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4,02

sur 2179 notes

Nota : j'ai commencé a écrire cette critique environ 150 pages avant la fin. Ça devait être un canevas pour structurer la compréhension d'un livre dont l'accès est difficile : où l'on se sent perdu dans le désert d'Arrakis avec un Fremkit défectueux et un distille qui fuit. Et j'ai l'impression d'avoir tapé dans le mille (ou presque). J'ai donc décidé de ne pas modifier la rédaction, car même si la critique est incomplète, je pense qu'elle révèle la nécessité de l'épilogue. A la dernière page, j'ai éprouvé une grande satisfaction d'une résonance commune, mais je ne m'attendais pas aux twists finaux, où même si on a compris ce qui motivait certains personnages, leurs choix et comportements sont inattendus et surprenants : comme l'expression explosive d'un plan dans un plan, dans un plan...

Voici la critique initiale :

Que savons nous de l'univers de Dune à ce stade. Visiblement la société est foncièrement féodale, aucune liberté ne rêgne ni pour les peuples, qui comptent pour quantité négligeables et qui est corseté par la peur (des pouvoirs), l'angoisse de la survie (sur des planètes pas très hospitalières) et le mauvais espoir (des religions). le scientisme a probablement été réprimé après le mythique jihad butlerien dans un lointain passé. Depuis les peuples vivent dans une forme de stagnation, ce qu'il reste de la technologie a probablement peu changé, quelques technoplanètes entretiennent un artisanat techno-scientifique mais elle est réduite et s'adresse à ceux assez riches pour le payer. le Landsratt, une sorte de parlement, est intimement lié à la CHOM, qui gère les aspects économiques de l'empire. Visiblement la CHOM prélève une forme d'impôt dont les clés de redistribution aux différentes maisons du Landsratt sont prédéfinis, presque immuables, et ne permet pas les initiatives sans une permission implicite ou explicite des trois grandes maisons (Atréides, Corrino, Harkonnen). En fait le duopole CHOM/Landsratt ne permet que de définir l'équilibre des forces entre les trois grandes maisons. La guilde, qui finalement n'est qu'une agence de transport, jouit d'une certaine forme d'indépendance de par leur nécessité à l'irrigation de l'empire. Elle reste plutôt neutre, sauf si son existence à long terme est menacé. le Bene Gesserit dont le but est d'améliorer la politique, la gestion des peuples, tentent d'équilibrer les divisions tout en les alimentant. Elle vise la création d'un dirigeant idéal le kwisatz haderach auquel elle se soumettrait mais voudrait aussi contrôler. Voilà pour la partie réaliste de Dune.

Passons à la partie fantastique, Dune et l'épice. L'épice une sorte de graal qui donne vie à l'empire et ses protagonistes : prolonge la vie, donne des visions du futur, permet de replier l'espace et donc de se déplacer instantanément de planètes en planètes. Une seule source Dune, via un processus franchement étrange. Mais écartons nous légèrement du propos pour une autre considération. Il semble que l'univers est vide, aucune intelligence extra-terrestre n'a été rencontré, mais on la craint et c'est pour cela que l'on conserve les armes atomiques. Visiblement les planètes conquises ont due être terraformé ou adapté avec des animaux et des végétaux provenant initialement de la Terre, même si ses êtres vivants ont légèrement évolué pour s'adapter aussi à leurs environnement. Globalement on n'est pas dépayser : sauf pour l'écosystème du vers d'Arrakis. Est-ce la seule forme de vie alien rencontré, on ne sait pas.

Voilà le décors, dont beaucoup est encore dissimulé par des rideaux et des ombres. Parlons du fracas.

