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3,78

sur 840 notes
Aidé par un narrateur attachant et volontaire, le récit nous plonge en pleine nature à la recherche de la vérité. de son côté, le professeur Challenger est plus dur à apprécier avec ses vives manières et son manque de sang-froid. Mais, ensemble et avec leurs compagnons, les deux hommes sont au devant de découvertes qui pourraient bien changer le monde scientifique du XXème siècle.

Malgré des thèmes intéressants, j'ai malheureusement fini, comme avec Voyage au centre de la Terre, à être lassée par toute cette aventure. le récit, bientôt écrit comme un journal de bord, possède un style un peu daté aujourd'hui. Et, quoique courte, cette aventure n'a pas toujours réussi à me transporter, malgré les surprises qu'elle regorge. Il est pourtant intéressant de voir comment des européens se fondent dans la nature sauvage avec leur propre perception et leurs propres savoirs.
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Deux vieux scientifiques en conflit mènent un groupe à la découverte d'un nouveau continent. de nouveaux animaux, une nouvelle faune ou plutôt de très anciens spécimens. J'ai beaucoup apprécié les deux scientifiques et leurs disputes. On découvre de nouveaux individus également. le paysage est décrit de très belle façon. La fin est assez sympathique, ou en tous cas pleine de rebondissements . Un livre plein d'action.
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Le Professeur Challenger, considéré comme un charlatan par le monde scientifique, prétend avoir découvert un « monde perdu » où vivraient des espèces disparues. Une expédition composée du Professeur Summerlee, détracteur acharné de Challenger, du célèbre aventurier Lord Roxton et du jeune journaliste Edward Malone est mise sur pied pour enquêter sur les dires de Challenger.

On est ici dans le roman d'aventures assez classique, avec un élément scientifique: est-il possible que, quelque part sur Terre, des dinosaures aient échappé à l'extinction et survivent dans le plus grand secret?

C'est le genre de classique du genre que j'aime bien. On visite des régions plus ou moins inexplorées avec les moyens du début du 20e siècle, on rencontre des espèces ou peuplades improbables, il y a de l'action et des aventures pas très crédibles, mais assez amusantes à suivre avec le recul du lectorat contemporain.

Les personnages ne sont pas follement sympathiques: Challenger est une brute colérique et arrogante; Lord Roxton est un chasseur qui a un souci de justice sociale à géométrie variable (libérer des esclaves, oui, mais traiter les « indigènes » comme ses égaux, sûrement pas); Summerlee est assez borné et Malone n'est pas forcément le couteau le plus affûté du tiroir. Dans l'ensemble, on les suit malgré tout avec plaisir, parce qu'on n'a jamais le temps de s'ennuyer. le gros point noir est le traitement des personnages féminins. Elles sont deux: la première est l'épouse de Challenger, qui tient tellement d'importance dans l'histoire que j'avais littéralement oublié son existence; la seconde est l'intérêt amoureux de Malone, une pimbêche caractérielle et dédaigneuse qui n'a aucune qualité. On est dans un livre de mecs, point barre.

Le style est typique de Conan Doyle, ça se laisse lire même si la plume/la traduction est un peu vieillotte. On n'a pas le temps de s'ennuyer, il se passe toujours quelque chose. Même si ça manque de crédibilité, ce n'est pas gênant, on sait à quoi s'attendre en ouvrant ce genre de roman et, si on passe sur son côté très sexiste, il m'a apporté exactement ce que j'en attendais. A noter que cette édition est illustrée avec des gravures d'époque.

Une bonne lecture, distrayante et sans prise de tête.
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Je n'ai lu que très peu de livres en littérature jeunesse classique, j'essaie donc de temps en temps d'y remédier. En dehors des célèbres et visiblement nombreuses enquêtes de Sherlock Holmes d'Arthur Conan Doyle, que je compte bien découvrir un jour, j'ai préféré d'abord me pencher sur les aventures du Professeur Challenger, à commencer par "Le monde perdu", qui traîne dans la pal de mon fils depuis un certain temps maintenant.

