Là où naissent les nuages

Ce roman jeunesse au format plutôt court est une très belle lecture. N'allons pas croire que sous prétexte que ce soit du jeunesse, cela manque de profondeur, bien au contraire, l'adolescent se retrouvera dans ce titre entre le mal être, la quête de soi et au final une renaissance possible, une vision précaire et formatée transformée pour quelque chose de plus humaniste et de plus sauvage aussi.

Amélia, 16 ans, est la fille unique de deux parents très occupés par leur vie professionnelle, l'un est un grand chirurgien, l'autre une magistrate parisienne. Perdue dans sa solitude et son mal être qu'elle alimente à coup de paquets de biscuits et autres sucreries, Amélia a quelques kilos en trop et ne manque de rien. Elle laisse vivre son adolescence des idées préconçues plein la tête et parfois ruminant sa rancoeur pour une mère et un père trop parfaits par des attitudes brusques et bourrues. Et puis tout change, le jour où sa mère reçoit une lettre de Mongolie. Il s'agit d'un courrier de la directrice d'un centre d'aide pour enfants que la mère d'Amélia aide financièrement depuis qu'elle y a fait un court séjour. de là naissent des discussions entre la mère et le père sur leur expérience humanitaire passée, leurs voyages, la mère est déstabilisée, le père lui est emballé et propose d'y retourner. Amélia, bien malgré elle, accepte de vivre l'expérience.

Amélia est une adolescente assez banale, elle est mal dans peau, traîne un léger surpoids, accuse le coup d'une peine de coeur, s'enferme dans une solitude que ses parents absents ignorent. Il y a un profond mal être dans ce personnage qui vit sa vie au jour le jour sans but dans son confort parisien, qui chaque jour se compare à ses parents à la quarantaine épanouissante, et plus particulière à cette mère belle et mince, dont elle est bien loin de ressembler. Elle n'était pas du tout prête à vivre l'expérience qui va se présenter à elle, au contraire, la Mongolie ça la faisait plutôt « chier » d'y aller, pas franchement la destination estivale rêvée ! Et pourtant, elle va se prendre une claque et de là, la jeune fille sera transformée, aura mûri, et comprendra certainement quelques signes d'un secret bien enfoui.

La Mongolie, pays à la culture riche, aux paysages froids et secs, des steppes à perte de vue, aux cheveux sauvages galopant dans le vent, aux habitants nomades aux yeux bridés et aux joues rougies par le froid sans oublié son thé salé. Cet aspect là est plutôt beau, humain et sain, dans les contrées sauvages du moins car à Oulan – Bator, l'influence occidentale n'a pas forcément eu des bienfaits, de même que la sédentarisation du peuple, qui vit la pauvreté, desservi par la drogue et l'alcool, la jeunesse y compris. C'est dans ce contexte citadin que l'association « The Shelter » vient en aide aux orphelins, aux enfants abandonnés à eux – mêmes dans les rues, aux enfants battus ou abusés qui trouvent un refuge promettant un repas chaud, un lit douillet, un minimum d'hygiène et une famille d'accueil. Amélia va se heurter à cet univers à milles lieux de ce qu'elle vit tous les jours à Paris, elle va s'attacher au petit Mukshuk au regard innocent mais déjà marqué, faire des rondes de nuit pour trouver ses jeunes errants, et ouvrir les yeux face à une réalité du monde qui lui était jusque là inconnue. Une expérience unique, dépaysante et bouleversante pour la jeune adolescente qu'elle vivra en compagnie des autres membres de l'association, Franck, homme dur mais aussi très impliqué, Simon, gentil et compréhensif, Oyenza, douce et maternelle et Bakar, forte et indépendante.

Une métamorphose pour elle et une prise de conscience aussi, ce roman a le mérite de proposer une lecture intelligente tout en simplicité. L'auteure a choisi, une thématique assez difficile en soit pour montrer que peu importe ce que l'on est ou croit être, ce n'est pas figé, que l'espoir est là, mais aussi que parfois on ne peut rien face aux horreurs du monde. Elle inculque les choses avec douceurs et un réalisme qui ne cache rien. L'auteure a une qualité d'écriture incroyable en cela, la lecture ne paraît pas innocente ou immature bien au contraire.