La question sous-jacente est probablement de savoir si le libre-arbitre est possible dans un univers où la liberté est absente. Absente dans les faits, n'importe qui est soumis à des allégeances subies ou consentis à ses seigneurs, ses prêtres, ses lois, voire ses choix. La désobéissance se paye généralement par la mort. Voire absente de la trame même de l'univers : si l'avenir est figé, s'il n'y a que destin, il n'y a que soumission et aucune liberté. Mais la liberté n'est pas absolu, elle est un continuum. Il est évident que pour le petit peuple, en tant qu'individus, il n'a guère de choix, il est soumis, réprimé, sinon punis : sa capacité d'action, corollaire d'une liberté, est quasi nulle et compte pour peu. le peuple ne peut acquérir de liberté que collectivement, par exemple par la révolte, c'est ce qui effraie ceux qui ont des pouvoirs en tant qu'individus. Ils ont la libertés de commander, presque sans entrave, d'imposer le destin de celui-ci ou celui-là, mais dans la crainte d'une réaction collective consciente (la révolte, la guerre civile), ou inconsciente (l'extinction, l'effondrement). Deux choix s'offrent alors à eux : la tyrannie ou la soumission librement consentis. On reconnaîtra les choix des différents protagonistes.

Ce dilemme s'applique aussi aux protagonistes qui ont le plus de pouvoir : Paul, Alia, Leto, Ghamina. Ils ont en eux l'expérience du passé et la vision du/des futurs. Une vision panoptique de l'univers et sur ce que peut espérer et faire un individu. La réponse reste néanmoins flou, car il n'est pas facile d'interpréter ce que l'univers recelles par les effets et les transes de l'épice (la porte de la conscience sur l'univers). Il semble que les possibilités de libre arbitre sont réduites. La liberté pourrait être possible, mais elle demeure un paris. A défaut de libre arbitre, peut être ineffable, il est peut-être plus raisonnable de parier sur l'illusion du libre-arbitre, pour ne pas sombrer. L'individu est foncièrement un être actif qui pour se mouvoir doit croire ou choisir un but.

Voilà pour la théorie. Mais qu'en est il dans la pratique ? le peuple Fremen s'est fait flouer. C'est le seul peuple dont on a une description de son mouvement, de sa subjugation qui va le mener à son désespoir. Avant l'arrivé des Atréides sur Arrakis, le peuple Fremen est certainement le seul peuple libre de l'empire. Pas dans ses apparences. D'une part l'hostilité de la planète est telle que l'individualisme n'est pas possible sans provoquer sa mort, voire celle des autres. Tout écart à la norme de survie du groupe est condamné généralement par la mort. D'autre part du point de vue de l'occupant Harkonnen et de l'empire, le peuple fremen est faible, peu nombreux, disperçé et sous contrôle. Mais dans les fait, ils sont libres de leur destion et ont la capacité de garantir cette liberté. D'abord la garantis évidente, ils supplantent militairement les Sardaukar, mais restent cachés. Maintenant leur liberté en tant qu peuple : ils ont choisis un projet à long terme pour transformer la face d'Arrakis. Ce projet est collectif et appartient à chaque fremen en tant qu'être, en tant que but, en tant qu'espoir positif. Lieth les dirige avec leur consentement, il est plus un coordonnateur, un inspirateur, qu'un chef, il a un pouvoir par délégation et pas par légitimité de sang. Et voilà qu'arrive leur "bourreau", qui va leur imposer leur gouvernement par la légitimité du sang : le duc autoproclamé et héréditaire. Les Fremen se laissent subjugué par le fils car il leur démontre qu'il a le pouvoir de leur donner ce qu'ils veulent sans la peine et l'effort qui va avec. Paul les dépossèdent de leur rêve. Pas dans la finalité d'une planète transformée, mais dans la confiscation de la propriété de cette transformation. Je pense que celà explique la férocité du Jihad qui suit l'imperium de Paul. Les Fremen ont une rage inconsciente de cette dépossession et font connaître leur fureur dans la conquête des planètes. Car dans ce jihad rien ne compte plus que cette fureur car la religion qu'ils imposent fondamentalement après trois tomes, on n'en connaît pas le credo, son message (comme on connaît tout le crédo Jedi), car il n'importe pas.

