Il aura fallu que je fasse une critique sur le précédent tome disant que l'histoire s'enlisait, pour que dans celui-ci il y mette trois événements plus ou moins importants, voir inattendus :
Le retour et la mort d'un personnage de second plan que l'on avait complétement oublié, mort d'un des personnages principaux (mais pas celui qu'on pense) et mort, enfin, du Bulb, mais ça on s'y attendait quand même un peu.
Après, passé ces trois événements, somme toute assez courts, il ne se passe pas grand chose de plus et, comme souvent (voir pire), le nombre de passages récapitulatifs est abusif et casse donc le rythme de lecture. Il doit y en avoir un toutes les trois pages, et pas des plus passionnants, ni des plus utiles.
En conclusion, il me reste encore deux à trois tomes qui, malgré leur courte taille, risque de me sembler long à lire, surtout si l'auteur avance toujours aussi lentement que dans celui-ci et qu'il le remplit toujours autant de soporifiques flashbacks.
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Je sais qu'un jour il y aura des revendications, des grèves, des affrontements, mais ce sera le signe que notre société a déjà bien avancé, qu'elle est assez adulte pour s'occuper de problèmes sociaux. Ce sera le signe que nous ne survivons plus, mais que nous vivons enfin une ère de prospérité à laquelle chacun estimera avoir le droit de participer.
Chronique consacrée aux grands noms de la littérature policière, et animée, depuis octobre 2018, par Patrick Vast, dans le cadre de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus - Douvrin).
Pour la 26ème chronique, le 12 décembre 2018, Patrick présente Georges J. Arnaud.
Patrick Vast est aussi auteur, notamment de polars. N'hésitez pas à vous rendre sur son site : http://patricksvast.hautetfort.com/
Il a également une activité d'éditeur. À voir ici : https://lechatmoireeditions.wordpress.com/
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