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4,25

sur 4512 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Elle a tout pour elle mais aussi tout pour être détestée: jeune, belle, un beau mec, une belle bagnole et une place de directrice générale qui lui tend les bras. Hautaine, méprisante, cette adepte du contrôle absolu va voir son assurance pulvérisée par juste une ombre alors qu'elle repart d'une soirée.
Finie la sérénité, la paranoïa s'installe.

Au fil des pages, on rencontre les peurs, la folie, la manipulation, le manque ou le surplus de confiance des personnages.
Un thriller psychologique intense.
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Karine Giebel a cette spécificité qu'elle malmène passablement ses personnages principaux. Ils ne s'en sortent jamais indemnes.
Son héroïne, Cloé, est, dès le départ, antipathique au possible. Hautaine, méprisante, arrogante, elle écrase tout et chacun pour arriver à ses fins. Elle est persuadée que tout le monde lui en veut et cherche à lui mettre des bâtons dans les roues. Amis, collègues, familles... Elle n'en semble alors que plus paranoïaque.
Manipulation, paranoïa... j'ai forcément pensé à Robe de marié de Pierre Lemaître. Car il s'agit ici d'un thriller psychologique bien plus qu'un polar. Un manipulateur agit dans l'ombre, amenant sa proie à douter de sa santé mentale. le manipulateur existe-t-il réellement en dehors de l'esprit de Cloé ?
La psychologie des personnages est approfondie. Sous le vernis, souvent coriace, se cachent des fêlures que chacun tente de colmater à sa façon.
L'écriture est percutante. On oublie la construction classique sujet + verbe + complément. Karine Giebel est incisive, entre dans le vif du sujet et retranscrit l'angoisse de ses personnages. Tous les êtres croisés par Cloé sont abîmés par la vie, chacun à leur façon. Il est alors difficile de deviner lequel pourrait cacher un psychopathe.
Quelques invraisemblances et lourdeurs n'empêchent pas ce roman d'être un vrai page-turner dont on se repait sur la plage, sans honte.
Lien : http://nourrituresentoutgenr..
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Je n'arrive pas à savoir si j'ai aimé ce livre ou pas. de même que ma note le reflète, c'est un 50/50.

C'était mon premier roman de Karine Giebel à côté de qui je ne pouvais décemment pas passer étant donné les avis dithyrambiques dont elle fait l'objet et mon goût pour les bons polars.

Alors tout d'abord ce n'est pas un polar mais un thriller psychologique. On passe la première partie du livre à se demander si "l'ombre" existe réellement ou émane du cerveau malade de l'héroïne, et la seconde à l'observer sombrer dans la folie tout en connaissant quasiment l'identité du harceleur.
Le psychologique n'est pas forcément ma tasse de thé mais il faut reconnaître à l'auteur une belle maîtrise du thriller. le rythme est soutenu, le suspense présent et l'angoisse des personnages parfaitement mise en lumière se ressent bien à la lecture.

En revanche, mon dieu que c'est long !
Au bout de 230 pages je commençais vraiment à me demander si les deux histoires (celle de Cloé - Aaah ce choix d'orthographe qui pique les yeux - la publicitaire et celle d'Alexandre le commissaire) que l'on suit en parallèle dès le début allaient un jour finir par se rejoindre, et je vous avoue que si ça n'avait pas été imminent j'aurais peut-être jeté l'éponge car si la lecture est aisée et pas désagréable, 230 pages sans qu'il ne se passe rien, c'est long...
Alors certes, dans un roman psychologique il faut le temps de bien camper la psychologie des personnages mais, 230 pages, vraiment...?

Dans la seconde moitié du roman l'action se développe enfin, parallèlement à longue descente aux enfers de l'héroïne. Pour autant, c'est très caricatural et donc peu crédible. Un peu de nuance aurait rendu l'histoire plus vraisemblable et c'est là sûrement mon principal reproche à l'encontre de ce roman : on n'y croit pas. Tout est trop extrême, trop tranché, voire trop soudain.
Quel dommage d'avoir lentement élaboré un scénario qui suit l'évolution psychologique d'un personnage pour le faire soudainement passer à l'acte sans la moindre réflexion préalable.

De façon amusante, la fin est à l'image exacte du roman : 50/50.


Bref, si j'ai aimé le style, je n'ai pas été convaincue par l'histoire mais je tenterai un autre roman de Karine Giebel pour me faire une meilleure idée.
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Une langue froide, acérée, peu travaillée, faite de phrases courtes qui s'enchaînent à donner le tournis.
Un univers oppressant, angoissant au possible, qui m'a empêchée de dormir.
Je ne peux pas vraiment dire que j'ai "aimé" ce roman. Pourtant j'en ai dévoré les 600 pages en quelques jours. C'est ce que j'appelle une efficacité redoutable de la part de Karine Giebel, que je lis pour la première fois et dont je comprend le succès.