Il y a deux ans, quelque part au large de l'Amazone, le zoologiste George Edward Challenger (qui se nomme lui-même G.E.C) a découvert un endroit encore inconnu des hommes, qui foisonnerait d'êtres vivants qui appartiennent à l'ère du Jurassique. N'étant cru de personne et devenant la risée de tous ses confrères, une expédition est organisée afin qu'il prouve ses dires. L'accompagnent le Professeur Summerlee (l'un des confrères qui lui a franchement ri au nez), lord John Roxton (célèbre aventurier) et Edward Dunn Malone (journaliste missionné pour rapporter par écrit leur voyage et leurs éventuelles découvertes).

Sous forme de journal de bord et de longs courriers, notre jeune narrateur et journaliste nous conte le voyage périlleux qui l'a amené vers ce monde perdu qui a su défier l'évolution "naturelle" et préserver bien des êtres vivants disparus pourtant il y a quelques milliers d'années. Il forme, avec ses trois compagnons d'aventures, un groupe plutôt insolite et hétéroclite qui ne nous laisse pas le temps de nous ennuyer. Rien qu'avec la condescendance, l'impulsivité et la haute intelligence de Challenger et l'esprit contradictoire de Summerlee, on a déjà là de quoi nous complaire. S'ajoutent à cela des difficultés et des imprévus à leur voyage, leur face à face avec nombre de créatures toutes plus impressionnantes les unes que les autres et pas toujours amicales.

L'auteur prend le temps d'installer le contexte qui a amené nos quatre compères à partir à l'aventure, autant qu'à dépeindre la personnalité de chacun et leurs caractéristiques physiques. L'environnement, la végétation luxuriante de l'Amazonie d'abord, celle de Maple White ensuite, nous imprègne grâce aux descriptions plutôt détaillées de tous ces lieux et décors.

Le style d'écriture est plutôt moderne pour un classique, riche en vocabulaire. le ton donné est souvent sarcastique ou ironique, notamment quand Challenger s'en mêle. Tout est assez bien décrit, sans prendre le dessus sur "l'action". Il se passe toujours quelque chose : imprévus, dangers, découvertes. Les personnages sont bien campés et attrayants. L'histoire dans son ensemble est palpitante.

Ces 352 pages pleines d'entrain et d'aventures m'ont offert un très bon moment de lecture.
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le roman s'ouvre sur une première partie de récit relativement longue dans laquelle on découvre les personnages à Londres, notamment Malone qui fait office de narrateur, et les enjeux de l'aventure ainsi que la mise en place de l'expédition. le personnage haut en couleurs de Challenger, qui mènera l'expédition dans le « monde perdu », n'est pas sans rappeler Sherlock Holmes, autre héros bien connu de Conan Doyle : très intellectuel, un peu fou diraient certains, asocial, persuadé de posséder une intelligence largement supérieure à la moyenne. Ses échanges avec ses détracteurs, et même avec le jeune Malone, un journaliste (profession exécrée par Challenger), donnent lieu à de sympathiques joutes verbales.

La seconde partie de l'histoire, l'expédition à proprement parler, est un roman d'aventures, presque un récit de découverte et d'exploration, relaté par le journaliste Malone. Les compagnons font face à de grandes difficultés à parvenir au plateau où se trouverait le « monde perdu » : trahisons de coéquipiers, dissensions entre les scientifiques… Grâce aux descriptions précises des lieux et des créatures, on pourrait presque croire que ce monde décrit existe vraiment. Les dinosaures, entre autres les ptérodactyles, donneront du fil à retordre à nos héros : Lord John Roxton, le chasseur intrépide, Summerlee, le professeur érudit, Challenger, le savant visionnaire, et Malone, le moins aventurier de tous peut-être (au départ au moins), mais dont on se sent le plus proche puisqu'il nous partage ses sentiments en tant que narrateur.

