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4,25

sur 4466 notes
Avant de débuter, je vais tout d'abord remercier Tomisika qui par sa bonne critique m'a donnée envie de sauter le pas. Donc MERCI pour cette découverte !

Voilà bien longtemps que je n'avais pas acheté un policier, juste pour le plaisir, peut-être trois ans, m'abreuvant d'oeuvres plus classiques, souvent moins distrayantes.

Juste une ombre m'a permis de découvrir Karine Giebel. Son écriture est fluide et travaillée, ce qui rend le tout très addictif. Il ne m'aura fallu qu'une journée pour dévorer ce livre. C'est simple je n'ai pas pu me détacher de ma lecture avant d'arriver au dénouement.

L'auteur nous mène en bateau, tout comme les personnages on ne sait pas si cette ombre provient de la simple imagination de Cloé ou non. D'un point de vu extérieur les faits énoncés par Cloé semblent tellement ridicules qu'ils prêtent à rire. Que dire à votre meilleure amie lorsqu'elle vous explique que quelqu'un rentre chez vous pour remplir votre frigo quand vous n'êtes pas là...

Personnellement j'ai adoré les personnages principaux, puisqu'on suit deux histoires croisées entre la fière et hautaine Cloé Beauchamp et Alexandre Gomez le commandant dans la police dont le simple regard vous terrorise. Au menu du jour, une course poursuite effrénée qui ne laisse personne indemne... Je me rappelle du nombre de fois où j'ai cru tenir la solution (et franchement je n'étais pas si loin de la solution finale, ce dont je suis plutôt fière), mais le récit a toujours eu une petite longueur d'avance sur moi.

En somme un véritable régal ! Je pense que je vais vite me plonger dans les autres oeuvres de Karine Giebel sous peu.
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Avec mon amie Siabelle, j'ai continué de découvrir la bibliographie de Karine Giebel. Cette fois-ci, notre envie s'est portée sur un roman noir où démence, harcèlement et psychologie s'entremêlent avec brio. J'ai été ravie d'échanger avec elle, d'autant plus que nos émotions étaient souvent similaires. Nous avons été conquises par les mêmes personnages, avons été glacées par le dénouement et, hélas, avons toutes les deux trouvé le début trop long. Et c'est finalement le gros point noir de cette lecture : à trop insister sur une mise en place lente, mais progressive, afin de développer la psychologie de tous les personnages, tout finit par s'enliser. Bien sûr, j'étais ravie de voir l'approfondissement de Cloé, la victime, ainsi que toute l'évolution du flic Alexandre dont la femme se meurt à cause d'une maladie. Leur relation avec leur entourage respectif était également bien creusée. Finalement, on a réellement l'impression d'être face à des individus entiers, crédibles, avec leurs forces et leurs failles… À leurs côtés, on se met à douter de tout : des événements étranges se réalisant et des proches de Cloé au comportement peu commun. On se questionne aussi sur leur santé mentale… C'est là un véritable tour de force qu'a réussi l'auteure !

Malheureusement, comme dit précédemment, ce point est contrebalancé par une intrigue lente et parfois répétitive qui donne une impression brouillonne. On se demande quand les choses vont décoller ou encore quand arrivera le moment où les deux héros se rencontreront enfin… Or, il faudra attendre la moitié du livre pour que, finalement, les choses se complexifient, puis gagnent en puissance. Pour Siabelle et moi, c'est bien trop long. Nous estimons que l'on aurait pu trancher le texte d'au moins une centaine de pages ! C'est dommage, car la seconde moitié est tout simplement intense, addictive et surprenante. Quant au dénouement, je suis tombée de haut. C'était terrible, sombre, pervers et effroyable. de quoi faire des cauchemars ! Karine Giebel n'est jamais tendre avec ses personnages… Et ce titre le confirme ! J'aime cela, car toutes les affaires de la vraie vie ne se terminent pas aussi facilement que celles des séries TV et, parfois, se concluent avec horreur…

