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4,17

sur 29347 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
c'est certain, tu ne te fais pas de noeuds au cerveau. Et au cas où quelques neurones seraient partis en vacances, l'auteur s'amuse à recopier des passages entiers déjà lus précédemment... L'idée de départ du roman de Joël Dicker, La vérité sur l'Affaire Harry Québert, est d'écrire un livre sur un auteur qui écrit un livre au sujet d'un autre livre. Une sorte de mise en abyme (procédé périlleux, ambitieux et intéressant) doublée d'une intrigue policière qui fonctionne, disons, sur le premier quart du roman. Pourquoi ça se casse la figure ensuite? - D'abord la mièvrerie de l'écriture. Des formules très "bons sentiments" sur l'amour impossible de deux êtres, façon comédie romantique à l'américaine. On peut le voir comme une critique de la société américaine, mais honnêtement je doute que ce soit fait exprès et quand bien même, ça a vraiment enlevé de l'intérêt à ma lecture. - Les personnages caricaturaux. On n'y croît pas: la mère du narrateur est trop cruche, l'ami Harry trop nostalgique, l'éditeur trop vénal etc... etc... - La répétition de pans entiers de texte - L'intrigue: trop de rebondissements, pas toujours liés à l'objectif de découvrir l'auteur du meurtre, avec des flash-backs censés relancer l'action mais qui finissent par décourager: on ne se sent plus concerné par la recherche du meurtrier puisqu'on sait que dans quelques pages une énième nouvelle révélation va remettre en cause notre raisonnement. - La fin du roman qui traîne, traîne, trazzzZZZZZ Un petit résumé succinct tout de même, pour celles et ceux qui veulent lire un roman léger: le narrateur Marcus Goldman, auteur d'un premier livre à succès, en difficulté pour écrire son second roman, se tourne vers son maître, Harry, lui même auteur d'un best-seller. C'est alors que Marcus se retrouve à enquêter sur la disparition mystérieuse de la jeune Nola, qui a jadis vécu un amour défendu et impossible avec Harry. le jeu de cluedo peut commencer.
Lien : https://yaourtlivres.canalbl..
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Oui, c'est une mauvaise note comme je n'aime pas en mettre .

Mais quand on se penche sur les prix de cette oeuvre ...notamment celui de l'Académie Française ... ça laisse dubitatif ...

Certes, je ne suis ni une pro de l'écriture, ni de l'édition, ni une spécialiste de la langue Française , mais je lis quand même pas mal et si, même moi j'ai trouvé ce style pauvre ....

Je tiens à préciser que je ne juge aucunement ceux qui ont aimé, je comprend qu'on soit pris dans cette enquête en mode page turner , bercé par les angles arrondis que l'auteur met en place .
Surtout que l'oeuvre a 10 ans .(pas 100 ans non plus ..)


Bon venons en a cette critique :(préparez vos tomates )

-Oui, j'admets que ce livre est prenant et qu'il est dur a lâcher.Sa construction est plutôt bien pensé , je ne le nie pas .

Vous me direz surement " Et bien alors ?Ce n'est pas ça le plus important ? "
Ca pourrait l'être ..si il n'y avait pas eu tout le reste ...

-Nombreux sont ceux qui lui reproche son style pauvre .
Oui, je suis d'accord !

Des fois ça ne me gêne pas quand le reste me prend par la main .
Sauf que ce qui agace ici,c'est que l'auteur va mettre en scènes 2 personnages fort ( le narrateur Marcus Goldman et son mentor Harry Quebert ), qui visiblement sont des icônes de la littérature .

Je demande donc a lire leurs extraits en conséquences, ou alors , à ne pas les fournir du tout et me laisser supposer , ...à la rigueur ... mais on va constater que ces soit disant génies de la littérature écrivent très mal ...
c'est presque insultant pour les lecteurs .

