique ! Quelle déception, mais quelle déception ! J'avais apprécié La Vérité... (titre trop long à mon goût) même si ce n'était pas de la grande littérature, disons que c'était distrayant à la plage avec une bière.

Là, passé les cent premières pages, j'ai été obligée de faire des pauses à intervalles réguliers pour digérer la quantité invraisemblable de répétitions, d'incises inutiles, de critiques diverses et variées et on a même droit au ciel constellé d'étoiles. Sérieux ?

Avec les répétitions à presque toutes les lignes des prénoms des personnes - et oui, il ne faudrait pas que le lecteur se perde dans cette jungle - on se retrouve quasiment à lire un scénario de série B américaine ! Ça tombe bien, l'histoire se déroule aux US. Est-ce que l'auteur s'y est rendu ou s'est-il imprégné des clichés des fameuses sitcoms ?
Je suis désolée, mais il ne faut pas prendre le lecteur pour un imbécile !

Joël Dicker n'est pas le premier à écrire un livre, que je qualifie de médiocre, mais de là à nous le vendre - trop cher, pour ce que c'est - comme un roman incroyable, il y a un monde !
S'il publie d'autres romans, je passerai mon chemin sans me retourner... il y a bien mieux à lire.
Commenter  J’apprécie          223
Ayant de bons souvenirs des précédents romans de l'auteur, c'est en toute confiance et surtout sans envie de chercher la petite bête que je me suis engouffrée dans celui ci.
La machine est bien huilée, au moins pendant une bonne centaine de pages et puis...c'est du vent.
Certes ce roman se lit très vite (heureusement, 630p tout de même)mais que de poncifs, de redites, de clichés ; désespérant par moments.
En 94, lors du premier festival inauguré dans une lointaine banlieue de NY, a lieu un quadruple meurtre .Deux jeunes flics bouclent l'affaire.
En 2014, disparaît une jeune journaliste, S.Mailer, d'autres meurtres s'ensuivent.Les deux jeunes-vieux flics reprennent leur affaire apparemment mal traitée des années auparavant.
Heureusement que l'écriture est d'une banalité affligeante, pas d'efforts à fournir de ce côté là, parce que se greffent sur cette histoire une trentaine de personnages secondaires, et que les chapitres alternent systématiquement d'une période à l'autre.
En me relisant, je me trouve un peu sévère, mais c'est parce que j'attendais un bon moment de lecture et que je suis déçue.
Commenter  J’apprécie          214
Je suis déjà une fan inconditionnelle de Joël Dicker ce roman me l'a confirmé. Nous sommes en 2014 Jesse Rosenberg, policier décide de prendre sa retraite anticipée et changer de cap mais 5 jours avant son départ une jeune journaliste nommée Stéphanie Mailer vient à sa rencontre et lui affirme qu'il s'est trompé de coupable il y a 20 ans pour un quadruple meurtre à Orphéa. A l'époque la résolution de cette enquête avait fait la renommée de Jesse et de son collègue Dereck .
Et là tout bascule dans la tête de Jesse. Un course folle se déclenche dès la disparition de la journaliste.
On retrouve le style de Joël Dicker, une écriture fluide, des va et vient entre passé et présent. Un texte qui maintient en haleine, une multitude de personnages et de suspects et de faux témoignages qui par moment noient le lecteur mais créent un effet de suspens. On doute de chacun et comme à chaque fois avec cet auteur la surprise est au rendez-vous lors de la découverte de l'auteur des crimes et de son mobile.
Commenter  J’apprécie          200
Bon... je dois dire que je me suis accrochée pour aller jusqu'au bout. Entre un début prometteur et une fin "pas mal", entre les deux, je me suis vraiment ennuyée. Ça traîne en longueur (d'accord, il ne faut pas que le dénouement arrive trop vite mais là, c'est faire durer le calvaire pour rien), c'est éparpillé, avec des scènes (de théâtre) totalement invraisemblables. Désolée...
Commenter  J’apprécie          203
Voilà je referme un pavé.... et il est peut-être là le problème. Les gros livres ne m'effraient pas, bien au contraire. Mais ici, je me dis qu'on aurait pu enlever une centaine de pages, voire plus. Je me suis surprise à me dire: "Je l'ai déjà lu ce qui écrit....". L'impression que parfois l'auteur nous rappelle les faits mais c'est justement ça qui pêche : on veut que ça avance et non pas lire quelque chose qu'on a lu 200 pages avant. C'est dommage, l'intrigue est plutôt bonne, l'histoire en elle-même m'a plu. J'ai aimé passer de 2014 à 1994 alternativement. J'ai aimé suivre les personnages comme Dakota ou encore Steven... j'ai été touché par Darla et Natasha bien qu'étant des personnages secondaires. Bref, une lecture mitigée.
Commenter  J’apprécie          190
J'avais déjà lu un livre de Joel Dicker et comme pour le premier, j'ai eu peur d'attaquer cet Everst littéraire.