Le destin de Cloé Beauchamp est un long chemin retors et assourdissant que j'ai pris plaisir à suivre. Pourtant, on ne peut pas dire que je me sois attachée à elle. En effet, la jeune femme a rapidement su montrer que, derrière sa beauté, elle cache une âme affreuse : elle est ambitieuse et prête à tout pour prendre la place de son employeur bientôt à la retraite. de plus, elle séduit la gent masculine ou ne peut s'empêcher de faire les yeux doux, même lorsqu'elle rencontre le petit-ami de sa meilleure amie… Elle se montre également hautaine avec tout le monde. Or, son assurance est pourtant une barrière qui la protège de blessures passées ainsi que de la culpabilité… Voilà une femme complexe, assez névrosée, avec de nombreux défauts qui la rendent humaine. Mais ce n'est clairement pas vraiment quelqu'un que l'on apprécie pour son tempérament ! Cela dit, comment rester de marbre à ce qui lui arrive ? Comment ne pas s'imaginer à sa place, face à cette ombre qui la menace, la suit et semble s'immiscer jusqu'à l'intérieur de chez elle ? Est-ce son imagination ? Un délire paranoïaque ? Un dédoublement de personnalité ? Ou bien y a-t-il réellement quelqu'un qui la traque ? Malgré les longueurs, ce thriller psychologique a réussi à me faire douter et à me tenir en haleine. Alexandre Gomez est également un individu intéressant. Policier borderline, ce qu'il va vivre avec son épouse m'a émue. J'ai également apprécié le fait qu'il soit parfois bon et mauvais : quand on le contrarie, il agit et ne se laisse pas faire. Ce n'est pas parce qu'il prend Cloé sous son aile qu'il va se laisser insulter… Avec Siabelle, nous avons adoré le suivre. Ainsi, malgré son début très lent, je vous conseille ce thriller psychologique efficace aux personnages troubles qui, quoi qu'on en dise, ne laisseront personne indifférent ! Merci encore à Isa pour cette lecture commune.
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C'est avec ma lectrice-amie Saiwhisper, que nous décidons de lire un livre de l'auteure Karine Giebel, qu'on affectionne toutes les deux. Je suis contente de découvrir avec elle ce titre : «Juste une ombre», que je vais enfin lire. Il traîne un peu dans ma pal à cause des commentaires mitigés alors c'est l'occasion de le lire.

C'est une bonne lecture, j'avoue qui demande beaucoup de la patience. Je trouve que la première partie, est très longue d'où le fait, que c'est une routine pour nos personnages. On fait la connaissance d'Alexandre, le flic rebelle, dont sa femme va bientôt mourir… Et ensuite on rencontre Cloé, elle travaille dans un bureau. C'est en sortant d'une soirée de travail, que sa vie bascule… Elle voit un homme avec une capuche noire dans un stationnement, il lui fait terriblement peur et depuis elle n'est plus la même. Elle le voit partout, même dans l'ombre. L'auteure Karine Giebel prend vraiment son temps pour intégrer l'histoire, c'est aussi centré sur l'atmosphère, où la paranoïa s'installe, au fur et à mesure des événements. J'avoue que l'action est très lente, c'est plus un thriller psychologique, d'où l'auteure Karine Giebel démontre bien les portraits des protagonistes. On voit également leurs environnements et les personnes qui entrent dans leur quotidien. Je ne ressens pas d'attachement pour Cloé parce qu'elle m'énerve un peu avec son côté plaintif, et qu'on reconnait un peu le même discours habituel, sur une longue période. Je possède beaucoup plus un intérêt pour Bertrand, le copain de Cléo qui retient toute mon attention. Et une chance, il met un peu de rebondissements, pour nous le lecteur.

C'est un livre qui prend vraiment son temps mais quand tu arrives à la deuxième partie, on sent un changement psychologique et une ambiance plus tendue. C'est quand les deux personnages se rencontrent, Alexandre et Cloé, qu'on voit les évènements qui s'accélèrent et que le bon flic Alexandre se met à enquêter. Il prend un rôle très important. Je m'attache à lui car il se dévoile plus. Il décide donc de laisser une chance à Cloé car personne ne la croit. Elle devient plus fragile et plus démunie, chaque jour qui passe. Même sa meilleure amie et son amoureux, ils doutent d'elle. Et au bureau, elle se garde une petite gêne. Elle trouve un complice en Alexandre, qui devient une présence rassurante, et il commence son enquête. Il se pose alors plusieurs questions : Qu'est-ce qui lui en veut ?, Qu'est-ce qu'il va découvrir ? C'est un peu une course contre la montre qui commence car on sent le danger se rapprocher davantage de Cloé. Est-il réel finalement ? Est-il vraiment un psychopathe ? Est-ce qu'il va réussir à la sauver à temps ?

L'auteure Karine Giebel, ne me fait pas regretter, cette lecture lente, jusqu'à l'enfer, pour certains personnages, à la fin. J'adore la conclusion, et aussi l'épilogue, qu'elle conclut très bien. J'aime également la psychologie, qui y est présente, et qu'elle nous partage bien. Elle ressort bien les zones grises, qui cachent souvent des secrets, qu'on garde pour soi.

Je remercie ma co-pilote Saiwhisper, avec qui on échange constamment, et grâce à elle, je suis contente d'avoir fini mon livre. Nous nous sommes beaucoup rejoints sur nos ressentis, lors de notre belle lecture ensemble. J'invite donc à aller lire sa belle analyse. C'est vrai que la deuxième partie, en vaut la peine. C'est long quand même, pour apprécier le livre, quand on arrive à la moitié du roman. Elle réussit bien l'ambiance qu'elle crée avec la peur, mais quand même. On peut lui donner ça, le titre : «Juste une ombre » qui porte très bien son nom. Je n'ai même pas deviné, en plus cette fameuse ombre… Même s'il ne fait pas partie de mes livres favoris, Karine Giebel restera toujours parmi mes auteures préférées.

