Moi qui croyait lire une saga sur une chocolatière, je me suis rendue compte que ces romans étaient inspiré de la vie de cette héroïne qui a sauvé plein de gens lors de la guerre entre les États-Unis et le Canada de 1812-1813 . Elle a donné des informations stratégiques à différents généraux et changé le cours de cette guerre. Sa contribution sera reconnue lors de la visite du roi d'Angleterre alors qu'elle est âgée de plus de 80 ans. Son nom a été choisi en 1913 pour ma compagnie de chocolat favorite en reconnaissance de sa contribution . Ce 2e tome est un peu bâclé et le rythme est inégal ,alors je lui donne 6/10 pour cela.
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La ville – dont la population était estimée à un peu plus de mille âmes – ne semblait pas pour autant suffoquer sous les cendres puisque, selon toute apparence, les habitants se déplaçaient librement. Aucun rassemblement, aucune altercation entre citadins d’allégeance opposée. Le sentiment anti-américain n’était pas très apparent. Par ailleurs, il avait bien fallu que la vie quotidienne reprenne son cours, même si des gens s’accommodaient fort bien de l’envahisseur et que des traîtres rôdaient impunément dans les environs.
Elle savait qu’elle n’était pas seule dans la forêt, que des animaux l’habitaient, que des oiseaux signaleraient sa présence. Elle se rappela la crainte de sa fille Harriet ; des loups, des lynx, des ours et des chats sauvages pourraient l’attaquer. Elle se reprocha sa grande imprudence d’être partie sans arme. Comment se défendrait-elle devant une bête féroce ? C’est alors qu’elle songea à la couleur de sa robe. Celle-ci était fauve ; son fond brun tacheté de fleurs orange constituait un camouflage par excellence.
Toutes les femmes se pâmaient pour John, un homme bon, intègre, bourré de talents et au sommet de sa carrière à vingt-cinq ans. On dit que mademoiselle Powell était la seule à repousser un si bon parti, qu’elle se cachait même en dehors de la capitale pour éviter MacDonnel.
Il y a une menace plus dangereuse et plus persistante qui pèse sur nous et sur nos enfants, énonça le chef indien, qui avait repris son sérieux : si nous n’agissons pas, nous risquons tout simplement l’extinction.
Dieu est plus puissant que la poudre des canons et des fusils…