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EAN : 9782490431007
112 pages
Theatre Poche (02/05/2018)
2.6/5   5 notes
Résumé :
Il était une fois... Dulcinée Del Tabasco ! Tout commence le jour où Dulcinée, qui se dit concierge de l'immeuble, affirme avec fierté à l'éboueur du quartier qu'elle va se marier ; Bien entendu, malgré l'idée répandue prétendant que chacun peut trouver "chaussure à son pied", celui-ci ne la croit pas et lui lance un défi : Dulcinée doit lui montrer sa robe de mariée ! Ô Malheur ! Ô désespoir ! Ô la chance ! Aurait-il pu imaginer un seul instant ce qu'il allait alor... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
J'avais coché ce livre dans masse critique parce que j'avais vu ses bonnes notes et les deux critiques qui vantaient la langue et étaient très positives.
J'ai interrompu ma lecture avant la moitié du livre qui fait une centaine de pages et je me suis forcée.
J'ai été regarder de plus près les deux critiques: deux personnes, même date de critique du 11 juin, les deux comptes ont deux et trois livres et c'est tout (donc les deux sont en commun, et le troisième est du même auteur, toujours critique très positive avec 5*). Je suis choquée et franchement en colère.

La première pièce est un monologue vulgaire, grossier et écrit dans un style "d'argot inventé", le personnage principal est bête et cruel. C'est raciste, homophobe et méchant, dans ce que j'ai pu comprendre, il y aussi de la pédophilie et des agressions sexuelles sur enfant (dans le passé du personnage, raconté tranquillement comme quelque chose de normal), inceste, proxénétisme infantile. J'ai mis quelques citations pour qu'on puisse se rendre compte du niveau de langage, mais je ne peux pas rendre compte du reste. Les personnes noires y sont appelées "zoulous", "Mamadou", "Esclave", je suis affligée.

Ensuite il y a une autre pièce avec deux personnes, j'ai arrêté en cours n'y trouvant aucun intérêt.

Je déconseille fortement et signale à Babelio les comptes des deux autres critiques.
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Il faut parfois de l'obstination pour continuer de lire un livre qui dès le début vous fait comprendre que ce n'est pas du tout, mais alors, pas du tout votre style de lecture. Heureusement il n'y a que 110 pages et je peux être obstiné...
Merci tout de même à Babélio et à Tertium Editions pour l'envoi de ce livre.
Tout d'abord, je n'avais pas vu dans le résumer que ce livre était constitué de 3 petites pièces de théâtre, sinon, je n'aurais pas coché ce livre. Ensuite, il y a beaucoup trop de mots inventés et qui sont stupides, exemple "caber", qui vient de macchabée et que l'auteur à inventé, cabé, pour lui s'est "mort", curieux, car en espagnol, le verbe "caber" signifie "en forme"...

Les deux premières pièces sont un ramassis de termes incongrus et malpropres qui ne conviennent pas du tout à mon sens de la vie. L'histoire est loufoque mais pas drôle, assez hurluberlu, bref, je n'ai pas aimé.
La troisème pièce : "Albert, le chien de Bernie" même si elle ne m'a pas intéressée, est acceptable, sans être vulgaire, mais rien de bien terrible.
Bref, j'aurai au moins vécu cette lecture dans ma vie...
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Étant fan de théâtre, le titre et la quatrième de couverture ont attisé ma curiosité lors de l'opération masse critique. Après lecture, je ressors avec un sentiment très mitigé et plutôt négatif. La première pièce (qui donne son titre au livre) est un long monologue difficilement compréhensible, et franchement pas très intéressant. Je rejoins un commentaire précédent sur le niveau de langage qui, outre le fait qu'il soit familier, est surtout très crû, ce qui est dérangeant par moments. En fait, certains détails n'apportent rien à la narration et laissent un sentiment bizarre, un peu dégoûtant.
La seconde pièce, qui reprend le personnage de Dulcinée del tabasco, n'est plus un monologue mais introduit un second personnage qui dénote avec le premier. Elle est présentée comme de l'humour noir et au début, c'est pas mal; on se laisse prendre au jeu. Néanmoins, ça dérape à un moment et ça devient plus malsain qu'humour noir. L'humour noir est un exercice très difficile et, malheureusement, il n'est pas réussi dans cette pièce; notamment la fin qui, à mon sens, est n'importe quoi.
La troisième pièce est aussi un monologue, raconté cette fois à travers l'oeil d'un chien. Pour moi, c'est la plus aboutie des trois. La réflexion que le personnage mène est assez intéressante. Heureusement que cette dernière pièce est là pour éviter de terminer le livre sur une note complètement négative.
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Trois pièces contemporaines décapantes! Une langue savoureuse et des personnages truculents. Une réflexion sur notre monde aiguisée et pleine d'humour. A découvrir!
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Quelle langue ! Quelle finesse !
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
J'ai même cru à un au-delà... tout de même ce n'est pas croyable ce que j'ai été capable d'inventer pour ne pas avoir peur... Expliquer "les caniveaux d'ici-bas par ceux de l'au-delà" comme le dit le ouin ouin philosophe n'est pas une solution...
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T'es drôle Ferzi... toujours le joguingue gondolant! Brave zimal...
(Puis, elle lui peigne le front en mouillant ses doigts... puis lui nettoie le cul de la même façon et enfin lui souffle dessus...)
Pffffffffffffffffffffffffffffff... t'as la tête et le cul propre.
Pourrait dire au revoir à sa maman et aller à l'école pour y apprendre des tas de conneries à bien obéir ouin ouin.
À se courber pour dire merci et se fendre un peu plus le cul!
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(Dulcinée). "Salaud, fumier, la paille au cul et le feu dedans!"
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De toute façon la dépouille elle est générale, la légale comme l'illégale. C'était pour c't raison qu'il pouvait pas encadrer la société, n'importe laquelle.
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Et toi, c'est tout près du zigoumètre.
Et pis pour voir plus large, c'est peine perdue que de croire à des points communs.
Sont cons les ouins ouins à chercher ça et à penser que des fois y trouvent.
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