La passion des Burkinabés pour le cheval est perceptible à travers bien d'autres manifestations encore. Il suffit, par exemple, de se rendre à Hamdalaye, un vieux quartier de «Ouaga ». C'est là que se trouve l'hippodrome. On peut y voir, chaque mercredi, de furieuses courses de galop dans lesquelles la moyenne d'âge des jockeys est de... 13 ans. Une de ces courses fait l'objet de paris: c'est le PHB - Pari Hippique Burkinabé – géré par la Loterie Nationale. Mais, joueurs invétérés, les Ouagalais parient aussi sur les courses françaises : c'est le PMU'B, géré par la même société d'État.