Les fées semblent s'être penchées sur le berceau de Cloé : c'est en effet une jeune femme sublime, intelligente, pleine de charisme, brillante professionnellement et à la vie amoureuse passionnée.
Sa vie bascule lorsqu'elle est suivie par un mystérieux homme cagoulé, une nuit en rentrant d'une fête. Elle ne bascule pas tout de suite dans l'horreur, non, mais très subrepticement dans une vie où s'immisce le doute, et où elle découvre le manque de confiance. Il n'en fallait pas tant pour faire resurgir les fantômes du passé et exacerber la tendance naturelle de Cloé à la paranoïa.

Jusqu'au bout j'ai douté de l'issue. Et malgré l'état de stress dans lequel m'a plongée de roman -ou justement pour cet état, je ne sais plus...- ça valait le coup de lire cette histoire.
Cette histoire de fou dans tous les sens du terme.
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Première lecture de "Karine Giebel" et avis plutôt mitigé.

Alors l'histoire est plutôt originale : un homme qui te suit, te harcèle au quotidien, connait tes moindres faits et gestes sans qu'il ne se montre jamais, il y a vraiment de quoi péter un plomb. le livre se lit tout seul, le suspens est continuellement présent. Il n'y a pas de temps mort. La force du livre est que le lecteur se met également à douter de la santé mentale de Cloé. Est-elle schizophrène? Est-ce des hallucinations? Serait-ce elle qui déplace ses meubles? Bref, de ce coté là, l'auteur a fait fort, on est pris dans le tourbillon de folie quotidien que vit Cloé.

Par contre, je n'ai pas du tout apprécié la fin. Elle s'est voulue originale mais personnellement je l'ai trouvé bâclée. Sans parler des variations sentimentales de l'héroïne, qui pour une dure à cuir, tombe amoureuse un peu trop facilement à mon gout des hommes qu'elle croise.
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Cloé est suivit par une ombre, peu à peu cela devient une obsession qui ruine sa vie, ses relations ...Que veux l'ombre ? Existent elle vraiment ?

Un début ou il ne passe rien , on a le droit à une longue description des personnages... Cloé est hautaine , arrogante aucune personne n'a grâce a ses yeux si ce n'est sa soeur mais juste parce qu'elle se sent fautive et pas sans raison ... ...Gomez est vulgaire (meme si on sent qu'il a un bon fond) ...Le patron ,les collègues, le petit ami, manipulateur et la pauvre meilleure amie , bref on s'attache à aucun personnage ...j'avais vraiment envie de laisser le livre ... et après plus de 250 pages enfin peu à peu l'intrigue commence ...et là je ne l'ai plus lâcher jusqu'à la fin , d'ailleurs fin qui m'a fait rajouter une étoile .

En résumé comme à écrit Karine Giebel dans ce roman : " Il n'y a pas de plaisir sans douleur "
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Après avoir lu ce roman, je n'arrive pas à me décider... Est-ce-que je le conseillerais? Je ne sais pas.
C'est l'histoire de Chloé, jeune femme ambitieuse, qui est suivi par un homme au visage dissimulé par une capuche (la fameuse ombre). L'auteure part de cette base et joue avec le lecteur. Réalité, folie ?
Le personnage de Chloé est particulièrement antipathique, ce qui est dommage car du coup j'ai eu du mal à avoir de l'empathie pour elle.
En revanche, le rythme est soutenu et on sent la tension monter crescendo. le dénouement n'est pas très surprenant. Ce roman m'a fait penser à Robe de marié en beaucoup moins bien.
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Encore sous le choc! Quel livre étrange...

Il s'agit de mon premier livre de cette auteure, rencontrée il y a quelques années durant un salon du Livre à Paris. Elle se trouvait juste à côté de Franck Thilliez lors d'une dédicace et j'ai tout de suite était curieuse de connaitre son univers.

Et bien je n'ai pas été déçue... Aujourd'hui encore, après plusieurs jours, ce livre me trotte encore dans la tête tant il m'a ébranlé et que dire de son dénouement. Je crois n'avoir encore jamais lu un thriller qui me procure des frissons rien qu'en y repensant.