Revenons finalement sur le décors. Parfois nous sommes invité par la situation ou les protagonistes à contempler la beauté subjuguante d'Arrakis. Est ce que cette beauté et la contemplation est un moteur de l'histoire et du destin de Dune, ou juste une respiration. Je ne sais pas. J'en attend quelque chose, mais ce quelque chose ne vient pas, ou alors elle se meut profondément presque imperceptiblement sous les sables de Dune.

P.S : toutes les fautes sont de moi, c'est mon blasphème à la religion grammériste.
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J'ai eu beaucoup de mal à lire Les Enfants de Dune de Frank Herbert, le 3e tome de la saga. Je ne m'explique cette difficulté que par une prose plus narrative, plus explicative sur les états de conscience des personnages mais aussi plus mystérieuse. Si on ajoute un langage ésotérique empreint de mysticisme, de fatalité, de prophète et de destinée, on se retrouve avec une lecture très particulière.

Mais ça, c'est l'univers de Dune, un univers d'une grande richesse. Frank Herbert tisse ici une fresque autour des enfants de Paul dans lequel tous les personnages s'articulent entre complots, manipulations et prescience. Il est bien difficile de dire qui tire les ficelles, qui est en train de faire sa place dans ce grand jeu d'échec politique. Mais Les Enfants de Dune ne se limite pas à cela.

Frank Herbert y ajoute des couches de réflexions autour de l'écologie (notamment celle de l'écosystème principal, la planète Dune) ou de l'évolution des sociétés. Et j'ai beaucoup aimé ce contrepied idéologique qui rejoint un peu mes propres idées écolos, le tout étant très intimement lié à l'histoire, pas juste comme une toile de fond.
La suite sur le blog…
Lien : http://livrepoche.fr/dune-3-..
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Arrakis semeure, Leto et Ghanima, les enfants de Paul et de Chani pourront-ils sauver la planète ? arrêter les changements que leur père a lui-même mis en branle ?
Les complots et machinations ont la part belle dans ce tome. Toutes les factions en place ont leur propres buts et idées pour les mettre en place. Une intrigue grandiose et parfaitement ficelée !
Lien : http://lespipelettesenparlen..
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Le tome 3 se situe dans le temps un peu moins de 10 ans plus tard. Les personnages centraux sont entre autres Léto II et Ghanima, les enfants de Paul Atréides, Alia la soeur de Paul qui a pris la régence de l'Impérium et un mystérieux prêcheur venu du désert. L'impérium est devenu une machine à asservir, le mouvement instillé par Paul a perdu son âme et avec cet affaiblissement du régime, de nouveaux complots se font jour. J'ai globalement un peu moins apprécié ce tome que les deux précédents, bien que la lecture reste sympathique.
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Au final, je comprends très bien que d'autres aient pris du plaisir à ce cycle et il y a sûrement beaucoup de chose à en dire et à analyser, mais ce n'est pas mon cas. Hormis Dune, je n'ai pas réussi à entrer dans son univers, le scénario bien que riche et complexe m'a ennuyée et les personnages ne m'ont pas du tout tapée à l'oeil. Je m'arrête là pour ce cycle, dommage.
Lien : http://helran.fr/lecture/boo..
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Le moins que l'on puisse dire, c'est que j'ai lutté pour venir à bout de cette troisième aventure sur Arrakis ! Car, si Dune m'avait soufflé, si le messie de Dune versait trop dans la métaphysique à mon goût mais restait très fort, Les enfants de Dune peut largement être scindé en une moitié de théologie et de mysticisme et une autre de péripéties plus dynamiques. Alors, c'est vrai que cet épisode est fort tant pour la trame que pour sa mise en scène. Cependant, j'ai bien dû passer de larges parties non pas en faisant l'économie de lecture mais plutôt parce que je n'entendais rien au propos. Je soupçonne une certaine tactique d'Herbert pour donner l'impression que l'enjeu des discussions entre les acteurs de l'Empire dépassent notre intelligibilité.