En bref, « Là où naissent les nuages » est une lecture qui associe émotion et humanité et qui vous dépaysera en vous offrant un sublime et généraux voyage au coeur de la pauvreté et de la culture Mongole. Magnifique !
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Amélia vit en région parisienne, dans une famille aisée ... elle vit dans l'ombre de sa mère, et a un petit souci d'estime de soi qui se traduit par une certaine boulimie ...
Son quotidien va être bouleversé le jour où elle part en Mongolie pour y mener une action humanitaire ... là elle va être confrontée à la maltraitance des enfants, à la vie des nomades, à l'abandon de certains jeunes ...
Amélia va petit à petit évoluer au fil des pages, elle ne va plus se centrer sur sa personne, pour être altruiste, pour se construire ... ce voyage, telle une quête initiatique, va lui permettre de prendre un nouveau départ, et avoir un esprit critique par rapport à sa propre existence ... ce livre est un vrai coup de coeur !

Je pense que cette auteure va définitivement rejoindre la liste de mes auteurs préférés. J'avais déjà lu Sweet Sixteen qui est inspiré de faits réels. Il relate l'arrivée de 9 étudiants noirs dans un collège de l'Arkansas en 1957 et j'avais vraiment été séduite par sa plume. Je me demandais si la magie opérerait encore avec un roman ne se basant sur aucun fait réels. Eh bien oui ça marche, et très bien même.

Dans Là où naissent les nuages, on partage la vie d'Amélia, jeune parisienne née avec une cuillère en argent dans la bouche. Sa mère est juge à la jeunesse et son père est un éminent médecin. Se parents sont parfaits sous toutes coutures et sa mère a même fait du volontariat dans sa jeunesse. Certes, elle n'en fait plus mais elle continue de financer une association en Mongolie.

Comme tout un chacun, avec les années, ses parents se rendent compte qu'ils se sont embourgeoisés et quand arrive une lettre de ladite association, la famille y voit le prétexte parfait pour partir faire de l'humanitaire en passant un mois tous ensemble. Seulement voilà, tout ne se passe pas toujours comme prévu. En fin de compte, entre impératifs et imprévus, Amélia fini par se rendre seule (et bien malgré elle) en Mongolie. Ce qu'elle va y vivre est magnifiquement raconté. On s'attache à Amélie et aux personnages secondaires. L'histoire est vraiment magnifique.

Je pense que ce qui me plait le plus c'est la façon d'écrire de l'auteure: c'est frais, c'est juste, c'est émouvant. Mention spéciale pour l'illustration du livre que je trouve juste parfaitement en accord avec le thème.

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J'ai dévoré ce court roman dont le titre m'avait semblé très poétique, même si la première de couv m'avait un peu rebutée.
C'est superbe! Et encore une fois, je me suis dit que cela valait le coup de lire des tonnes de choses sans grand intérêt pour tomber sur des petites perles comme celle-ci.
Un roman de dépaysement, de découverte pétri d'humanité et de tendresse.
De la Mongolie, j'en connaissais les grands espaces, les nomades, les maîtres aigliers, à travers des reportages télé : l'aspect touristique, rêvé. le livre m'en a fait découvrir les bidonsvilles, les enfants des rues (je ne savais pas qu'il y en avait là-bas) à travers les yeux de la jeune héroïne. Ce n'est pas plein de pathos, ni mélodramatique alors que ce qu'elle voit dramatique, horrible. le style de l'auteure est sobre, son ton également et la simplicité de la langue (même si c'est bien écrit) nous emporte dans son récit de vie et d'espoir.
Le voyage d'Amélia est une quête initiatique pour grandir, pour se trouver, loin de ses parents si impressionnants (surtout sa mère) et s'ouvrir au monde.
Bref, j'ai beaucoup aimé ce roman qui m'a touchée. le seul bémol que j'avancerai c'est le rebondissement final qui pour moi ne rajoute rien à l'histoire déjà assez intense en découvertes.