En plus de ça ,l'auteur nous présente les conseils d'écritures de ce cher Quebert ....sauf que quand vous lirez ce que Quebert a écrit vous vous demanderez dans quel société les deux écrivains évoluent .
Au lieu d'élever leurs styles, leurs intelligences ou leurs cultures l'auteur a visiblement préféré baisser le niveau général de tous le monde ..comme ca ils ont l'air moin ***, c'est ca ?

D'ailleurs dans ce monde de l'édition , on ne verifie pas ses sources avant de publier et on corrige après en se disant "ooh mais zut j avais oublié de verifier ca ", et tous le monde adore !

Pour résumer ce point , avoir assez d'égo pour donner des conseils d'écritures, d'écrivains , mettre deux écrivains reconnus en scènes ..et proposer de leurs plumes ainsi que celle de l'auteur une tel faiblesse .... c'est presque de la provocation .Mais bon, j'imagine qu'en ramenant tout au monde de l'écriture , en parlant de la difficulté de ce milieu , ca en a flatté certains j'imagine ...

-Ce point là est lié évidement mais distinct : "Nola chérie ", "Harry chéri ".

Je vous épargne les extraits d'une mièvrerie insolente .
Je n'ose même pas les comparer à la bibliothèque verte , je ne voudrais pas les insulter .
Cette relation , dont on reparlera , n'a aucune profondeur .
Sur 600 pages .Rien de plus profond que ça .

La rencontre se fait sur un regard .
Et les dialogues en guimauve commence sans jamais aller plus loin .

(Je ne suis pas une fan de lectures romantiques mais j'ai adoré par exemple la bd " malgré tout " que je trouve plus fine , plus romantique , plus intelligente bien qu'on soit dans un cadre littéraire très doux et sans vagues .)

On se demande même en quoi c'est une relation tellement c'est culcul ..a moin que ..oui ..bien sûr ..!

Peut être qu'en étant ainsi, on choque moin, on arrondit les angles , et on se protège d'une critique qui serait choqué par une telle relation entre un adulte et une enfant .
Parcequ en lisant ses lignes on dirait que les deux ont 10 ans ...et nul sexe n'est évoqué .Comme ca dans le doute , on dit qu'il ne c'est rien passé .

-Arrondir les angles , ce n'est pas plus choquant ?
Celui qui choque clairement, au moin il s'expose .

Oui, parceque quand je lis que , oui mais en même temps ,eux, "c'est de l'amour véritable " .

Et puis en même temps ," il ne l'a pas tué,c'est sûr" .
Ah , bah ca va alors !

--> donc ducoup il souffre -->ducoup c'est une victime ?

muai rappelons les âges : 34 et 15 ans , merci .

Je ne crois pas que j'argumenterais plus ce point , que ceux qui défendent une telle relation se présente svp.

-Il y a donc un petit soucis psychologique dans cette relation, non ?
Alors je vous le donne dans le mile : le soucis ,c'est la fille , bien sûr !

Lui va très bien c'est évident , quand on sort avec une môme , logique que personne ne remettent ça en doute .

D'ailleurs la fin il nous le dit (spoil) comme ca ,si vous culpabilisiez un peu, ca va mieux !!

-D'ailleurs , les femmes .... on en parle ?
Toutes hyper caricaturés.
Je ne m'étendrais pas , c'est affligeant .
Les hommes bien sûr, pauvres victimes en majorité ...

Un peu d'équilibre dans tout ça n'aurait pas fait de mal ..

En bref =

une enquête prenante et bien construite même si les 600 pages n'étaient pas nécessaire au vu des quelques répétitions , ça reste un page turner efficace .
Je punie cette oeuvre de ces critiques surévalués pour moi et où je ne comprend pas un prix de l'académie Française alors que tant de belles plumes nous sont proposés :

Mais il a su mettre le monde littéraire au dessus du reste dans ses propos ( et non pas dans son écriture ..), il a parlé de ses difficultés alors ça émeut un peu ceux qui sont dedans j'imagine ...