Après les dinosaures, les aventuriers sont confrontés aux peuples s'apparentant à des humains qui habitent le plateau et dont certains se montrent pour le moins hostiles (les "hommes-singes" s'avèrent finalement plus présents dans l'histoire que les dinosaures).

Après diverses tentatives pour finalement quitter le plateau du Monde perdu, les membres de l'expédition finiront par... Non, ça je ne vais pas vous le révéler !

Une chose est sûre, on comprend aisément pourquoi ce livre a donné lieu à tant d'adaptations en films et séries (plus ou moins fidèles à l'oeuvre d'origine) : c'est un condensé de mystère, d'aventure, d'action, de drame, et une histoire racontée de manière à devenir un authentique récit d'exploration.
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Ce livre pourrait se résumer en une phrase : l'aventure c'est l'aventure, pour reprendre le titre d'un truculent film de Claude Lelouch. Car, effectivement, le Monde perdu de sir Arthur Conan Doyle – qui, en l'écrivant, se libérait du joug tyrannique de son personnage le plus célèbre, Sherlock Holmes, qu'il fut d'ailleurs obligé de ressusciter après l'avoir tué dans une nouvelle – est un concentré d'aventure.

Tout y est : la quête d'un trésor – ici, un monde préhistorique préservé de la marche du temps – ; le récit initiatique d'un narrateur, venu chercher la gloire pour l'amour d'une femme ; les péripétie multiples – depuis la remontée du fleuve Amazone jusqu'à des rencontres terrifiantes avec des créatures antédiluviennes et des hommes-singes particulièrement féroces –, etc.

Ainsi, ce roman, plein de rythme et d'humour – notamment à l'endroit de la vanité scientifique – est un modèle du genre. Ce qui n'aura sans doute pas échappé à un Steven Spielberg.

Utopie vernienne digne du Voyage au centre de la terre, cette remontée, tant physique que symbolique, dans le temps, mélangeant abondamment l'ère jurassique avec les premiers âges de l'homme, recèle aussi ce joyau rare : l'évasion. Évasion qui ne va pas sans l'émerveillement : « Tous, nous nous arrêtâmes, stupides. En suivant les empreintes, nous avions quitté le marais, traversé un rideau de broussailles et d'arbres. Au-delà s'ouvrait une éclaircie, et dans l'espace ouvert se tenaient cinq animaux fantastiques ! » Enthousiasme communicatif et qui fait songer à une certaine scène de Jurassic Park, non ?

Mais à l'émerveillement d'un troupeau d'iguanodons succède l'horreur : « Cette place, déjà sinistre par elle-même, prenait, du fait de ses occupants, l'aspect d'un des sept cercles de Dante : elle servait aux assemblées des ptérodactyles. Il y en avait là des centaines. »

Cette oscillation entre l'admiration et la répulsion, dosage savant où tout s'imbrique avec une singulière harmonie, donne véritablement vie à ce monde perdu, qui ne peut retenir un cri lorsque les aventuriers l'abandonnent pour revenir au leur : « Un grand cri, l'appel de quelque animal fantastique, déchira les ténèbres : la Terre de Maple White [du nom de son premier et malchanceux découvreur] nous disait adieu. »

Autre trouvaille édifiante de l'auteur : en confrontant des personnages plutôt raffinés à leurs origines profondes, ceux-là redécouvrent leurs instincts violents. Ainsi, au cours d'une bataille rangée contre les hommes-singes – nos ancêtres lointains – aux côté d'une tribu plus évoluée, le très colérique et vaniteux professeur Challenger se mue soudain en un féroce guerrier : « Dans les yeux de Challenger brillait le désir de meurtre. » Signe pour le groupe d'aventuriers qu'il faut quitter ce lieu aussi hypnotique que dangereux et retrouver la civilisation. Car, toujours comme chez Jules Verne, aucune utopie n'est durable et le réel, si désenchanté soit-il, doit reprendre ses droits. Réel dont se méfient assez les aventuriers pour ne jamais révéler l'endroit précis de ce monde perdu, dont il faut préserver la pureté originelle.

