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Edward Wozny est un jeune banquier New-yorkais à qui tout réussit. Avant de partir pour occuper son nouveau poste a Londres, il est sur le point de s'octroyer des vacances bien méritées quand son patron lui demande un service:aider l'un des clients les plus importants de la banque a ranger et trier sa bibliothèque laissée a l'abandon. On lui demande surtout de retrouver un manuscrit du XIV ème siècle dont l'existence n'est pas prouvée. Pour cela il va trouver de l'aide auprès d 'une étudiante revêche mais experte en la matière: Margaret Napier. Dans le même temps, il se prend de passion pour un jeu vidéo et découvre, stupéfait, des similitudes étranges entre ce jeu et la légende du manuscrit disparu.

Voila un pitch qui donne envie de lire, mais malheureusement ce qui est a l'intérieur du livre n'est pas à la hauteur. C'est vraiment un livre calibré pour un très large public mais qui est sans surprise. Ca se lit très facilement mais c'est oublié tout aussi facilement. Les personnages n'ont aucune épaisseur et le coté jeu vidéo rempli les pages mais pas l'intérêt du livre.Quand a la fin , elle est particulièrement baclée et laisse beaucoup de zone d'ombre quant a la résolution de l'"énigme". C'est un roman fourre-tout qui finit par ennuyer.

Plaisir de lecture très limité donc une note de 3.5/10.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Peut-être vaudrait-il mieux que je n'évoque pas ce livre tellement j'ai été déçue ?
Je l'ai moi-même choisi, parmi d'autres, dans le cadre de l'opération "Masse critique" et venant de terminer "Un monde sans fin" de Ken Follett, je me suis allègrement plongée dans la lecture de ce "Codex, le manuscrit oublié" de Lev Grossman. Il aurait mieux valu qu'il reste oublié finalement...

Je suis pourtant souvent facilement conquise par un roman que j'ai choisi via les renseignements que j'ai pu glaner à droite et à gauche. Dans ce cas, si je n'avais pas été tenue d'écrire une critique à son sujet, je n'en aurais pas continué la lecture ; je ne vois pas pourquoi je devrais me forcer à lire quelque chose que je n'apprécie visiblement pas alors que tellement de récits m'attendent...

Bref, quelques mots sur l'histoire : Edward est un jeune banquier new-yorkais qui bénéficie de quelques jours de vacances avant de s'envoler pour l'Angleterre ; il vient en effet d'être promu et s'apprête à découvrir son nouveau travail. Il est alors contacté afin d'effectuer un travail un peu particulier : mettre de l'ordre dans la bibliothèque des Went. Par curiosité, il se rend chez la duchesse, bien décidé à ne pas accepter cette tâche mais il se laisse prendre au jeu et cela, d'autant que la dame lui demande de retrouver un manuscrit de grande valeur, perdu au milieu de ces innombrables oeuvres. Parallèlement, Edward est initié à un jeu vidéo aussi exceptionnel qu'étrange qui n'est pas sans rappeler le fameux manuscrit.

Ma profonde déception vient principalement du fait que je reste sur ma faim ; toutes les questions posées ne trouvent pas réponse. Pendant les 3/4 de la lecture, je me suis demandé où l'on voulait en venir et la fin m'a laissée abasourdie. Tout ça pour ça ?
Quant aux personnages, ils sont, je dirais, esquissés mais n'ont pas de réelle profondeur... Un livre que je ne recommande donc nullement...
Lien : http://paikanne.skynetblogs.be
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Edward Wosny, jeune banquier new-yorkais, se voit offrir une promotion dans une banque londonnienne. Promotion qu'il accepte en se dégageant 15 jours de vacances. Mais son patron exige de lui une dernière mission : retrouver un manuscrit disparu de la famille Went. Cette famille avait fait mettre en lieu sûr tous ses vieux livres pendant la seconde guerre mondiale à New-York.

Adorant les livres, Edward accepte la mission et se rend dans le vieille appartement des Went afin d'ouvrir les caisses et de découvrir le manuscrit disparu. Mais rien en se passe comme prévu et Edward ets obligé de chercher ailleurs que dans l'appartement.

Sa quête l'emmène à fréquenter une bibliothèque privée où il rencontre Margaret, une jeune universitaire qui fait des recherches sur l'auteur du manuscrit.

En même temps, son meilleur ami lui fait découvrir un bien curieux jeu vidéo : Momus qui recrée des situations de la vie réelle, et des lieux qu'Edward est amené à fréquenter pour ses recherches. Jeu vidéo et réalité se confondent.

Mon avis :

un roman efficace sur la recherche d'un livre dont l'existence est contreversée. A la recherche d'un livre dans le roman, mais aussi utilisation de jeux vidéos. L'auteur mèle médiéval et modernité avec succès.

