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4,12

sur 2508 notes
Il doit me manquer une clef de compréhension pour apprécier cette oeuvre à sa juste valeur. Culturelle sans doute, intellectuelle peut-être. Ne pas apprécier un livre universellement reconnu comment étant un chef d'oeuvre m'interroge. Il faudra sans doute que j'y retourne un jour.
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Dans ce livre, tu vas partir en voyage au Moyen-Orient, dans les premières décennies du XXe siècle. Sans trop en dévoiler, L'histoire se concentre sur Al-Mustafa, sur le point de retourner dans son pays natal après douze ans d'absence. Avant son départ, il partage sa sagesse et sa vision de la vie avec les habitants de la ville d'Orphalese.
Alors, ce fut une bonne découverte dans l'ensemble. On ne peut que saluer la plume de Khalil Gibran. Ce livre, à certains égards, peut être qualifié de livre de développement personnel, à l'instar de "L'Alchimiste" de Paulo Coelho si je devais citer un exemple. L'auteur aborde des sujets philosophiques à travers les questions posées à son personnage principal. J'ai aimé réfléchir sur ces thèmes profonds. Cependant, la forme spirituelle du récit ne m'a pas totalement convaincu. Cela reste bien évidemment mon ressenti, et peut-être que cela te touchera différemment.
Donc, si tu aimes les livres qui invitent à la réflexion et à l'inspiration, ce livre est fait pour toi.
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Mon livre de chevet depuis plus de vingt ans !!
Tout est dit, tout y est. À puiser comme à méditer : identité, amour, mort, enfants, sagesse, quête, gravité, légèreté, profondeur, apaisement (...)
Philosophie, poésie, spiritualité, universalité se mêlent dans le prophète.

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J'avais beaucoup entendu parler de ce livre, certains de mon entourage ont même cité des passages lors d'événements: mariage, décès,...
En deux mots je dirais: à méditer.
Chacun peut trouver une résonance à certains passages avec sa propre vie et même laisser de côté les références bibliques.
A méditer donc.
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Je me serais volontiers lancé dans la rédaction d'une critique, mais pour raconter quoi ? Que puis-je dire de plus qui n'a pas déjà été dit ? Sinon me jeter corps et âme dans un billet dithyrambique, un de plus ! A quoi bon ?
Autant partager la récente expérience sur les différentes traductions à laquelle m'a conduit ma dernière lecture - la troisième - de ce petit livre fabuleux.

Découvert lors de la première crise existentielle qui frappe généralement l'adolescence, le Prophète de Khalil Gibran a été pour moi - comme pour un grand nombre de lecteurs - ni plus ni moins qu'une révélation.
J'ai pour ce livre une affection sans limite, un amour inconditionnel. Il m'a tant apporté et cela, sans que je m'en rende compte à la première lecture. Tout comme L'Alchimiste de Paulo Coelho, il a nourrit ma conscience avec de la matière neuve à penser, laquelle m'a rapidement permis d'établir les fondations saines d'une réflexion nouvelle dans mon jeune esprit d'alors déjà grand ouvert sur l'univers - c'était dans une autre vie.

Patu initialement en 1923, le Prophète de Khalil Gibran (1883-1931) a été traduit et publié à de nombreuses reprises, par plusieurs éditeurs, et dans différents formats.
Le texte original rédigé en anglais a été traduit en français un grand nombre de fois, et parmi les traductions, voici les plus reconnues :

Madeline Mason-Manheim (1908-1990)
Poétesse et traductrice américaine francophone,
Sa traduction a été publiée en 1926.

Anne Wade Minkowski (1924-2017)
Traductrice d'origine américaine francophone,
Sa traduction a été publiée en 1992 chez Gallimard.
(* note personnelle : vu l'âge de la traductrice, je m'étonne de cette date de traduction si tardive et soupçonne une date antérieure à 1992)

Camille Aboussouan (1919-2013)
Avocat, diplomate, écrivain, bibliophile et traducteur libanais francophone,
Sa traduction a été publiée en 1956 chez Casterman.

Marc de Smedt (1946-)
Éditeur, écrivain, journaliste français, spécialiste des techniques de méditation et des sagesses du monde,
Sa traduction a été publiée en 1990 chez Albin Michel.

Jean-Pierre Dahdah (1961-)
Écrivain, scénariste, traducteur et journaliste français, professeur d'arabe et documentaliste,
Sa traduction a été publiée en 1995 chez J'ai Lu.

Soit cinq traductions, officielles dirons-nous.
Personnellement, je n'en connais que trois. Celles de Camille Aboussouan, Marc de Smedt et Jean-Pierre Dahdah que j'ai découverte dernièrement.
C'est cette dernière version qui m'a donné l'idée de ce billet, idée que je trouvais sympa et instructive pour qui voudrait, en fan de Khalil Gibran, avoir une vue plus large sur son ouvrage de référence qu'est le Prophète.