Peu de Styles , des phrases peu profondes avec peu d'interêts.
Elles veulent se donner parfois un style philosophique mais sont affligeantes de banalité ou d'égo (sur le monde de l'écriture )

" Si les écrivains sont si fragiles, Marcus, c'est qu'ils peuvent connaître 2 sortes de peines sentimentales, soit deux fois plus que les êtres humains normaux".

L'auteur se permet même des conseils de grands écrivains...
et surtout il va se permettre d'arrondir les angles pour faire passer une relation entre une enfant et une adulte comme du grand amour .
Peut être un peu dérangé psychologiquement ?...Oui il en parle ..mais concernant la fillette bien sûr , l'homme est tout a fait sain d'esprit .....
Et puis il n'est pas coupable de meurtre visiblement donc on en déduit qu'il est innocent .Il est donc innocent de tout ;Bravo le raccourcit !

Donc moi aussi je me permet les raccourcis , je ne met qu'une étoile .


Je m'excuse sincèrement au près de tout ceux qui ont aimé, mais ca faisait beaucoup trop de choses qui m'ont énervés pour ne pas vous en parler .

Mon grand regret à été que ce livre était un cadeau et que j'aurais aimé pouvoir rendre une belle critique, et vous dire que j avais adoré..

Quand j'adore je ne fait pas les choses a moitié et j'essaye d être souvent la plus objective possible mais pour moi ce sujet est trop sérieux pour me concentrer uniquement sur l'aspect page turner .

Et je ne prétend aucunement avoir raison .Cet avis n'engage que moi , il reflète mon propre ressentis .

Bonnes lectures à tous !

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(Normalement, c'est ici la version sans spoilers de cette critique - la version avec spoilers étant sur le blog. Mais faites attention tout de même, on ne sait jamais...)

Notre histoire est celle de Marcus Bidule, un écrivain qui a réussi (je dois vous faire un aveu : en vérité, Marcus ne s’appelle pas Bidule, mais j’ai oublié son nom et je n’ai pas le livre sous les yeux à l’heure où j’écris cette chronique). Bref, Marcus enchaîne les soirées mondaines, vit dans son grand appartement où il regarde le base-ball sur son gigantesque écran plat avec son agent et presque seul ami, et il a même eu une liaison avec une actrice de série qui fait la une de la presse people. Quand on y pense, cette situation de départ suffit presque à placer notre roman dans la catégorie conte ou science-fiction. Blague mise à part, notre écrivain à succès rencontre un problème de taille : Marcus ne sait pas quoi écrire après le flamboyant succès de son premier roman. Il se tourne vers son ami et mentor Harry Québert, qui vit à Aurora, un coin un peu paumé, loin de l’agitation new-yorkaise. Sauf qu’un scandale éclate : le corps de Nola Machin, une jeune fille disparue il y a des années, est découvert dans le jardin de Québert, et on apprend qu’Harry et elle ont entretenu une liaison durant l’été 1975. Elle avait 15 ans et lui un peu plus de 30. Pire, le chef d’œuvre d’Harry Québert, étudié aujourd’hui dans les écoles, serait inspiré de cette relation amoureuse qui, Marcus l’apprend bientôt, l’auait durablement marqué toute sa vie. Si l’estime accordée au roman pâtit déjà de sa source d’inspiration (n’est pas Nabokov qui veut), le problème majeur est tout de même qu’Harry Québert est accusé du meurtre de Nola. Marcus décide alors de rester à Aurora le temps qu’il faudra pour comprendre ce qui s’est passé. La nécessité de sortir un nouveau livre l’amène à un projet fou : et si son prochain ouvrage révélait la vérité sur l’affaire Harry Québert ?