Laissant beaucoup plus librement filer son imagination qu'avec « son » détective, Conan Doyle signe ici un roman non seulement fondamental de l'aventure mais fondateur, avec une descendance foisonnante, Hollywood ne saurait le nier…


(À noter, pour prévenir les excités de la morale rétrospective, que cette oeuvre n'échappe évidemment pas à son temps – le livre date de 1912 –, manifestant la suprématie de l'homme blanc, même si un personnage anti-esclavagiste et libérateur comme lord John Roxton y figure comme l'un des principaux protagonistes. Mais, à moins d'avoir l'intelligence idéologique « wokiste » limitée, il s'agit de replacer ce récit dans son contexte.)


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C'est bien la première fois que je lis du Conan Doyle!!!
J'ai bien aimé le style très élégant dans l'écriture et l'humour !
On a le droit à une sacrée aventure, malgré le fait que le premier tiers est beaucoup trop bavard. On met très longtemps avant d'arriver sur les lieux.
J'avais vu une adaptation des années 20 mais je n'avais pas souvenir de ces hommes-singes.
C'est franchement palpitant et plein de suspense.
On se fait son film en lisant les péripéties hallucinantes qui leur arrivent.
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Est-ce que je pensais lire le roman fondateur de Jurassic Park ? Oui monsieur ! Est-ce que j'ai été décontenancé en commençant ma lecture en mode "Mais c'est pas des personnages du film ?" durant les 10 premières pages ? Oui Madame ! Reste que j'ai tout de même continué la lecture de Conan Doyle d'autant plus que cela parlait de Dino et que l'auteur propose un récit d'aventure pas désagréable à lire.

Un peu comme Sherlock Holmes nous avons un individu sur de lui mais qui cache une petite profondeur non négligeable et qui sera accompagné par des personnes moins imbus d'eux-mêmes et bien plus dans la norme. Comme Sherlock Holmes, l'auteur propose un récit plutôt bien écrit, narré de manière efficace (même si on regrette que le travail de traduction n'ai pas adapté les longueurs/distances dans notre mesure bien française) et qui a le mérite de se lire rapidement.

Nous avons avec cet oeuvre un récit de 264 pages qui peut se dévorer en quelques heures sans problème, sans lourdeur même si le récit n'est pas toujours parfaitement rythmé. On appréciera les dialogues entre les protagonistes comme toujours et surtout la découverte des individus peuplant cette zone mystérieuse. L'action fonctionne bien, surtout lors de la première attaque ou pour le duel contre les hommes-singes.

Reste que cela manque cruellement de vie et parfois le récit met du temps à se lancer ou passer la seconde. L'aventure est bonne mais tout cela me semble bien plat. Les personnages manquent de profondeur, rarement l'histoire ne m'a mis sous tension ou fait sourire et du coup nous avons une lecture simple, efficace mais manquant de relief même si la critique contre les méfaits de l'homme qui répète sans cesse les mêmes erreurs était appréciable.
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Parfois, on a des plaisirs coupables... Une chanson qu'on sait idiote, un nanar avec des tomates tueuses, ou un livre cliché. Hé bien, le monde perdu, c'est ça (mais il n'y a pas de tomates tueuses).

C'est du pur roman d'aventure tel qu'on n'en fait plus : à une époque (1912) encore pleine de découvertes, une équipe de valeureux explorateurs (hommes, blancs, cis, hétéros bien entendu) part à la recherche d'un monde perdu et vivra bon nombre d'aventures incroyables sur fond de jungle, de dinosaures, de chaînon manquant et de tribus primitives.