Parmi la pléthore de traductions restantes, une seule a retenu mon attention, m'intriguant au point de motiver son acquisition future. Il s'agit de celle de :

Omayma Arnouk el-Ayoubi (1955-)
Traductrice d'origine syro-libanaise,
Sa traduction a été publiée en 2008 chez Editions Alphée puis en 2011 chez Encre d'Orient.

Et il en existe encore tant d'autres. C'est à se demander d'ailleurs comment un tel nombre de traductions a pu proliférer. À croire que n'importe quel éditeur peut se lancer dans la publication de ce texte avec sa propre traduction sous le prétexte fallacieux de "le remettre au goût du jour" ou de "le rendre plus accessible aux générations de l'époque en cours", ce qui, vous en conviendrez, signifie la même chose : le réactualiser au nom du profit. Bref, c'est une honte ! Une véritable insulte faite à cet auteur de génie et à son oeuvre, en particulier à ce livre intemporel.
A ce propos, Amin Maalouf, un écrivain libano-français, fait part d'un ressenti semblable dans la préface d'une de ces rééditions du livre en 1993 :
« Je ne connais pas d'autre exemple, dans l'histoire de la littérature, d'un livre qui ait acquis une telle notoriété, qui soit devenu une petite bible pour d'innombrables lecteurs, et qui continue cependant à circuler en marge, comme sous le manteau, sous des dizaines de millions de manteaux, comme si Gibran était toujours un écrivain secret, un écrivain honteux, un écrivain maudit. »
Ceci dit, je vous déconseille cette réédition pondue par le Livre de Poche et traduit avec les pieds par une dénommée Janine Levy.
Tout comme je vous déconseille la version de chez Pocket, traduite avec une truelle par un certain Didier Sénécal.
En fait, je vous déconseille les éditions actuellement dans le commerce. Je vous en conjure, ne donnez pas du grain à moudre à ces éditeurs corrompus par la course aux bénéfices. Orientez votre choix vers d'anciennes versions aisément trouvables en occasion. J'ose croire que le message est passé.

Ma découverte d'une troisième traduction a aussi motivé ce qui va suivre, une sorte de petit comparatif - rapide et concis - des trois traductions que j'ai lues, tout cela au travers du premier paragraphe du livre que vous allez (re)découvrir sous trois formes, trois visions, finalement pas si éloignées que cela, quoique l'une d'entre elles trouvera certainement votre préférence.
Vous allez voir, c'est assez édifiant.

***

Le Prophète édition Casterman
Traduit par Camille Aboussouan :

Almustapha, l'élu et le bien-aimé, qui était l'aurore de son propre jour, avait attendu durant douze années dans la cité d'Orphalese que revînt le vaisseau qui devait le ramener dans l'île de sa naissance.
Et la douzième année, au septième jour d'Ielool, mois de la récolte, il gravit la colline hors des murs de la ville et regarda la mer ; et il aperçut son vaisseau venant avec la brume.
Alors les portes de son coeur furent arrachées et sa joie vola loin sur la mer. Et il ferma les yeux et pria dans les silences de son âme.

***

Le Prophète édition France Loisirs
Traduit par Marc de Smedt :

Al Mustapha, l'élu et l'aimé, qui était l'ombre de son propre jour, avait attendu douze ans durant dans la ville d'Orphalese son bateau qui devait revenir et le ramener à l'île de sa naissance.
Et, dans la douzième année, le septième jour de Ielool, mois des moissons, il grimpa sur la colline située hors des murs de la cité et scruta la mer ; et, venant avec la brume, il aperçu son navire.
Alors les portes de son coeur s'ouvrirent en grand, et sa joie exulta loin au-dessus de la mer. Et, les yeux clos sur les silences de son âme, il pria.

***

Le prophète édition Librio
Traduit par Jean-Pierre Dahdah :

Al-Mustapha, l'élu et le bien-aimé, cette aube qui commençait à poindre à la rencontre de son propre jour, avait attendu, douze années durant dans la cité d'Orphalèse, le retour de son vaisseau, lequel devait le porter à nouveau vers son île natale.
Lors de la douzième année, au septième jour de Ayloul, le mois des moissons, il gravit la colline hors des murailles de la cité.
Scrutant l'horizon, il aperçut son vaisseau voguer avec la brume sur les eaux.
Les écluses de son coeur furent grande ouverte, et sa joie s'envola par-delà les flots. Puis, les yeux clos, il se recueillit dans les silences de son âme.