Pas de courses-poursuites et autres codes à décoder, rien que du vraissemblable, ce qui est appréciable dans ce genre de livres.

Sans oublier le rebondissement final, que j'ai vu arriver, mais sans vouloir y croire, et pourtant si...

Lien : http://motamots.canalblog.co..
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Le titre et le résumé de l'é&diteur étaient alléchants et j'espérais trouver dans ce livre une histoire qui m'aurait fascinée.
D'autant que le New York Times le portait à la hauteur de le Nom de rose !
J'ai essayé de m'attacher à ce jeune banquier et aussi à l'intrigue, mais finalement "le soufflé est vite retombé" si 'jose dire. Point de fascination, point de trésor tel que je le rêvais. Je suis allée au bout et j'ai fermé le livre avec l'impression d'avoir manqué quelque chose, ou bien n'est ce pas l'auteur qui a manqué d'imagination ?
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Les yeux levés vers le ciel, Edward Wozny se tenait planté au milieu d'une foule de gens qui passaient à ses côtés.
Au moment de prendre quelques repos et avant de partir pour Londres où l'attend un nouveau poste. le patron d'Edward Wozny - un jeune banquier new-yorkais très en vue - lui confie une dernière mission…
Répertorier les ouvrages de la bibliothèque de famille Went, des richissimes clients de la banque. Les ouvrages rapatriés d'Angleterre, peu avant la guerre, sont entassés dans quelques caisses à l'abri du soleil dans un appartement new-yorkais. En réalité Edward est chargé de retrouver un mystérieux manuscrit à la valeur inestimable:
Le Voyage au pays des Cimériens de Gervase de Langford.
Parallèlement, Edward passe des heures sur son ordinateur à jouer à MOMUS un jeu en vogue que son copain Zeph lui a gravé. Très vite Edward semble trouver des similitudes entre l'univers du livre qu'il cherche et celui représenté dans le jeu (Ce qui n'est pas mon cas ! ).
Bref si dès le début ce livre est engageant et l'intrigue assez originale, suivre Edward et Margaret (Pardon, je ne vous ai pas présenté Margaret l'étudiante revêche qui prépare une thèse sur l'oeuvre de Gervase de Langford) partant à la recherche de ce manuscrit disparu et percer le secret du CODEX n'est pas d'un grand intérêt . Comme eux, je me suis demandé dans quelle galère je m'étais fourré. Comme Edward coincé dans l'oeuf de Pâque de son jeu, j'ai espéré jusqu'à la dernière page trouver la porte de sortie, je n'ai trouvé qu'un dénouement pour le moins étonnant…

Voilà ! J'ai trouvé ce roman plutôt laborieux !
Lien : http://dunlivrelautre.blogsp..
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Edward Wozny est un jeune banquier new-yorkais à qui tout réussit.
Il est sur le point de prendre quelques vacances avant d'intégrer un poste plus élevé dans une société bancaire anglaise. Cependant, durant ces quelques jours, son patron lui demande de céder à la dernière exigence d'un client dont Edward s'est brillamment occupé. Il va donc se retrouver à faire l'inventaire, le classement et le rangement de la bibliothèque de ce client, laissée à l'abandon.
N'ayant guère le choix, le jeune homme se met à l'ouvrage. Et reçoit pour consigne supplémentaire de chercher un manuscrit du XIVème siècle qui aurait une immense valeur.

L'intrigue se résume à peu de choses.
Le roman également.
En arrivant à la fin du livre, j'ai eu l'impression d'avoir été eu. D'avoir joué le dindon de la farce. C'est bien la première fois que ça m'arrive.

L'histoire commence pourtant bien, un jeune cadre promis à de grandes choses qui prend quelques jours de congés avant de s'envoler pour l'Angleterre... Sa découverte d'activités "ludiques", terme qu'apparemment il ne connaît pas, beuveries, sorties. Bref, la détente. Et ensuite, la tuile.
Cette dernière mission qui tombe du ciel et pour laquelle, au final, il se passionne. Bien.
J'ai aimé l'idée de départ.
Les données que livre l'auteur au compte-goutte sur les ouvrages, les quelques références à des textes complètement inconnus ou oubliés et toute l'érudition dont fait preuve Margaret Napier, la jeune étudiante qui rejoint Edward dans sa quête, sont autant de choses en plus qui viennent se poser comme des cheveux sur la soupe. Mal amenées, parfois injustifiées. En fait, du moment que Margaret intervient dans l'histoire, j'ai eu la furieuse impression que l'auteur jouait le nombre de pages. Qu'il en rajoutait le plus possible pour gonfler le roman.