Je l'ai déjà peut-être expliqué (ou pas...) mais dans un thriller, j'aime beaucoup quand les enquêteurs ont un petit quelque chose d'écorché, et cela tombe bien puisque c'est généralement le cas (pour ceux que je lis). Mais ici, la personnalité du Commandant Alexandre Gomez va bien au-delà du flic abîmé par la vie, il a déjà un pied dans la tombe et ne pense à rien d'autre qu'à mourir. Quant à Cloé, la victime dans cette histoire, elle est à la fois détestable par son côté capricieuse et orgueilleuse, mais aussi pathétique à cause de l'enfer que lui fait vivre cette Ombre mystérieuse. Autant vous dire que Karine Giebel n'a pas été tendre quand il a fallu nous peindre le caractère et l'histoire de ses protagonistes.
Lien : http://lesratsdebibliotheque..
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Si vous aimez les suspenses à se ronger les ongles et même les phalanges quand vous aurez terminé les ongles: "Juste une ombre" de Karin Giebel va vraiment vous plaire. L'héroïne, Cloé, n'est pas tout à fait sympathique: la dame est pour le moins égocentrique et hautaine, voire franchement garce. Mais au fil des pages, on comprend que c'est une armure qu'elle s'est forgée pour se protéger d'un drame vécu lorsqu'elle était enfant. La demoiselle a tout pour réussir: belle, intelligente; elle a une place à responsabilité dans une agence de pub où ses dents qui raient le parquet lui promettent un bel avenir. Seulement voilà un soir, un inconnu la suit, il se met à la harceler, pénétre à son domicile, la poursuit, la rend folle, lui empoisonne la vie tout en s'arrangeant pour que Cloé soit seule à le voir. Dès lors tout le monde la croit folle; sauf un flic sur la touche, brisé par le décès de son épouse après 6 ans d'un cancer douloureux... C'est une histoire originale, une histoire de monstre pas ordinaire: pas de meurtres à la chaîne ou de supplices sanglants. Non, rien que la vicieuse, méticuleuse et inexorable destruction d'un être. L'écriture est efficace, claire et va droit à l'essentiel. Un style fluide et un tempo rapide au service d'une trame efficace et inventive.
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Celles et ceux qui prennent le temps de me lire savent combien j'aime partir à la rencontre de nouveaux écrivains, que l'inconnu livresque ne m'effraie pas et que j'en ressors souvent satisfaite.
Comme beaucoup de passionnés de lectures, le nom de Karine Giebel était loin d'être étranger mais je ne connaissais pas l'auteure.
C'est mon amie Nathalou93 de Babelio, sachant que je suis friande de polars, qui m'a proposée de la découvrir à travers « Juste une ombre ».
Je rentrais donc dans cette histoire en espérant y trouver un texte saisissant, captivant susceptible de me procurer des heures de plaisir.
Venant de le ranger définitivement, j'admets que, sans être un coup de coeur, il a parfaitement rempli sa mission puisque j'ai passé un agréable moment.
A travers ces quelques lignes, je vais essayer de vous expliquer les raisons pour lesquelles j'en suis parvenue à cette conclusion.
Ne vous est-il jamais arrivé un jour d'avoir l'impression qu'une présence maléfique vous épie ? qu'elle connaît vos habitudes, qu'elle scrute vos moindres faits et gestes ? qu'elle s'immisce lentement mais sûrement dans votre quotidien ? Oui, non, peut-être ? Ce qui est certain, en revanche, c'est qu'en accompagnant Chloé, l'héroïne du roman qui nous intéresse, vous vivrez cette expérience effroyable.
Au moment où nous ouvrons ce livre, notre protagoniste principale, jeune femme trentenaire publiciste de profession, s'apprête à concrétiser un de ses plus grands rêves, à savoir succéder à son boss, Président d'une importante agence de publicité. Tout réussi à cette forcenée du travail, ambitieuse et jolie qui fait fi de ses collègues, de leurs difficultés, de leurs jalousies. Qui ne se laisse influencer par personne même par son bien-aimé. Qui ne s'apitoie pas, ne s'excuse pas, ne pardonne pas. Qui ne cherche qu'à asseoir sa supériorité, son autorité jusqu'à ce maudit soir où elle aperçoit une sombre silhouette marchant sur ses pas. Sa vie vient de basculer. Elle ne saura jamais plus la même…
A partir de là, une ombre. Juste une ombre la poursuit. Méthodiquement. Sans relâche.
Ensuite, c'est une omniprésence sans visage, sans nom, sans motif déclaré qui la suit, pénètre chez-elle à son insu, chamboule sournoisement et méticuleusement son intérieur, l'observe à tout instant. Un fantôme pour ses proches, ses amis, les flics.
Une apparence qui devient finalement une obsession. Qui la brise professionnellement. L'isole de tous ceux qui l'entourent. La terrorise au pont de la rendre folle. Un être invisible, insaisissable, qui s'empare de son existence, qui fait d'elle sa « chose ». Pourquoi ? le temps qu'elle comprennes, il sera peut-être trop tard…
