Ces traces de l'ancienne communication des nations savantes de l'Orient entre elles sont précieuses à recueillir : et c'est surtout dans notre manuscrit des Cosmogonies, que nous faisons remarquer, et qu'elles sont réunies et comparées de manière à faire valoir que l'ancien et le nouveau continent n'étaient point étrangers l'un à l'autre dans les siècles reculés de la haute antiquité.