Les personnages sont très inégaux.
Edward se pose en personnage principal, plus ou moins anti-héros puisqu'il entre dans un milieu (les bibliothèques) pour lequel il n'a jamais eu d'affinités. A se demander même si il a déjà lu un roman en entier ne serait-ce qu'une fois. On insiste beaucoup sur sa jeunesse et son sex-appeal, mais au final on a du mal à le cerner, à l'imaginer.
Margaret pose le problème presque inverse. Elle est trop... Trop cultivée, trop "dernière mise à jour du dictionnaire encyclopédique", ayant réponse à tout alors qu'elle est elle-même étudiante, jeune. Au final je me la suis imaginée comme une vieille fille de 45 ans, aigrie, tailleur strict et chignon, alors que ce n'est pas du tout la description qu'en fait l'auteur. Encore une fois, le personnage ne colle pas.
En revanche, j'ai beaucoup aimé l'Artiste, petit homme un peu autiste sur les bords, génie de l'informatique. Il reste mystérieux et hors d'atteinte.

L'écriture est lisse, beaucoup de lieux communs, peu de surprises.
Le fil se déroule uniquement en avant. Pas de flashbacks, pas d'approfondissement des personnages ni d'intrigue secondaire. du début à la fin tout est fait autour de ce seul manuscrit qui est le noeud du mystère. Si bien que ça se lit vite, et c'est peut-être pas plus mal... Parce que même avec la meilleure volonté du monde, cette histoire prémâchée en devient ennuyante.

Les incursions dans le jeu vidéo sont également assez mal rendues. Chargées de description faites avec un vocabulaire très riche, alors que voyant par les yeux d'Edward nous ne devrions pas avoir ce pointillisme. du coup, tout l'édifice se casse la figure. On n'y croit plus une seule seconde. D'autres romans ont surfé sur l'analogie réalité / jeux vidéo et s'en sont beaucoup mieux tiré. J'ai une pensée particulière pour Marie-Aude Murail et son Golem. Durant les descriptions du jeu, les images m'ayant traversé l'esprit sont des fragments de films dont les scènes paraissent avoir été tiré. Entre L'armée des douze singes pour la vision de New-York dévastée et envahie par la végétation, La Machine à remonter le temps pour l'aspect accélération du temps et Mad Max avec le héros en guide d'un peuple en guenille dans un univers post-apocalyptique... Côté littérature, il y a quelque volonté d'approcher le Nom de la Rose d'Umberto Eco, mais ça reste une volonté, car l'auteur en est très loin... J'ai également été tenté de voir un clin d'oeil à Nyourk de Stefen Wul, mais rien n'est moins sûr.

Attention ! Spoiler !!!

Enfin, sans vouloir gâcher la surprise de ceux qui ne l'ont pas lu, je dis, maintiens et affirme que la fin est inexistante.
J'ai relu une dizaine de fois les trente dernières pages, essayant de comprendre ce que j'avais raté, au cas où j'aurais raté quelques chose. Mais il a bien fallu que je me rende à l'évidence : la fin est incompréhensible sans un minimum d'extrapolation de la part du lecteur. A croire qu'il manque des pages dans mon volume, mais non, après avoir vérifié les numéros, elles sont bien toutes là.
A n'y rien comprendre, je vous dis !

A aucun moment il n'est dit où le manuscrit à été échangé. Comment il s'est retrouvé en possession de Margaret alors qu'Edward l'avait récupéré chez elle (ça c'est marqué noir sur blanc) et l'a même feuilleté. Donc nous sommes certain qu'il l'a bien embarqué avec lui. Pourtant, lorsqu'il arrive devant la baronne, elle lui passe un savon et lui sait qu'il a perdu le manuscrit. Où ???
A l'aéroport, il s'assoit sur un banc et pose le sac du manuscrit sur ses genoux. C'est encore une fois bien précisé...

Et ça se termine là. Point. La baronne se tire, et lui reste planté comme un con à se dire que le lendemain il doit aller bosser et reprendre une vie normale. Pas d'épilogue, rien sur Margaret, le Baron... Bref, il manque au moins cinquante page pour avoir une fin qui y ressemblerait. D'où le sentiment final de s'être fait arnaqué. Sachant que l'impression générale qui reste est celle de la fin, c'est plutôt gênant.

Ce roman m'a été envoyé dans le cadre de l'opération Masse Critique faite par Babélio avec le concours de certains éditeurs. Je remercie donc Babélio (où cette critique apparaît également) et les éditions du Livre de Poche pour m'avoir permis de découvrir ce roman. Malheureusement, je ne le recommanderai pas. Mais au moins je suis fixé. Depuis sa sortie je le lorgnais chez mon libraire. Maintenant, je l'ai lu. Je sais.
Lien : http://coeurdechene.unblog.f..
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Edward, jeune cadre talentueux d'une banque américaine, prend ses premières vacances depuis plus de trois ans. Il sait que dans 15 jours il rejoindra - et c'est une promotion ! - une banque londonienne prestigieuse. Cependant le patron de sa banque l'envoie mener à bien une dernière tâche avant son départ, à savoir se mettre au service d'une duchesse richissime. Lorsqu'il se rend chez elle, on lui confie bien étrangement... quelques caisses de très vieux livres à cataloguer avec pour mission particulière de retrouver un manuscrit médiéval, dont un certain Gervase serait l'auteur. Parallèlement, il met à profit son temps libre pour rendre visite à un couple d'amis informaticiens, qui lui donne un jeu vidéo à tester, MOMUS. Alors, petit à petit, tout s'enchevêtre, quête du manuscrit et progression dans le jeu.