J'ai adoré, avec ce petit plaisir coupable d'un roman qui n'est plus (du tout !) de notre époque. L'homme blanc vu comme un sauveur, le massacre d'une espèces qui semble tout à fait normal (même pour les scientifiques), la seule femme de l'histoire qui est un stéréotype honteux... Difficile de lire ça sans grincer des dents.

Et pourtant... C'est terriblement bien écrit. Les personnages sont hauts en couleurs. le professeur Challenger est mémorable, un personnage qu'on aime détester !

Le monde perdu, c'est... des pâtes à la cassonade*. On sait que c'est pour les enfants, on sait qu'on ne devrait pas, mais bon sang, c'est bon quand même !

PS : je l'ai écouté en audio, et le lecteur est excellent !

* En Belgique (et je pense dans le nord de la France), il nous arrive, surtout quand on est enfant, de manger des pâtes avec du beurre (ou de la crème fraiche) et de la cassonade. Si vous vous demandez ce que ça peut faire, lisez le monde perdu. :)
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Le besoin d'aventure, comme le besoin d'amour, fait partie des caractéristiques immuables de la condition humaine. C'est pourquoi, dès que l'écriture est née, il y a eu des romans d'amour et des romans d'aventure. Depuis Homère (l'Odyssée n'est-elle pas le premier roman d'aventures ?) jusqu'à Clive Cussler et Steve Berry, en passant par Jules Verne et son homonyme Henri Vernes (celui de Bob Morane), des centaines de romanciers nous ont invités à l'évasion sous toutes ses formes. L'Angleterre, en particulier nous a particulièrement gâtés, avec plusieurs "pointures" : Rudyard Kipling (Kim - 1901), Robert-Louis Stevenson (L'Ile au trésor - 1883), : Henry Rider Haggard (Les Mines du roi Salomon - 1885), Joseph Conrad (Lord Jim - 1900) et... Arthur Conan Doyle.
Je vous vois venir, aimable lecteur et charmante lectrice (à moins que ce ne soit le contraire) : Conan Doyle, me direz-vous, c'est Sherlock Holmes, le roman policier, pas le roman d'aventures. Halte-là, répondrai-je. D'abord il n'est pas exclu que le roman policier soit aussi un roman d'aventure. Ensuite Arthur Conan Doyle n'est pas seulement le créateur de Sherlock Holmes, c'est un grand romancier qui s'est illustré dans plusieurs genres : on retiendra, en plus du cycle de l'enquêteur de Baker Street, deux grandes séries qui valent le détour : un cycle de romans napoléoniens (La Grande ombre - 1892, Les Exploits du brigadier Gérard - 1896, L'Oncle Bernac - 1897 et Les Aventures du brigadier Gérard - 1903); et un cycle consacré aux aventures du professeur Challenger (Le Monde perdu - 1912, La ceinture empoisonnée - 1913, Au pays des brumes - 1926, Quand la terre hurla - 1926, et La Machine à désintégrer - 1929).
Le Monde perdu est la première aventure du Professeur Challenger. Ce personnage, haut en couleurs, est l'exacte antithèse de Sherlock Holmes, autant le détective est froid, méthodique et paraît dépourvu de sentiment, autant Le Professeur est sanguin, colérique et totalement imprévisible. Sur la piste hypothétique d'un explorateur Maple White, qui aurait découvert un territoire inconnu en Amérique du Sud, il met sur pied une expédition, à laquelle participent, un jeune journalise, Edward Malone, le Professeur Summerlee, rival de Challenger, et Lord John Roxton, grand chasseur devant l'Eternel. On s'en doute, l'expédition ne sera pas de tout repos, et passera même par la rencontre avec des animaux... préhistoriques !
Maintes fois adapté au cinéma et à la télévision, le Monde perdu trouvera une descendance quelques années plus tard , avec King Kong 1933) et bien plus tard encore avec Jurassic Park (1993)
Alors, convaincu que Conan Doyle, ce n'est pas seulement Sherlock Holmes ? Elémentaire, mon cher Watson !
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