Siabelle
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Comment ne pas sombrer dans la folie quand on a l'impression que quelqu'un nous poursuit , rentre chez nous , bouge les objets et surtout personne ne veut nous croire.
Comment se faire aider quand en plus on est assez désagréable, imbu de soi ...
Il faut trouver un flic paumé qui se souvient d'une affaire identique il y a quelques années.
L'intrigue est sublime , le final génial ; les livres de Karine Giebel ne finissent pas particulièrement bien mais on s'accroche.
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Encore une fois Mme Giebel vous frappez fort !!! Un pavé qui se lit plus vite que l'éclair tellement l'histoire est prenante... Un conseil : assurez-vous d'avoir du temps devant vous, parce que vous ne pourrez pas lâcher ce livre avant d'en connaître la fin !! Et quelle fin !!! Une histoire d'horreur !!! Vous nous malmenez Mme Giebel !!! C'est qu'on s'est attaché aux personnages principaux, nous !!! Pour l'histoire, c'est celle d'une femme qui devient la cible d'une ombre... un homme des noirceurs qui ne la lâche plus... Il la harcèle, lui fait peur, lui rappelle constamment sa présence... C'est glaçant comme ambiance. Vraiment, un de mes préférés jusqu'à maintenant dans l'oeuvre de cette autrice dont je pense que le plus grand bien !!! À lire !
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Et de deux! Et ce ne sera pas le dernier! Me voilà définitivement et irrévocablement super fan de Karine Giébel! Déjà plus que séduite par Meurtres pour rédemption qui m'avait totalement secouée, je me suis plongée avec délectation dans Juste une ombre! Pendant deux semaines, j'ai fait des cauchemars, me suis retournée dans la rue, ai entendu des bruits bizarres chez moi... Bref, je suis totalement rentrée dans l'histoire! Peut être même un peu trop! Cette auteure a un talent sans pareil pour vous donner l'impression que vous êtes le personnage du livre! L'histoire est glaçante du début à la fin et Karine Giébel ne nous épargne rien! Alors si toi, lecteur, tu n'aimes pas l'angoisse, la peur, passe ton chemin! Par contre, si toi, autre lecteur, tu aimes l'angoisse, la peur...retourne-toi vite car je vois Juste une ombre derrière toi!
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Je remercie les Babeliotes qui m'ont encouragé au cours des 200 premières pages car l'histoire s'est installée lentement et j'avoue avoir eu du mal à rentrer dans ces deux vies traitées en parallèle.
Alors, j'allais lire les commentaires élogieux au demeurant. Certains arguaient que l'intrigue allait débuter bientôt... patience.

Les parallèles se rencontreront, la crise paranoïaque et la perversion narcissique animeront l'intrigue de manière réciproque et crescendo, alors nous ne lâcherons plus l'ombre à moins que ce soit elle qui ne nous lâche plus.

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Jamais le trajet en TGV Paris- Genève ne m'a semble aussi court...
Lorsque le haut-parleur annonce l'arrivée à destination, j'ai envie de hurler:
"Mais il me reste encore 200 pages!!"

La cadence est infernale et la quinconce des récits parallèles jusqu'à la rencontre des personnages principaux est bien maîtrisée.

Le scénario est ficelé avec maestria, la touche d'humour caustique et les frissons rendent ce polar
viscéral!!!

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Cloé, est une jeune femme brillante et belle, cadre supérieur dans une boîte de communication et est candidate pour le poste de directrice générale, elle a un beau fiancé, une grosse cylindré, un bel appart.... Bref, tout lui semble réussir.........jusqu'au jour où à la sortie d'une soirée une OMBRE la suit, c'est le début de son cauchemar!!! L'ombre l'a harcèle, ne la lâche plus, elle est partout, ...à la rendre folle, mais qui peut bien lui vouloir du mal? Au fait, tout le monde la déteste, Cloé est arrogante, arriviste, méprisante hautaine, insolente...à se dire qu'elle n'a que ce qu'elle mérite!! Cloé soupçonne tout le monde, son ex-mari, son collègue de travail et même son fiancé. Et les autres qu'en pensent-ils? Pour eux Cloé est stressée voire folle ou souffrante d'une forme sévère de Paranoïa, en tout cas, personne ne la croit, et on lui conseille de consulter un psychiatre…c'est ainsi qu'elle perd son fiancé, son (unique) amie et même son travail,...............et ce n'est pas TOUT!!!!!
Un vrai thriller (assez terrifiant, que j'ai personnellement, évité de lire à la tombé de la nuit), une écriture simple, des chapitres courts (qui se lisent vite malgré les 502 pages) , un suspense qui vous tient en halène du début à la fin et enfin une fin hors du commun....Bref, une agréable découverte (le roman et son auteur "Karine Giebel") que je vous recommande vivement.
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« le dimanche, on lit au lit ».