Alors, il n’y a pas à dire, le roman est véritablement haletant… Je l’ai lu quasi d’une traite, en une journée, et je me suis même dit que je n’avais pas ressenti une telle urgence de lecture depuis longtemps. Mais il y a quand même beaucoup trop de conventionnel et de cliché dans cette histoire pour que j’en sorte tout à fait satisfaite. Alors, je me demande… Peut-être ses prix m’ont-ils fait attendre autre chose ? Possible, mais pas que… Parce que le livre porte en lui une relative prétention littéraire, puisqu’il met en scène un écrivain et que chaque chapitre est entrecoupé d’une des leçons du mentor Québert à son élève. Certaines étaient pas mal (j’ai même corné une page sur l’une d’entre elles), mais la plupart sont au mieux des poncifs. Et la figure de l’écrivain qui recueille les suffrages, l’argent et l’admiration tout en livrant une production d’une excellente qualité relève un peu trop du poncif à mon sens. Ce qui m’étonne le plus, en fait, c’est que ce roman ait eu le prix du roman de l’Académie Française. Pas que j’idéalise du tout l’Institut, mais ça livre au mieux une vision fantasmée de ce qu’est un écrivain (avec un magnifique écrivain génial et maudit révélé avec moult effets, d’ailleurs). D’autres clichés, enfin, sont difficiles à ignorer à cause de leur récurrence : je pense notamment aux appels répétés de la mère du narrateur, caricature de la mère juive envahissante qui ne comprend rien aux besoins réels de son écrivain de fils pour lui répéter en boucle qu’il doit se ranger et épouser une gentille petite femme qui prendra soin de lui.

En somme, si je n’ai pas boudé mon plaisir sur le moment, trop de petits détails ça et là m’empêchent de dire que j’ai réellement aimé ce livre. Et ça m’embête d’autant plus qu’une partie de la résolution me plaisait beaucoup, mais comme ça ne tient pas aussi bien sur tous les aspects, je garde juste l’impression d’un récit bancal. Beaucoup d’effet, et un petit manque de fond. Et pourtant, c’est bête, ça partait bien !

Si vous n’êtes pas du genre à vous poser mille questions après une lecture et si vous avez envie d’un moment de suspense, le roman pourrait peut-être vous plaire. Même si je me dis que lorsque j’ai envie de répondre à un bouquin qui nous balance tant de complexe à la figure : Mais c’est plus compliqué que ça… c’est qu’il y a un petit truc de manqué quelque part.
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Puisque ce livre a été loué par les lycéens et L Académie Française, je l'ai lu jusqu'au bout sans sauter de passages de peur de louper quelques lignes superbes ! J'ai cherché ! En vain ! C'est un thriller haletant, techniquement bien construit , mais pour l'intrique et les énigmes à découvrir, c'est un peu surréaliste. Et puis sur la fin , on passe d'un suspect à un autre, c'est épuisant ! Si le lieutenant Colombo avait enquêté, on aurait fait l'économie des dernières 150 pages.
Les lycéens ont du primer le bouquin pour sa rédaction simple et efficace, et L Académie Française pour être dans le coup !

Mais il y a aussi dans ce bouquin comme une mauvaise comédie burlesque sur les USA, tellement ses personnages sont grotesques se débattant dans d'improbables situations. Harry Quebert en John Irving professeur-boxer du New Hampshire dont le livre qui relate son amour cul-cul la praline est écrit par un autre, Marcus et son envahissante mère juive, Nola remake de Sissy Spacek dans Carrie au Bal du Diable Et (je préfère Sissy Spacek). Et que dire des autres personnages tous sortis de médiocres séries B que les studios d'Hollywood fabriquent à la chaîne ? Tous des caricatures ! Jenny-bimbo qui a du être,quand elle était petite, lauréate d'un concours de miss, Gahalowood, bon nounours de policier, ronchon au grand coeur,etc.
L'auteur serait-il de ces Français-Suisses qui aiment se payer la tête des amerloques ? On peut le penser ! Mais Je préfère quand les yankees se moquent d'eux-mêmes et dans cet exercice, un John Irving reste un maître et son Monde selon Gap une oeuvre d'art.
En conclusion, quel tapage pour un bouquin dans lequel l'écrivain a appliqué des recettes d'écriture éprouvés! Et dans le polar, un Menkell maîtrise mieux.
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Ça avait bien démarré. Mais arrivé à la fin, je me suis demandée si on y arriverait à la fin.

