Nous avons, avec
Gilles William Goldnadel, au moins un point commun : la détestations de l'audiovisuel public tel qu'il est devenu, notamment France Inter.
Auditeur de cette radio depuis mon plus jeune âge, je ne peux plus me brancher sur cette fréquence, depuis un bon moment : Où sont passées les émissions comme « L'oreille en coin » , « le tribunal des flagrants délires, « Je vous écris du plus lointain de mes rêves », « Pop Club » et même « Là-bas si j'y suis »...
Qui remplace les
Jean Amadou,
Jacques Mailhot,
Maurice Horgues,
Claude Villers, José Arthur, Daniel Mermet,
Pierre Bouteiller,
Jean-Luc Hees ?
Charline van Hoenecker ,
Alex Vizorek,
Thomas Legrand,
Nicolas Demorand ? Je rigole... Ou plutôt, non : le persifflage politiquement marqué ne m'amuse pas vraiment. Quant au pluralisme et à la neutralité requise pour une telle radio, je ne critique pas le côté farce, mais reconnaissons que du côté respect du cahier des charges, il y aurait quand même à dire, comme dirait Audiard...
Bon, le sujet « France-Inter » n'est pas le seul que traite GWG dans ce petit manuel, « le fascime d'extrème-gauche nous fait vivre dans un camp de rééducation permanant », nous dit-il. Une saillie qui résume bien la pensée de l'auteur. Est-ce excessif ? oui, sans doute, mais l'homme n'est pas connu pour manier l'euphémisme ; et malgré tout quelques travers actuels sont pointés dans cet ouvrage qui reste polémique et de ce fait, clivant.
Gilles William Goldnadel à le sens de la formule. On est avocat ou ne l'est pas... On aime ou on n'aime pas...