Adelheid Duvanel
Catherine Fagnot (Traducteur)/5 10 notes
Catherine Fagnot (Traducteur)/5 10 notes
Résumé :
Des sœurs jumelles se passent doucement des feuilles de géraniums sur le visage. Tous les matins, un homme attend le journal comme s’il s’agissait d’une lettre d’amour. Une petite fille s’enfuit de chez elle après avoir écrit « Je vais à Singapour ». Une femme a l’impression fugace d’être un poisson qui habite dans un arbre creux.
Dans les courts récits d’Adelheid Duvanel, véritables miniatures, tout est là, dès le début, dense, compact, ramassé.... >Voir plus
Dans les courts récits d’Adelheid Duvanel, véritables miniatures, tout est là, dès le début, dense, compact, ramassé.... >Voir plus
étiquettes
Ajouter des étiquettes
Que lire après La Maison disparueVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (3)
Ajouter une critique
Une trouvaille en médiathèque, qui me permet de découvrir un petit recueil étonnant.
Adelheid Duvanel nous emmène dans des univers où parfois l'étrange et le fantastique pointent.
Le style est direct, voire lapidaire, et souvent poétique. Les chutes des histoires (nouvelles ? tableaux ?) sont parfois caustiques. D'autres fois, confuses, l'intention de l'auteur restant indéchiffrable.
J'avoue avoir été déconcertée par la brièveté des textes et être restée sur ma faim.
Adelheid Duvanel nous emmène dans des univers où parfois l'étrange et le fantastique pointent.
Le style est direct, voire lapidaire, et souvent poétique. Les chutes des histoires (nouvelles ? tableaux ?) sont parfois caustiques. D'autres fois, confuses, l'intention de l'auteur restant indéchiffrable.
J'avoue avoir été déconcertée par la brièveté des textes et être restée sur ma faim.
De courts épisodes intenses et prenants qui évoquent avec adresse et intelligence la solitude, le deuil, l'inconstance des sentiments et l'aliénation de l'individu dans la ville grandissante. Certaines de ces vignettes manquent parfois de clarté dans leurs intentions, et certains thèmes ont tendance à se répéter, mais le talent et la minutie de l'auteure font de ce recueil une belle lecture.
Un petit livre où les textes, très brefs, sont comme autant de tableaux : on plonge, tout en suggestion, dans la simplicité de ces vies aussi discrètes que ces miniatures aux couleurs vives, révélant toute leur densité et leur force poétique.
Adelheid Duvanel a une écriture colorée, ciselée. Une écriture de peintre qui ouvre à chaque texte une part de cet univers que La maison disparue forme, en tant que recueil.
Adelheid Duvanel a une écriture colorée, ciselée. Une écriture de peintre qui ouvre à chaque texte une part de cet univers que La maison disparue forme, en tant que recueil.
Citations et extraits (1)
Ajouter une citation
La femme silencieuse parlait […] Il n’y a qu’aux mains qu’elle peut faire ses confidences, parce que les mains connaissent tous les éléments : elles creusent la terre, écrivent des signes dans l’air, allument le feu et partagent l’eau.
Les plus populaires : Non-fiction
Voir plus
Les Dernières Actualités
Voir plus
Autres livres de Adelheid Duvanel (3)
Voir plus
Quiz
Voir plus
Testez vos connaissances en poésie ! (niveau difficile)
Dans quelle ville Verlaine tira-t-il sur Rimbaud, le blessant légèrement au poignet ?
Paris
Marseille
Bruxelles
Londres
10 questions
1221 lecteurs ont répondu
Thèmes :
poésie
, poèmes
, poètesCréer un quiz sur ce livre1221 lecteurs ont répondu