A partir de 13 ans

Lire est toujours un voyage dans lequel on embarque pour une destination plus ou moins connue. Et il y a des voyages dont on aimerait bien qu'il dure plus longtemps : j'ai adoré cette histoire. Amélia a 16 ans, vit dans une bonne famille à Paris. Un père médecin, une mère juge : elle un peu boulotte qui n'hésite pas à se réfugier dans la nourriture au moindre problème, a tendance à étouffer et à se dévaloriser au milieu de cette quasi perfection. Un jour, sa mère qui se prénomme Isaure reçoit un courrier de Mongolie. Sa mère a fait de l'humanitaire dans sa jeunesse et beaucoup de voyages. C'est décidé Amélia et son père partiront un mois en Juillet faire de l'humanitaire. Au dernier moment, son père est retenu en France et Amélia part seule pour un voyage qui va changer sa vie. Loin de son confort parisien et des doutes qui lui pourrissaient la vie, elle découvre des préoccupations vitales, des urgences absolues, d'autres coutumes, d'autres réalités. Elle va s'attacher au foyer à un enfant qu'elle va accompagner dans sa nouvelle famille à l'autre bout de la Mongolie. Elle va prendre confiance en elle, voir qu'elle peut faire les mêmes choses que sa mère et découvrir qu'au fond, sa mère n'est peut-être pas aussi parfaite que cela.
L'écriture fluide et non dénuée d'humour magnifie une histoire déjà belle par le sens qu'elle peut donner à une vie. Amélia donne de son énergie à des enfants qui ont si peu d'espoir, et eux lui permettent en retour de retrouver une confiance en elle qu'elle n'avait plus. A tel point, que même sa passion pour la nourriture se délite : à présent, elle n'en n'a plus besoin. La relation mère/fille est explorée délicatement entre admiration et rejet. Cela interroge aussi notre rapport à l'humanitaire par exemple lorsque les Occidentaux, pour se donner bonne conscience, envoient quelques chèques dixit Amélia. A lire !

Au cours de ce roman, nous faisons la connaissance d'Amélia, jeune lycéenne de la bourgeoisie parisienne. Sa vie banale, rythmée par les petits tracas quotidiens, suit son cours quand, un jour, son père lui propose de partir faire un voyage humanitaire en Mongolie. La jeune Amélia s'envole alors à la découverte de l'inconnu. Un voyage pour mûrir, s'accepter et comprendre qui elle est. Ce roman nous transporte à travers les paysages variés de Mongolie, oscillant entre les yourtes des nomades et les halls d'immeubles insalubres où se réfugient des enfants au passé trouble. Ce livre se lit très facilement et l'intrigue qui se met en place au fil de l'histoire permet un dénouement aussi original qu'inattendu. "Là ou naissent les nuages" nous emmène à la découverte de la face cachée du monde et sensibilise les jeunes à la nécessité d'aider son prochain. Qui, après avoir lu ce livre, n'aurait pas envie de se lancer dans un projet humanitaire ?
Léna AIM

J'ai dû lire ce roman pour l'école, je ne connaissais ni l'auteur, ni le contenu de ce roman... Et quelle surprise!

Si vous aimez voyager, ce livre est pour vous!

Amélia, 16ans, mal dans sa peau, aimée et choyée part presque qu'avec des pieds de plomb en Mongolie pour un voyage humanitaire. Au début déçue du paysage, elle voit, par la suite, plus loin que le bout de son nez et découvre les beauté de ce pays. Elle se lie d'amitié, surtout avec Mukshuk (lien que j'ai énormement apprécié au fil de l'histoire). de fil en aiguilles, c'est une tout autre Amélia qui se découvre...

Que de leçons de vie dans ce livre, et cette Amélia mal dans sa peau nous fait voir ce que parfois nous nous cachons. Elle nous démontre que le bonheur n'est pas d'avoir mais bien de partager et surtout de donner! Donner de l'amour, de l'aide, et d'arrêter de pleurer pour ce que nous voulons alors que nous avons déjà tout!

Dans ce roman, AMELIA, jeune fille autocentrée qui traîne sa mélancolie et ses kilos en trop, vit dans les beaux quartiers. Choyée par ses parents aimants, elle est en admiration devant la beauté de sa mère, les engagements humanitaires de celle-ci et le parcours professionnel de son père chirurgien. AMELIA peine à trouver sa place, se sent inutile et transparente. Et puis une lettre provenant de MONGOLIE arrive et bouleverse les plans de vacances de la lycéenne. A l'initiative de son père, elle partira passer un mois en terres mongoles au sein d'une organisation humanitaire que sa mère subventionne suite à un de ses voyages humanitaires. Et c'est ce voyage initiatique à la rencontre des enfants pauvres de OULAN BATOR qui va être le coeur de ce récit. AMELIA va partir à la découverte d'une pauvreté et d'une humanité qui lui sont totalement étrangères et qui lui ont été épargnées par sa vie de privilégiée. Cette jeune adolescente va voir sa vie bouleversée à jamais par ce voyage et ces rencontres. AMELIA va aller au devant d'un monde inconnu et enfin se trouver elle-même grâce à cette expérience unique.

