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3,86

sur 1081 notes
Ce livre est si agréable et sans prise de tête ! D'habitude John Green apporte une complexité évidente à ses personnages, mais là tout de suite après avoir fini le livre je me sens légère et triste, triste que ça soit fini ! le livre le plus accessible de John Green 🙂
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J'ai fortement apprécié ma lecture de “Tortues à l'infini”.
John Green est un auteur que j'aime particulièrement et je n'ai pas été déçue de cet ouvrage que j'ai dévoré. Ce roman est merveilleusement bien écrit et très poétique. j'ai aimé les métaphores utilisées pour exprimer ce qui se passait dans la tête d'Aza et les questions existentielles que le livre suscite.
J'ai été un peu déçue de l'affaire Picket qui selon moi était un peu absurde et dont le dénouement était peu cohérent.
Quoi qu'il en soit je recommande vivement ce roman qui à été un pur moment de plaisir.
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Touchant (d'autant plus que le personnage principal, Aza, présente les mêmes troubles psychologiques que son auteur). Très intéressant de parcourir ses pensées. John Green a de toute évidence une très belle plume.
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Je pense que tout l'intérêt de la prose de John Green réside dans le fait qu'il traite des sujets un peu difficiles et surtout larmoyants, j'ai nommé la maladie ... Et oui ça fait vendre et surtout les bouquins tirent larmes, se sont de bouquins très appréciés car ils sont "touchants" alors oui c'était un bon bouquin, mais est-ce qu'il est surcoté ? Pour moi, ces romans sont clairement survendus !!
Lien : https://mellecupofteabouquin..
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Un peu déçue par cet opus de John Green. Je n'ai pas été convaincue par cette histoire qui met en scène une adolescente un brin trop torturée pour moi. J'ai davantage eu l'impression qu'il s'agissait d'un ouvrage à réflexion philosophiques sans véritable histoire développée derrière. Cela tourné un peu trop autour du nombril du personnage principal auquel je n'ai pas réussi à m'identifier et donc dont les combats contre son mal-être ne m'ont pas embarqués. Dommage.
Tortues à l'infini est pour moi la preuve qu'une fois de plus, avec John Green, ou ça passe ou ça casse.
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Tortues à l'infini est le dernier roman de John Green. Publié par les Editions Gallimard Jeunesse, ce roman de 340 pages coûte 21,00€.

Je ne suis pas du toute une fan de cet auteur. J'ai tenté deux de ces livres sans jamais accrocher ni aux histoires, ni à la plume. J'ai cependant voulu lui redonner sa chance : ce n'est pas possible que tout le monde apprécie cet auteur… sauf moi ?
On dirait bien que si. Dès les premières pages, j'ai été rebuté par le style d'écriture et le personnage « étrange » d'Aza. On peut avoir une psychopathologie sans être bizarre, vous savez !
La centaine de page vaillamment atteinte, je suis allée voir la fin que je n'ai pas trouvée plus intéressante que le reste du bouquin lu en travers…

Alors ma chronique ne fera pas de mal à cet auteur largement apprécié et dont le succès n'est plus à refaire. Et je me sens un peu comme un petit mouton noir de ne pas apprécier cet auteur. Mais non, ce livre ne m'aura pas plus convaincu que les autres que j'ai déjà tenté de lire. Je lui aurais au moins redonné une chance ^^

Un livre que je ne recommande donc pas, que je n'ai pas apprécié du tout : lent, fade, sans intérêt, avec des personnages loufoques et bizarres. Je n'y ai pas du tout trouvé mon compte !

Lien : http://freelfe.blogspot.com/..
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Je ne suis pas une fan inconditionnelle de John Green. J'ai apprécié Nos étoiles contraires, il m'a manqué quelque chose dans Qui es-tu Alaska? (pas grand chose) et je me suis ennuyée dans La face cachée de Margo. le seul qui, finalement, a trouvé grâce à mes yeux, c'est le théorème des Katherine. Et bien souvent, c'est celui que tout le monde oublie ou qui n'a visiblement pas marqué les esprits. Et par ailleurs, je n'ai toujours pas lu Will et Will, par manque de temps (mais je vais le faire).

Donc comme je suis tout de même curieuse, j'ai voulu lire Tortues à l'infini. ET cette fois-ci, ça a été pour moi un vrai coup de coeur.

Pourtant, je sais que pour beaucoup ça n'a pas été le cas.