Paul Muad'Dib n'est plus. Arrivé au point de non-retour, il alla se perdre dans le désert. Maintenant, c'est Alia -sa soeur- qui tient les reines de l'Empire qu'il battit. Sous le règne d'Alia, Arrakis n'a plus grand chose à voir avec l'énorme étendue de désert qui mettait à rude épreuve la capacité de survie. Elle devient presque chatoyante. Les Fremen au service du palais changent physiquement. Certes, le désert demeure, mais personne ne semble vraiment y vivre. du moins, c'est bien ce qu'Alia aimerait : annihiler les leviers sur lesquels s'étaient appuyé Paul. Les êtres aussi changent. Jessica n'est plus que très rarement sur Dune et ne semble presque plus faire partie de l'Empire mais plutôt du Bene Gesserit (plus sûrement qu'auparavant en tout cas). Alia (mariée à Duncan) jouit de son nouveau statut, comme ses divers compagnons profitent de sa position. Parmi la vieille garde, Stilgar ronge son frein et Gurney semble encore proche de Jessica. Enfin, une nouvelle figure s'affirme en la maison des Corrino afin de rétablir l'empereur destitué par Paul. Les enfants de Dune serait-il une simple intrigue de cours ? Heureusement que Leto et Ghanima, les enfants de Paul, bouleversent l'échiquier. Surpuissants, et en dehors de notre réalité notamment à cause des milliers de vies qui les habitent, ils joueront bien sûr un rôle prépondérant dans l'ensemble de cette aventure.

Le problème avec Les enfants de Dune, c'est qu'on va d'excitation en ennui, d'actions et d'événements trépidants en calme plat. Difficile alors de vraiment se prendre au jeu, même si je conviens très bien qu'il est rondement mené. Même l'une des meilleures idées du roman selon moi (cette ambivalence entre adulte et enfant des jumeaux) pêche parfois. En effet, autant parfois Herbert joue avec cet entre deux, notamment lorsque les jumeaux parviennent à leurs fins, mais qu'ils doivent se reposer car leurs corps demeurent ceux d'enfants d'une dizaine d'années. Mais, et de plus en plus au fur et à mesure que les besoins de la trame l'imposent, nous oublions cette particularité. L'un et l'autre ne rencontrent plus ces problèmes et agissent comme des adultes normaux. Certes, ils sont anormaux et cela peut expliquer cette évolution. Mais je trouve que ça serait chercher des excuses. Un petit mot sur le finish, grandiose, qui rattrape quand même le tout (qui n'était pas tombé si bas).

Bref, je crains fort que la suite de l'épopée restera sur ce mode un peu indigeste. La conclusion de Les enfants de Dune le suggère par ailleurs assez bien. Même si la saga reste incontournable, il faut avoir envie de se l'avaler (ce qui, quelque part, n'est pas un mal). Il y aurait des tas de choses à dire, sur les tensions, les choses suggérées, certains événements particulièrement marquants. D'une part, de gros spoiler apparaitraient et, de l'autre, je ne suis pas sûr que dévoiler toute cette complexité soit intéressant.


Les Murmures.
Lien : http://les-murmures.blogspot..
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Paul Muadib a rejoint le désert. La saga de Dune se poursuit donc à travers le parcours des jumeaux Leto II et Ghanima, sous la régence d'Alia, soeur de Muadib. Franck Herbert ne nous ménage pas dans le premier tiers du livre tant ses réflexions politiques, philosophiques ou religieuses sont nombreuses et parfois trop ardues, en tout cas pour moi. La traversée du désert que je redoutais à l'entame du tome 2 a finalement eu lieu ici.
Certes, il réintroduit l'univers de Dune et poursuit les thèmes abordés, mais cela reste long avant que l'action se précise et que le livre prenne un autre rythme.
Il reste que l'écriture de Frank Herbert m'a permis de passer le cap. J'apprécie sa façon de nous asseoir à côté de ses personnages. Il peut nous les rendre à la fois attachants et effrayants comme Leto II, nous inspirer du mépris et de la compassion pour Alia et de la pitié pour Muadib encensé dans le tome précédent. On partagera ainsi les peurs de nos 3 pré-nés de devenir une abomination et on suivra comment chacun gère leurs multitudes de vies intérieures. On s'interrogeait dans le tome précédent sur l'humanité résiduelle du ghola Duncan idaho, la réponse est apportée.
Aussi, Dune a changé. La végétalisation de la planète, la division des Fremens entre traditions et modernisme, l'extrémisme du gouvernement d'Alia sont autant de réflexions amenées par l'auteur sur le déclin de la planète.
Que dire de la situation des jumeaux Atréides, enfants de 9 ans avec une expérience de milliers d'années qui semblent être les seuls à pouvoir sauver Dune mais Frank Herbert nous surprend.
Autant j'ai trouvé le début un peu long, poussif, autant la fin est tonitruante et nous laisse forcément l'eau à la bouche pour découvrir la suite. Tout l'art de Frank Herbert.