***

Et voilà !
A mes yeux, les visions de Camille Aboussouan et Marc de Smedt sont les plus "justes" à quelques détails près. Mais c'est justement ce qui fait la différence : une tournure, une répétition, parfois un simple mot, en moins ou en trop...
Et si je ne devais en choisir qu'une, ce serait probablement celle de Marc de Smedt, rien que pour la dernière phrase qu'il traduit à la perfection.

Et si vous voulez mon avis, c'est avec ce genre de petit comparatif qu'on se forge un avis solide et sûr. Allez jeter un coup d'oeil sur les versions que je vous ai déconseillées et vous verrez le carnage. Un premier paragraphe et la dernière phase sont les élément capitaux, surtout dans ce type de livre.

Vous voulez voir la dernière phrase ?
Sûr ?
Allez, c'est parti. Et je vous laisserai là-dessus.
Enjoy :

!!! SPOILERS !!!

***

Le Prophète édition Casterman
Traduit par Camille Aboussouan :

« Un instant, un moment de repos sur le vent, et une autre femme m'enfentera. »

***

Le Prophète édition France Loisirs
Traduit par Marc de Smedt :

« Un court instant, un moment de repos sur le vent, et une autre femme me portera. »

***

Le prophète édition Librio
Traduit par Jean-Pierre Dahdah :

« Un petit instant, un moment de repos sur le vent, et une autre femme me portera en son sein. »

***

Paix sur vous.
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[Coup de coeur] Quand on ouvre pour la première fois ce livre, c'est une sorte de révélation qui s'offre à vous. A travers des phrases simples et des images évocatrices, Gibran nous propose un ouvrage qui condense la sagesse et l'expérience de la vie.

Grâce à l'enseignement spirituel d'Al-Mustapha au peuple d'Orphalese, se diffuse les leçons du sage : l'amour, le mariage, les enfants, la prière, le travail, la joie, la liberté, la douleur, le bien et le mal, la passion, la religion, la mort…
Chaque sentence donne à réfléchir et nous permet de se remettre sur un chemin plus clair et plus droit. Une sorte de remise en question nécessaire pour chaque être humain.

L'ouvrage de Khalil Gibran est un livre culte à relire régulièrement afin de retrouver l'essentiel de ce qui fait un homme et son rapport au divin. Son écriture limpide et inspirée permet de puiser dans chaque thème abordé la force et l'énergie à vivre sa vie.
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Les habitants de l'île d'Orphalese aperçoivent le bateau venant rechercher leur prophète bien aimé, et à l'instar des réunions de familles où c'est bien souvent quand on se dit au revoir qu'ont lieu les vraies discussions, ils lui posent, au gars qui est quand même resté là 12 ans, des questions sur l'amour, le plaisir, les enfants, donner, travail, joie et peine, lois, crimes et châtiments, acheter et vendre, liberté, douleur, désirs et passion, prière, religion, mort...

Et moi qui chéris chez un auteur concision et humilité, j'ai été irrité d'une part par la manière insidieuse sous-entendant 'Moi je sais tout, je vais vous expliquer' que j'avais peu apprécié dans 'Conversation avec Dieu' et d'autre part par les réponses qui, bien que beaucoup plus poétiques que le prêche du curé africain le dimanche dans mon village, me paraissaient aussi imprécises et énigmatiques, aphorismes semblant aider à illustrer son discours mais suffisamment vague pour que chacun puisse y déposer du contenu, et ça, moi, j'y arrive pas.
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Nous nous situons dans la ville d'Orphalèse, où un sage s'apprête à prendre la mer. Les habitants lui posent diverses questions sur des thèmes fondamentaux de l'existence : l'amour, la liberté, la tristesse, la religion, le bien et le mal... et le sage leur délivre ses enseignements.

Dans ce court récit, Khalil Gibran aborde des thèmes philosophiques, non pas à la manière d'un philosophe, mais plutôt à la manière d'un poète. Chaque chapitre est à lire lentement, le temps de méditer chaque thème et d'y réfléchir en son for intérieur. L'écriture est tout simplement magnifique, les sujets sont intemporels et universels. J'ai parfois rejoint les paroles du sage sur certains sujets, parfois un peu moins.

Cette lecture fut un joli moment hors du temps, elle reste pour moi un classique à lire au moins une fois dans sa vie de lecteur/trice.
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Le prophète, c'est l'histoire d'un homme qui est sur une terre qui n'est pas la sienne mais on ne sait pas pourquoi.
Au fil des pages, on apprends que l'homme, considéré comme un prophète donc, était solitaire depuis un temps que l'on ne connaît pas non plus, ce n'est pas mentionné. Il vit donc en solitaire à Orphalese, ville inventée, il voit au loin un bateau arriver pour le ramener chez lui.
Il descend donc pour rejoindre l'embarcation mais les habitants d'Orphalese, comprenant le départ imminent de leur ami, vont se hâter de lui poser des questions existentielles au sujet de la vie.