Tout d'abord, l'écriture m'a beaucoup plus parlé. C'est pourtant le même auteur ;-) Moins de digressions, d'envolées littéraires qui dans les autres alourdissaient ou ralentissaient (à mon avis) la lecture. Ici, moins de grands discours et beaucoup plus d'intime. On sait que le sujet de ce roman touche personnellement John Green. On le sent clairement. C'est peut-être ça qui m'a atteint cette fois-ci. Là, pour moi, ça filait tout seul. J'enchaînais les pages avec cette envie d'en savoir plus sur Aza, sur Davis (et son jeune frère), sur Daisy, sur cette histoire de disparition... Avec ce fil conducteur ( les spirales obsessionnelles) qui se déroulait et s'enroulait, j'ai lu ce roman avec une rapidité folle. Impossible de le lâcher!

Ensuite, l'héroïne, Aza, m'a beaucoup touché. Son mal-être m'a parlé.(Non, ça va, je ne suis pas trop ou particulièrement névrosée) mais j'ai trouvé ses obsessions réalistes et bien retranscrites.

J'ai aussi beaucoup aimé les personnages qui gravitent autour d'Aza comme Davis, jeune homme riche mais seul qui essaie de garder la tête hors de l'eau et préserver son petit frère. Mais aussi Daisy qui souffre de l'indifférence de cette meilleure amie centrée sur ses propres problèmes. (Daisy est très touchante et drôle) Il y a du suspense et de l'émotion, une héroïne qui n'en est pas vraiment une, du mal-être, de la douleur et de l'espoir.

Beaucoup d'ingrédients que l'on retrouve dans les romans de l'auteur. Ici, c'est mieux dosé que dans certains.

Je veux bien concéder que l'histoire qui amène Aza à retrouver Davis, la disparition du père et l'enquête des deux amies…tout ça est un peu abracadabrant. Mais cela ne gâche pas la lecture. C'est une belle histoire avec des portraits touchants d'adolescents tourmentés et malmenés qui vivent des choses très différentes, qui peinent à se comprendre mais essaient.

J'ai aussi entendu le reproche que ces adolescents se comportent trop comme des adultes. Mais n'est-ce pas le cas dans beaucoup de John Green où les héros sont bien souvent plus matures que ce que leur âge pourrait laisser présager ?

Allez, une dernière petite remarque : il y a peut-être moins d'humour que dans ses précédents où bon nombre de personnages dits secondaires avaient un sens de la répartie cinglant. Ici c'est peut-être un peu moins flagrant.

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#PourFinir
Bref, moi, j'ai été conquise par ce nouveau roman. Vraiment.

Il y a eu pléthore de critiques sur ce titre. J'aurais peut-être pu vous épargner mon humble avis. Mais, autour de moi, j'ai entendu beaucoup de négatif (pas que heureusement). Alors, j'ai eu envie d'en dire du bien. Et comme quoi, on peut parfois être surpris par un auteur alors que l'on n'y croyait plus.

Pour conclure, je pense que ce nouveau John Green est à conseiller à ceux qui n'aiment pas John Green.