Le lecteur a certes envie d'arriver à la résolution de cette double énigme. Il faut dire que l'auteur ne ménage pas ses efforts pour semer des fausses pistes et aussi innonder le lecteur de langage de spécialité tant dans l'univers des bibliothécaires que dans celui des techniciens informatiques. Et vous verrez que du stenogramme à l'oeuf de Pâques, il n'y a qu'un pas. A mon avis, la profusion de ces détails, loin d'allècher le lecteur, allourdit l'ensemble. Il y en a trop !

L'intrigue est, il est vrai, intéressante ; on est toujours sur le fil du rasoir, à balancer entre réel et virtuel. Mais, tout de même, les descriptions prolixes de la progression du joueur dans un univers de plus en plus glauque et dévasté sont pesantes.

Certains se réjouiront de découvrir un style d'écriture très accessible, mais, là, on frise le roman de gare. On dirait que l'auteur ne maîtrise qu'une seule et unique figure de style, la comparaison. Que dire, en outre, de détails sordides ou savoureux - c'est affaire de point de vue- comme celui des jambes mal rasées de Margaret, un des personnages qui aide Edward dans sa quête ? On cumule les mises en abîmes, les récits dans le récit ; on a certes un récit encadrant, celui du parcours d'Edward dans une sphère bien réelle entre New-York et Londres, mais l'auteur a décidé d'y mêler celui du jeu vidéo et celui du manuscrit. Qu'on ne s'inquiète pas pour moi, j'ai bien compris le tout, mais pourquoi bousculer autant le cours du récit ? Surtout pour produire une telle fin, une sorte de bombe énorme qui fait bêtement "Pschittt !" ?

Pour être honnête, l'intrigue étant bien construite, j'ai tenu à arriver au bout de l'histoire. J'ai donc eu ma dose de suspense, de rebondissements, d'énigmes et de coups de théâtre, mais cela ne suffit pas à me faire regretter de devoir fermer ce livre et quitter son histoire et ses personnages. Il y manque vraiment quelque chose !
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Bof ! un roman mou au final improbable. Je me demande comment j'ai fait pour le finir.... peut être parce que l'auteur à réussi à rendre son héros attachant.... c'est maigre !
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Le Da Vinci Code a ouvert les portes à un torrent de théo-fictions, de qualités diverses, mais dans l'ensemble agréables à lire. Avec Codex, le Manuscrit Oublié, Lev Grossman (Calman Lévy, juin 2007) renoue avec un courant alternatif du genre, celui de la biblio-fiction ; un genre, est-il utile de le rappeler, brillamment lancé par Arturo Perez-Reverte et son Club Dumas. Un jeune banquier d'affaires new-yorkais se voit confier, par une riche cliente, le soin de retrouver un manuscrit mystérieux, une oeuvre mineure d'un certain Gervase de Langford intitulé Voyage au pays des Cimériens. Un conte philosophique, publié à Londres en 1366, et qui devrait permettre d'éclairer l'histoire familiale de la commanditaire. Un beau sujet, prétexte à dérouler un thriller haletant, à la fois dans les vieux papiers et dans les mondes virtuels. Car à la thématique de base se superpose une autre énigme, celle d'un jeu vidéo qui semble recouper de façon perturbante la recherche dans le monde réel.
Un ouvrage à dévorer !

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Je termine "Codex le manuscrit oublié".
Une intrigue à plusieurs niveaux, un héros malgré lui, des personnages qui débarquent quand on ne les attend pas. On se retrouve en plein jeu d'arcade et c'est à cela que me fait penser ce roman.
Le héros, justement, recruté pour retrouver un livre du XIVè siècle. Un jeu video auquel il ne comprend rien mais dont il pressent l'importance. Une jolie universitaire qui nous en apprend autant sur la bibliophilie que wikipedia... et bien d'autres personnages, comme autant de guides à résoudre l'intrigue.
Au-delà quelle est la réalité? Certainement la question que se poserait Edward s'il n'était pris dans le tourbillon d'une recherche dont il ne parvient pas à saisir le but. L'incroyable facilité avec laquelle il accepte de "jouer".
On est quelquefois surpris par l'écriture, comme s'il manquait quelques transitions, comme si quelques passages devaient rester cachés, ou confus.
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