Dymchitz souligne qu'il est bien délicat de définir «un conte juif». C'est quelque chose qui «entreprend le mélange presque impossible du conte au sens strict du terme, et d'un système de valeur juif non moins strict». Pourquoi ce mélange est-il «presque impossible» ? Parce que le conte traditionnel ne fait pas de morale ; il symbolise des passions, des angoisses, des pulsions, sans se soucier des conséquences.
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Aucune littérature, peut-être ; mais les contes, si : ils concentrent et résument l'esprit d'un peuple, les influences qui l'ont formé ou modifié. Ils volent vite entre mémoire et oubli.