troisième partie du "temps des hommes", La ville blanche raconte la découverte d'Alger par un jeune métropolitain qui bientôt derrière
De Gaulle se lancera en politique. D'abord incrédule, il deviendra chaque jour un peu plus amoureux de cette ville et de ses habitants... européens bien sur. C'est toute l'ambiance "Algérie française " que
Michel Droit fait revivre dans ce livre avec son coté noir et désespéré mais aussi sa joie de vivre. La fin d'une histoire qui se termine mal , mais que l'on ne peut que regretter.
Michel Droit est un magnifique conteur malheureusement maintenant oublié. Il faut relire
Michel Droit, il y a du Martin du Gard là dedans.