Elle avait toujours refusé de s'apitoyer sur son sort, convaincue que la moindre doléance l'entraînerait sur la pente dangereuse de la passivité et du renoncement.
On ne remplace jamais les êtres perdus, mais on peut se tourner vers ce qui console et réjouit le cœur.
Micheline Duff, Mon cri pour toi