Il trouve enfin la solution et quand il l'a, non, il faut encore chercher. de rebondissements en rebondissements, ne me demandez pas comment cette histoire fini, je n'en sais rien.

Je n'ai pas terminé le livre.
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je n'ai pas eu la force de le terminer, c'est très rare chez moi. J'ai lâché au bout de 250 pages, on peut tenir à la rigueur pour l'intrigue mais au bout d'un moment c'est plus possible. Il faut m'expliquer les 2 prix littéraires. Des dialogues à la "je t'aime moi nos plus", et l'auteur qui prétend savoir comment on écrit un chef-d'oeuvre, si il y a une "recette" (je rêve) il faut qu'il l'applique pour lui-même.
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Passionnée au début, ennuyée ensuite, puis réellement pressée de terminer le livre tant je me sentais embourbée dans cette histoire qui n'en finissait pas.... j'ai lu ce livre sans plaisir, clouée chez moi suite à une mauvaise chute.
Bref, ce fût un passe temps, sans plus..............
J'ai découvert que l'on peut écrire 600 pages sans vraiment dire grand chose.
J'ai découvert comment un auteur vous parlant des mouettes peut se croire ensuite inoubliable..... pour ma part, ce n'est pas un livre que je classerai dans les "inoubliables".......
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vite lu, vite oublié... le dénouement est plat, inutile. l'écriture, simplette...
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Une intrigue alléchante et bien ficellée, gachée par des personnages secondaires et des dialogues caricaturaux . Dommage, on a vraiment l'impression d'être passer à coté d'un très grand roman.
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Emportée par l'engouement d'amis, j'ai entamé ce livre il y a plus d'un an avec la promesse de passer un bon moment. Déjà, le début m'était difficile car envahi de clichés (sur la mère juive, l'enfance à l'américaine, la vie d'un écrivain…) puis je l'ai abandonné quant au bout de quelques pages, Marcus ayant trouvé refuge chez Harry, l'auteur nous décrit Harry sortir de sa cuisine avec « un tablier de femme ».
Un tablier de femme ? En 2012 ? J'ai mis du temps à comprendre que c'était un simple tablier de cuisine et je ne pouvais qu'imaginer Harry habillé en soubrette… Ayant la désagréable impression de lire un mauvais roman de gare des années 90 alors qu'on m'avait promis LE livre de la décennie des romans policier, je n'ai pas continué.
Puis finalement je l'ai retrouvé récemment dans un coin de ma bibliothèque et je me suis décidée à lui laisser une seconde chance. Bon, soyons honnêtes, ce n'est pas le meilleur roman policier que j'ai pu lire et je ne comprends même pas ce prix du Goncourt des lycéens.
C'est dommage car l'idée de base est bonne. Mais l'histoire se perd dans les flashbacks, les extraits des différents livres, l'écriture et les idées vieillottes de l'auteur… Et l'un des plus gros problèmes pour moi c'est que les personnages n'ont aucune crédibilité, et surtout celle qui est presque un personnage principal, Nola Kellergan. On sent dans ses descriptions qu'il aimerait en faire une adolescente mature et intelligente, presque en avance sur son âge (surtout pour justifier sa relation avec un homme de 34 ans, mais bon c'est encore un autre sujet) mais à partir du moment où il la fait parler ça ne colle pas du tout… il n'arrive pas à retranscrire sa personnalité souhaitée dans son discours qui est le discours d'une enfant colérique et capricieuse, qui ne supporte pas qu'on lui dise non.
Bref, c'est un livre totalement surcoté à mon avis.
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