Et à la fin de ma lecture de ce roman, je me suis remémorer mon impression à la fin du premier et au final elle est identique. Wahou, j'adore.

J'adore l'ambiance qui se glisse au fil des pages, comme si j'étais au States avec l'écrivain.

J'adore le point de vue de tous les personnages même si parfois on se mélange sur qui est qui.

J'adore l'enquête, qui bien que longue, nous détourne tout le temps de la vérité jusqu'aux dernières pages.

Bravo pour tous les détails qui peuvent donner l'impression de perdre le lecteur mais qui ont souvent une grande importance.

J'ai mis du temps à sortir ce livre de ma PAL car je ne me souvenais pas bien du sentiment que Joel Dicker avait provoqué en moi avec le premier roman que j'ai lu de lui. Mais maintenant, je n'ai qu'une envie, me replonger dans un roman de cet auteur.

A bientôt M Dicker.

Elise__♥
Commenter  J’apprécie          192
Il était attendu ce dernier roman de Dicker... et malheureusement, ce n'est pas du tout le coup de coeur attendu !!! Ce livre a au moins le mérite de se lire rapidement malgré le nombre de pages impressionnants... Une lecture addictive, mais avec quelques lacunes qui me font mettre 3 étoiles... Il y a d'abord les personnages, auxquels je ne me suis pas du tout attachés. Et puis, des longueurs qui gâchent un peu la lecture... L'auteur revient souvent sur les mêmes éléments, donnant l'impression de faire du sur place... Je dois bien avouer qu'il m'est arrivé quelques fois de lire en diagonale quelques passages... Mais j'ai aimé le décor, cette petite ville côtier, où l'on sent bien des non-dits et des secrets... Bref, je suis contente de l'avoir lu, mais il n'égale en rien La vérité sur l'affaire Harry Québert !
Commenter  J’apprécie          193
Un livre sans réel surprise. Malgré tout, j'ai bien accroché à l'ambiance générale, à toute cette flopée de personnages dont on sait bien qu'ils vont finir à un moment ou à un autre par se retrouver mêlés à l'intrigue principale. Il suffit juste de tourner les pages et de constater que nous ne nous sommes pas trompés.
Bon on devine très vite la fin entre Anna et Jesse, j'avais compris tout de suite que la nuit noire était le titre d'une pièce de théâtre et pas le nom d'une prétendue organisation criminelle ou je ne sais quel nom de code lié à des phénomènes surnaturels.
Évidemment, comme il est de coutume avec ce type de roman fleuve, des longueurs, des chapitres sans doute inutile (je pense spontanément à l'enfance de Jesse Rosenberg, personnellement je m'en serais passé). Une écriture régulièrement répétitive, utilisation du même mot à 2 ou 3 lignes d'écarts (immédiat, compromettre...) sans oublier l'expression quadruple meurtres qui revient à tout bout de champ.
Par contre, grâce à ce livre, j'ai découvert un mot, à savoir "le lobby d'un hôtel", c'est déjà pas si mal. J'avoue que je connaissais pas ce terme.

Dans la série invraisemblances, je mentionnerais le fait qu'il n'y a pas de caméras de surveillance dans le grand théâtre le soir de la représentation de la nuit noire. Bah voyons, tout le quartier est bouclé, le lieu est soit disant sous haute protection, les autorités policières se doutent que l’assassin sera dans la salle mais comme c'est ballot on oublie de mettre des caméras à l'intérieur !

Un peu d'humour avec les délires de Kirk Harvey. Certains trouveront sûrement que c'est grotesque, lourdingue, moi j'aime bien. Suffit de le prendre au second degré. Mais bon je prends tout au second degré, je suis bon public pour ça.

Quelques petites réflexions sur le poids des réseaux sociaux, le harcèlement avec le personnage de Dakota, sur le fameux quart d'heure de gloire, la difficulté de créer. Beaucoup de personnages veulent finalement devenir écrivain dans ce roman ! J'ai aussi bien aimé la classification que fait Ostroski des différents types de romans.

Le happy end est quant à lui ultra méga classique, résolution de l'intrigue, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes et bye bye Orphea vous pouvez reprendre une activité normale.
Commenter  J’apprécie          170





Lecteurs (16175) Voir plus



Quiz Voir plus

Savez-vous la vérité sur l'affaire Harry Quebert ?

Que sont Harry et Marcus ?

père et fils
frères
amis
collègues de travail

24 questions
2485 lecteurs ont répondu
Thème : La Vérité sur l'affaire Harry Quebert de Joël DickerCréer un quiz sur ce livre

{* *}