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Aza et Daisy sont inséparables. Et pourtant tellement différentes. Heureusement pour Aza qui souffre de troubles obsessionnels qui l'emmènent parfois très loin dans sa peur de la maladie, Daisy, grande fan de Star Wars, répond toujours présente. Quand un milliardaire disparait subitement, les deux amies vont décider de mener l'enquête pour toucher la récompense et renouer avec Davis, le fils du disparu, qu'Aza avait rencontré dans une colonie de vacances. L'amour va-t-il aider Aza ?
Décidément un John Green ne laisse jamais indifférent-e. Je ne sais pas trop quoi penser de ce roman, le personnage d'Aza fait peur, mais en même temps je n'ai pas pu lâcher l'histoire avant la fin. L'auteur sait camper des personnages aux caractéristiques bien particulières, comme d'habitude il y a ce qu'on ne pense pas pouvoir exister vraiment dans la vie (Davis et son frère abandonnés par leur père), du moins on espère, et des situations tellement réelles. Et pour décrire la spirale des pensées d'Aza, il faut ou avoir bien étudié le phénomène, ou en souffrir soi-même.
Je pense que ce roman va être un peu difficile même en 3ème, mais peut-être certain-es oseront se lancer juste sur le nom de l'auteur !?
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Bon, j'avoue avoir été un peu déçue sur ce coup là... Ca faisait un bon moment déjà que j'entendais parler de cet auteur "fabuleux" "culte" et j'en passe et je me suis décidée à m'acheter ce "fameux" "tortues à l'infini". le style ne m'a pas emballée plus que ça. Il s'adresse à (il me semble) plutôt des jeunes fin collège/lycée, ce n'est pas simple, de comprendre cette histoire de pensées parasites et tout ce qui habite la psyché de l'héroïne. Après, je crois que je n'ai pas réussi à être captivée par l'intrigue à cause de ce fil conducteur "enquête policière", pas vraiment crédible... Il me semble que ce qui a enchanté les critiques se situe plus dans le fait que l'auteur ait livré dans ce roman un pan de sa vie et plus particulièrement sa façon de vivre sa maladie.
Pas convaincue, donc... mais je découvrirai ses autres romans avec plaisir!
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John Green est un auteur que j'apprécie particulièrement, il parvient toujours à mettre des mots sur les douleurs que les adolescents peuvent subir ou ressentir. Un talent qui n'est plus à prouver. ‘Tortues à l'infini' je l'attendais +++, peut-être trop ! Mon emballement est retombé aussi vite que des blancs en neige contraints à la chaleur ! Les cent premières pages, celles qui installent le décor ne m'ont pas convaincue. Aza Holmes, lycéenne, lutte au quotidien contre ses angoisses, ses pensées intrusives et son obsession pour une bactérie (clostridium difficile). Et pourtant, elle est embarquée par sa meilleure amie Daisy dans une enquête sur la disparition de Russell Pickett, recherché pour fraude et corruption. L'intrigue est plate, sans intérêt, vue, revue. Alors je l'abandonne (c'est fou quand même !).

Pourtant, deux mois plus tard, la grippe ayant eu raison de moi, je me replonge dedans. Ma vision a changé et la magie opère (oufff !). J'ai traité l'enquête en second plan, axant mon attention sur Aza et sa maladie mentale qui souffre également du manque de son père, décédé. Un mal-être qui bouffe cette jeune fille, malgré tout consciente de ses troubles qui la hantent. Aza est persuadée qu'elle peut être contaminée et mourir à chaque instant. « Je garderai ses bactéries pour toujours dans mon corps, quatre-vingts millions qui se reproduiront, se développeront et se mêleront aux miennes pour produire Dieu sait quoi. » Elle s'enferme dans une spirale vicieuse et malsaine dont elle est incapable de se sortir seule. « Je ne dis pas que tu es une mauvaise copine. Mais tu es un peu torturée et ça peut être pénible pour les gens qui t'entourent. » Son personnage est puissant et réaliste (sûrement parce que l'auteur lui-même est atteint de troubles obsessionnels compulsifs depuis toujours). « Je détestais mon corps. Il me dégoûtait –ses poils, sa sueur, sa maigreur ? J'vais la peau sur les os, un cadavre ambulant. Je voulais m'échapper –m'échapper de mon corps, de mes pensées, m'échapper-, mais j'étais coincée à l'intérieur de cette chose, comme les bactéries qui me colonisaient. » Bien évidemment j'ai prêté attention (tout de même !) à Daisy, meilleure amie, fan de Star Wars et auteure d'une fan fiction, c'est son épaule attentive. Et puis, Davis, fils de Pickett, qui tente de garder la tête hors de l'eau et de consoler son petit frère du mieux possible. Ces deux personnages sont les piliers d'Aza et chacun à sa façon lui apporte ce petit rien qui l'aide à aller mieux, à avancer, à endurer. « Je savais que ma folie ne faisait plus figure d'excentricité, ne se résumait plus à une cicatrice au bout d'un doigt. Elle était devenue horripilante, comme elle l'était pour Daisy et tous ceux qui me côtoyaient. » «-Écoute, je t'aime et ce n'est pas ta faute, a-t-elle poursuivi, mais ton angoisse est un aimant à catastrophes. »

Sur fond d'enquête, John Green tricote et détricote la psychologie des personnages. Les maladies mentales touchent aujourd'hui 20% des adolescents de la planète, un mal-être trop souvent négligé par notre société. Alors, en parler dans un roman destiné aux ados à partir de 13 ans est une grande idée. Sensibiliser à travers une sorte de thriller attire plus de lecteurs ados que la 100% romance.
Enquête + amitié + TOC = une belle pépite psychologique.
« La question n'est pas encore tranchée : savoir si la folie est ou n'est pas la plus haute forme d'intelligence. »

Lien : http://www.mesecritsdunjour...
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