Après Meurtre pour rédemption, dont je vous avais parlé ici (http://www.le-celibat-ne-passera-pas-par-moi.be/archive/2010/09/05/meurtres-pour-redemption-karine-giebel.html) et ici (http://www.le-celibat-ne-passera-pas-par-moi.be/archive/2010/09/19/j-ai-termine-meurtres-pour-redemption-karine-giebel.html), thriller psychologique époustouflant, j'étais curieuse de découvrir le nouveau né de Karine Giebel, persuadée qu'elle ne pourrait plus jamais atteindre le niveau extraordinaire de cette brique de 700 pages qui vient juste de sortir en poche.

Et bien je me trompais… oh comme je me trompais !

J'ai commencé Juste une ombre jeudi soir et, une fois dix pages lues, je n'ai plus pu m'arrêter. Sauf qu'au bout d'un moment, il était plus de 21 heures, je n'étais qu'à la moitié du livre et je commençais à angoisser grave, tout comme l'héroïne, Cloé, dont la vie se transforme un jour en cauchemar, jugez plutôt :

« Tu te croyais forte. Invincible. Installée sur ton piédestal,
tu imaginais pouvoir régenter le monde.
Tu manipules ? Tu deviendras une proie.
Tu domines ? Tu deviendras une esclave.
Tu mènes une vie normale, banale, plutôt enviable. Tu as su t'imposer dans
ce monde, y trouver ta place.
Et puis un jour...
Un jour, tu te retournes et tu vois une ombre derrière toi.
À partir de ce jour-là, elle te poursuit. Sans relâche.
Juste une ombre.
Sans visage, sans nom, sans mobile déclaré.
On te suit dans la rue, on ouvre ton courrier, on ferme tes fenêtres.
On t'observe jusque dans les moments les plus intimes.
Les flics te conseillent d aller consulter un psychiatre. Tes amis
s'écartent de toi.
Personne ne te comprend, personne ne peut t'aider. Tu es seule.
Et l'ombre est toujours là. Dans ta vie, dans ton dos.
Ou seulement dans ta tête ?
Le temps que tu comprennes, il sera peut-être trop tard...
Tu commandes ? Apprends l'obéissance.
Tu méprises ? Apprends le respect.
Tu veux vivre ? Meurs en silence... »

Une seule chose à dire : brrrrrrrrrrrrrrrrr…

Alors j'ai interrompu ma lecture, je suis allée me coucher, après avoir vérifié que tout était bien fermé chez moi, sait-on jamais. Et vendredi matin, j'ai lu à l'arrêt du bus, dans le bus, et même deux pages en arrivant au bureau, incapable de m'arrêter que j'étais, puis j'ai bossé, faut bien hein ma bonne dame, et en rentrant chez moi, limite si je ne me suis pas jetée sur le canapé avec mon manteau, pour terminer ma lecture.

Une fois celle-ci achevée, j'étais en état de choc, tout comme après Meurtres pour rédemption. Car lire du Karine Giebel, ce n'est pas comme lire du Mary Higgins Clark (même si j'en ai lu et si j'aime ça), je vous le dis, le choc est bien plus profond, bien plus long.

Cloé est pourtant une femme potentiellement antipathique. Hautaine, dotée d'un complexe de supériorité inégalable. Limite si je ne me suis pas dit un bref instant « tu l'as pas volé ». Puis l'empathie nait. On comprend son histoire, ses failles, son passé bouleversant. Et arrive Alexandre, au présent encore plus bouleversant. J'apprends à les aimer. A vouloir leur bonheur. A prier pour leur bonheur.

Mais prier suffira-t-il ?

Epoustouflant je vous dis ! Scotchant ! Et je pourrais vous proposer mille autres superlatifs, mais à quoi bon, je ne peux vous raconter l'histoire, la trame, la façon dont Karine Giebel entre d'une façon incroyable dans la tête de ses personnages, dissèque leur vie petit bout par petit bout et fait que, j'ignore comment, lire au finish devient immédiatement une drogue.

J'avais connu cela avec Meurtres pour rédemption. J'ai connu cela avec Juste une ombre.

Et ce que j'ai connu aussi, étonnamment, c'est cette envie folle de parler à l'auteure. Pour dire quoi ? Aucune idée, c'est ainsi. Et je me suis souvenue avoir eu la même sensation durant Meurtres pour rédemption. Bizarre autant qu'étrange. Faut pas chercher à comprendre.


Lien : http://www.le-celibat-ne-pas..
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