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Après un deuxième tome plus introspectif et mystique, la saga littéraire Dune prend un nouvel essor avec ce volet (écrit en 1976) consacré à l'essor des enfants de Paul Atréides, les jumeaux Leto et Ghanima. L'amateur de cette immense fresque de science-fiction mystique pouvait craindre l'absence du père, dont on perdait la trace dans les méandres du désert à la fin du Messie de Dune. Comment Frank Herbert allait-il rebondir pour proposer un nouvel angle à son univers protéiforme et exotique ? La réponse est simple : il fait tout et plus encore ! Mais en attendant cette possible accession à ce statut divin (avec Dune, rien n'est jamais sûr), nous allons assister une nouvelle fois à l'avènement d'une mythologie que rien ni personne ne prévoyait. Déjouant toutes les attentes et tous les pièges tendus par une complexe galerie de personnages religieux, militaires ou politiques, les deux enfants vont faire basculer un empire et révéler l'impensable.

Les Enfants de Dune est un récit extrêmement bien maîtrisé, qui aurait pu se vautrer par un excès de jargon, de personnages et de situations tant l'univers est riche, mais l'écrivain américain sait éclaircir son propos pour le rendre lisible tout en apportant une richesse infinie aux concepts démentiels qui nous sont proposés. le temps est encore une fois au centre de tout, et c'est toujours un vertige de lire ces pages où le passé, le présent et le futur se côtoient dans une vision extralucide. A cela s'ajoute la géographie de Dune où la planète est devenue un jardin, remettant ainsi en question la pertinence de modifier aussi profondément la nature d'un écosystème, même pour le bien de tous. Les répercutions de cette évolution sur la population seront en effet assez étonnantes, le peuple Fremen oubliant peu à peu ses traditions et sa philosophie de vie.

Enfin, Les Enfants de Dune dans son dernier tiers, et suite aux Néanmoins, le récit s'articule également autour de personnages également fascinants, tel que Dame Jessica, toujours aussi intrigante, et surtout Alia, la soeur de Paul, devenue régente de Dune, et qui va succomber à la possession maléfique d'un ancien et redoutable ennemi. Bref Les Enfants de Dune est une réussite majeure de la science-fiction littéraire et c'est avec une impatience non dissimulée que nous lirons la suite de cette fresque exceptionnelle !
Lien : https://murmuredelombre.word..
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"J'ai préféré ce tome 3 au précédent. Il est vrai que à ce niveau on commence à bien connaître les personnages et les factions, ce qui aide à la lecture.

J'y ai trouvé un petit côté écosystème, bien qu'il a été écrit en 1976! (Par ce souci, il est avant-gardiste alors icon_smile"
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Pour ma part Frank Herbert reste dur à comprendre, il y a de bons passages, des personnages intéressants comme Jessica, les jumeaux ou stilgar et heureusement qu'il y a des dialogues sinon je pense que je m'ennuierais.

Je continuerais à lire la série parce que je pense que ça fait parti des classique qu'il faut avoir au moins lu une fois dans sa vie. Mais ça ne sera pas un coup de coeur ça c'est sûr.
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