Vous êtes curieux quant à la suite ? Vous essayez déjà de trouver les raisons d'un tel comportement ? Vous êtes impatients de connaître la chute finale ? Je ne vois qu'une solution : vous plonger dans cette troublante et énigmatique aventure.
Une fois n'est pas coutume, je vais commencer par vous parler de la fin car c'est le gros point positif de cet ouvrage, Sans trop en dévoiler par crainte de vous gâcher le plaisir de la découverte, sachez seulement qu'elle m'a laissée pantoise. Elle est étrange, audacieuse et je pense que, comme moi, elle a plu ou plaira à beaucoup. Bravo Madame Giebel ! Il fallait oser ! le sort réservé à vos héros est intéressant pour ne pas dire non conventionnel. J'ai supputé sur différents coupables avant de deviner finalement au détour d'une phrase. En revanche, j'ai échafaudé un aboutissement en vain.
J'ai également été sensible au côté très psychologique du récit. Avec talent, la romancière nous invite à voyager dans un monde oscillant entre folie et persécution. Nous suivons avec anxiété, peine mais aussi avec avidité l'impitoyable descente aux enfers de Chloé ou plus exactement son entrée dans la psychose. Grâce ou à cause de sa méfiance innée, de son comportement imbuvable, du manque de preuves, nous doutons de plus en plus de la véracité de ses dires. Nous sommes persuadés qu'elle présente réellement des signes de paranoïa en étant convaincue d'être sous l'emprise d'une personnalité étrangère et inapparente. Cheminement flippant mais existant à parcourir !
Au moyen d'un style tranchant, de courts chapitres, K.G. tisse admirablement son emprise sur le lecteur. Elle fait monter la tension progressivement au fil de l'avancement pour la porter à son summum dans le sprint final. Elle nous permet ainsi de ne pas décrocher.
L'originalité de ce bouquin réside dans le fait que, par l'entremise d'une lettre destinée à la victime, nous pénétrons la psyché du psychopathe. Nous rentrons dans ses pensées, son délire. Nous apprenons à le connaître. Cela donne évidemment du sens aux allégations de la jeune femme que nous ne croyons pourtant pas quelquefois.
Toutefois, je ne peux qualifier cet opus de parfait.
Le début et la fin sont entraînants alors que des longueurs se font jour au milieu. Bénéfiques à l'instillation d'une angoisse graduelle, ces dernières m'ont gênée. J'ai donc eu le sentiment de faire du surplace. Ça a altéré mon plaisir.
Parlons enfin des protagonistes.
Chloé, qu'en dire ? Elle m'a déçue. Je n'ai eu aucune empathie pour elle. C'est une personne hautaine, détestable, égoïste qui n'a pas la moindre considération pour son prochain. Je concède volontiers que sa situation est cauchemardesque, je peux faire preuve de compassion, je ne voudrais pas être à sa place mais je ne suis pas arrivée à m'attacher à elle. Grosse désillusion.
Bertrand, Carole ne sont pas enthousiasmants. Ils sont probablement indispensables sans pour autant que j'en garde un franc souvenir dans le futur.
L'ombre est une actrice essentielle. Sans elle, pas d'histoire. Mystérieuse, terrifiante, elle m'a envoûtée, tenue en haleine d'un bout à l'autre.
Mon chouchou, si j'ose m'exprimer de la sorte, se prénomme Alexandre Gomez. Ce commandant de police « borderline » est attendrissant, émouvant. A la dérive émotionnellement, il est complexe, humain, professionnel et généreux sentimentalement. J'ai adoré investiguer avec lui. le concernant, j'aurais préféré un autre épilogue. Dommage, par ailleurs, que deux de ses proches (Sophie et Laval) soient si peu utilisés.
En résumé, j'ai eu dans les mains une oeuvre de bonne facture. L'intrigue assez classique sur le fond est bien construite. le dénouement renversant vaut le détour à lui tout seul. Les ingrédients indispensables à un bon roman noir sont réunis : l'efficacité, l'angoisse, l'addiction. L'enquêteur est, en outre des plus charmants. Qu'exiger de plus ?
Mon conseil : Vous n'avez rien à perdre à l'acheter ou à l'emprunter. Malgré certains détails qui ne m'ont pas emballée, cette oeuvre est une réussite et mérite amplement, par le suspense, le frisson, la manipulation mentale, le harcèlement obsessionnel qu'elle nous offre, de figurer dans la catégorie thrillers psychologiques. Pour une première concernant cette auteure, c'est un succès qui ne demande qu'a être confirmé par d'autres lectures. Pourquoi pas « Meurtres pour rédemption » ?
° Si vous êtes un inconditionnel du genre, vous apprécierez sans nul doute. Vous serez possiblement interloqués par son couronnement étonnant mais il quasi-certain que le moindre bruit, la moindre pénombre ne vous indifférera plus une fois le livre lu.
° Si vous avez tendance à vous croire persécutés ou si vous êtes excessivement méfiants à l'égard de menaces imaginaires ou réelles, attention de ne pas faire une crise de paranoïa.

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