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EAN : 9782012190085
164 pages
Hachette Livre BNF (01/09/2013)
3.25/5   2 notes
Résumé :
Le Poisson d'or, par Paul Féval. [La Seconde vie du Dr Roger, par Henri Rivière.]. Tome 2Date de l'édition originale : 1863Comprend : La Seconde vie du Dr Roger...Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces Œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certai... >Voir plus
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Sainte n’était pas l’unique enfant du Médecin bleu, Elle avait un frère qui, depuis deux ans, avait quitté le toit paternel. René Saulnier était un grand et fort jeune homme, à la physionomie hautaine. Du temps de son enfance, il avait été le favori du docteur, qui voulait en faire un soldat. À cette époque, c’est-à-dire cinq ou six ans avant la date de notre récit, le bourg de Saint-Yon présentait un tableau champêtre plein de vie et de bonheur. Il y avait au manoir une châtelaine aussi compatissante que riche, et qui ne voulait point qu’il y eût de malheureux sur ses domaines. Aux environs, une douzaine de gentilhommières étaient peuplées de ces hobereaux campagnards, si pullulants en Bretagne, dont la tête est aussi folle que le cœur est loyal, et qui parlent, entre les quatre murs enfumés de leur cabane, des royaumes conquis autrefois, en Syrie, par leurs fabuleux ancêtres.
Mme de Rieux, veuve du marquis d’Ouëssant, dominait toute cette plèbe noble le fils de Saulnier, le jeune René, était admis chez elle. M. de Vauduy, pauvre gentilhomme et parent éloigné de la maison de Rieux, était l’intendant et le commensal du château. Lui, le docteur Saulnier et l’abbé de Kernas, alors curé de Saint-Yon, formaient une petite société d’amis. L’honnête, curé s’occupait de l’éducation religieuse de René Saulnier et de Sainte, sa sœur, qu’il aimait comme un père aime ses enfants ; M. de Vauduy, ancien militaire, apprenait à René le maniement des armes. À seize ans, René était un jeune homme simple de cœur, fervent chrétien, dévoué à ceux qu’il regardait comme ses bienfaiteurs ; il était de plus robuste, intrépide jusqu’à la témérité, maître passé au maniement de toute arme blanche, et si habile chasseur, qu’on n’eût point trouvé son pareil à dix lieues à la ronde.
(Le Médecin bleu)
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Vidéo de Paul Féval
"Il y a quelques années, « on » murmurait que Claude Mesplède pourrait bien recevoir la médaille des arts et des lettres. Et puisque qu' « on » m'avait demandé mon avis sur la question avant d'entamer les démarches afférentes à ce genre de circonstances, j'avais indiqué que Claude ne voulait de médaille d'aucune sorte. Il avait déjà refusé celle du travail malgré ses 40 années de labeur à Air France !
Ce que Claude aurait aimé, c'est le prix Paul Féval de littérature populaire. Mais ce prix n'est attribué qu'à des auteurs qui écrivent des romans populaires. Lui, écrivait À PROPOS des romans populaires et donc, n'entrait pas dans cette catégorie.
Aussi voir naître, grâce à Quais du Polar que je remercie très sincèrement, un prix portant le nom de Claude Mesplède qui récompensera au choix : essai, ouvrage historique, correspondance, document, enquête, traduction, édition originale d'oeuvres complètes ou inédites, traductions nouvelles ou encore travaux académiques et universitaires… c'est énorme !
Et c'est finalement, en honorant sa mémoire, un joli retournement du sort. Claude aurait très fier qu'un prix porte son nom et sûrement un peu ébahi devant tant d'honneur.
Et que celles ou ceux qui comptent écrire sur l'oeuvre de Paul Féval se mettent au travail très vite. On ne sait jamais..." - Ida Mesplède
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