Les questions posées sont les questions que l'on aimerait poser à un sage, à Dieu lui-même si on en avait l'occasion, le pouvoir... le lecteur en déduit donc que l'homme interrogé est très saint mais on ne sait rien de sa vie, ni pourquoi il est ainsi considéré.
Les thèmes s'enchainent alors au sujet de l'amour, l'amitié, le travail, la religion et tant d'autres thématiques.
Ce qui m'a un peu ennuyé c'est l'imitation biblique de s'exprimer, et le style assez lourd, trop lyrique, il gâche un peu l'idée de base de cet écrit.
Cependant, quelques passages sont édifiants comme les suivants que j'ai relevé :


"Lorsque l'amour vous fait signe, suivez-le".



"Vous dites volontiers: "Je veux bien donner, mais seulement à ceux qui le méritent. " Ce n'est pas ce que disent les arbres de vos vergers ni les troupeaux de vos pâturages. Ils donnent afin de vivre, car tout garder pour soi, c'est périr."

"Si vous avez le désir de connaître Dieu, ne croyez pas le trouver dans la résolution d'énigmes. Regardez plutôt autour de vous et vous le verrez qui joue avec vos enfants. Et regardez le ciel et vous le verrez marcher avec les nuages, tendre Ses bras dans l'éclair et descendre sur vous avec la pluie. Vous verrez Son sourire dans les fleurs et dans chaque arbre, vous verrez Ses mains qui s'élèvent et dansent".
(Certainement le passage le plus édifiant pour moi qui ai toujours pensé de cette façon en donnant ces images naturelle sans l'intervention de l'homme).


Mais voilà, l'auteur s'est quelque peu improvisé prophète du haut de ses 15 ans lors de la première écriture, car il a remanié son petit récit plusieurs fois par la suite. On peut y trouver de quoi se rassurer, se réconforter, un peu d'aide aussi mais de là à prendre pour argent comptant toutes les prophéties imaginées pour l'ouvrage, il ne faut pas abuser et rester prudent.
Lien : https://lesmotsricochent.blo..
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Lors de la naissance de mon 3ème fils, je suis tombée par hasard sur ce poème de Kalil Gibran, qu'on qualifie souvent de poète persan mais qui est en réalité libanais, de confession chrétienne orientale maronite, et qui a vécu la majeure partie de sa vie aux Etats-Unis.

Poème sur les enfants
"Et une femme qui portait un enfant dans les bras dit,
Parlez-nous des Enfants.
Et il dit : Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles de l'appel de la Vie à elle-même,
Ils viennent à travers vous mais non de vous.
Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour mais non point vos pensées,
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez accueillir leurs corps mais pas leurs âmes, Car leurs âmes habitent la maison de demain,
que vous ne pouvez visiter,
pas même dans vos rêves.
Vous pouvez vous efforcer d'être comme eux,
mais ne tentez pas de les faire comme vous.
Car la vie ne va pas en arrière, ni ne s'attarde avec hier.
Vous êtes les arcs par qui vos enfants, comme des flèches vivantes, sont projetés.
L'Archer voit le but sur le chemin de l'infini, et Il vous tend de Sa puissance
pour que Ses flèches puissent voler vite et loin.
Que votre tension par la main de l'Archer soit pour la joie ;
Car de même qu'Il aime la flèche qui vole, Il aime l'arc qui est stable."
(extrait du recueil le Prophète).

Pourquoi est ce que ce texte a su faire vibrer mon coeur ? Je ne sais pas mais ce poème est devenu un de mes poèmes favoris et j'ai acheté et lu (bien évidemment) le recueil tout entier.
Il s'est écoulé beaucoup de temps depuis cette lecture mais je conserve toujours en moi cette notion d'une poésie où les mots sont mélodieux mais aussi philosophiques, justes et vrais.
Ce texte m'a fait comprendre que quoi que je fasse, quelle que soit la manière dont mes enfants seraient éduqués, ils choisiraient leur propre chemin, qui ne serait peut-être pas forcément, celui que nous parents souhaiterions, mais il en est ainsi.
Nos enfants ne nous appartiennent pas et même en voulant diriger la flèche selon nos désirs de parents, celle-ci ira se projeter là où elle aura envie d'aller, car l'enfant qui nait, porte en lui sa propre personnalité et se construira aussi en faisant ses propres choix, en commettant forcément ses propres erreurs, mais il nous faut l'accepter car c'est sa propre destinée.
Ce simple poème m'a vraiment fait réflechir sur ma perception parentale de l'enfant qui grandit.

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