En deux mots, J' AI ADORE !

Déjà parce qu'avec le voyage d'AMELIA, le dépaysement est total et puis les personnages sont tellement attachants et vrais qu'on ne peut refermer le livre sans savoir ce qu'il advient d'eux. Et puis j'avoue, je me suis retrouvée un peu au même âge dans ce personnage d'AMELIA qui se sent mal dans sa peau et dans son corps. le sujet est fort et émouvant, il ne laisse pas indifférent et sensibilise au dénuement de ces enfants mongols livrés à eux-mêmes ou maltraités. Dans ce roman, rien n'est édulcoré, tout est décrit avec finesse et précision. ANNELISE HEURTIER explique avec intelligence le décalage entre la jeune fille gâtée, la débrouille des petites organisations humanitaires, le manque de subsides... Aucune mièvrerie ni facilité dans ce récit, tout est évoqué avec réalisme et objectivité.

Comme j'ai pu déjà l'écrire, j'ai été enthousiasmée tant par le sujet abordé avec justesse que par l'écriture de son auteur qui manie aussi bien le langage de la jeunesse qu'un style soutenu et riche !

Et puis, vous avez vu la couverture ?? trop belle non ??

http://cousineslectures.canalblog.com/archives/2015/05/12/32044905.html

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Je sais que si, lors d'une lecture de coup de coeurs dans mon CDI, une bibliothécaire ne nous l'avais pas présenté, je ne me serais jamais arrêté sur ce bouquin. Là où naissent les Nuages… le titre n'est il pas si beau ? Si on passe outre le rose de la couverture, elle aussi est très jolie, décrivant très bien ce roman.

Paris, les steppes mongoles… Deux lieux totalement opposés, mais beaux à leur manière. Amélia débarque dans ce dernier endroit, en Mongolie, pour une mission humanitaire. Mais Amélia n'est pas bien dans sa peau, elle comble l'absence de ses parents et son mal-être adolescent par la nourriture. Elle est boulimique.
Amélia est un personnage formidable, à mon sens, si humaine. Elle donne espoir, espoir pour tous ces adolescents mal dans leur peau. Par le biais de cette mission humanitaire, elle se prend en main, s'aidant en aidant les autres. La voir évoluer est quelque chose qui a fait naitre un sourire sur mes lèvres. C'est beau. L'extrait mit en citation plus haut résume parfaitement la moelle de cette oeuvre : aider les autres ne les aide uniquement pas eux, mais nous aussi.
De plus, l'écriture d'Annelise Heurtier est très belle, très visuelle. Les paysages décrits restent imprimés dans mon esprit. Colorés, puissants, sauvages. Les mots ont filés sous mes yeux, à une vitesse impressionnante. J'ai ouvert le livre, et deux heures plus tard je le refermais déjà avec cette sensation de manque.
Sa plume nous fait réfléchir sur des sujets comme la consommation, le mal-être, l'amour, l'humanitaire… L'Homme. C'est important, pour moi, la réflexion. Surtout dans un roman qui vise les jeunes.

Comme vous l'aurez compris, Là où naissent les nuages a été un coup de coeur choc pour moi ! L'écriture, les personnages, les problématiques soulevées… Tout. À livre absolument, à tout âge !
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L'an dernier, j'ai eu un gros coup de coeur pour "Sweet Sixteen" d'Annelise Heurtier. Et à nouveau, ce roman m'a pris aux tripes. C'est ça la magie de cette auteure et de sa plume acérée: le parler-vrai, sans chichis ni démonstrations de force. Ecrire sans multiplier les pages inutilement, sans tourner autour du pot ni détailler ses personnages en long en large et en travers. Elle va à l'essentiel. Elle choisit le bon arc, prend une seule flèche, tend la corde d'un geste sûr et vise en plein coeur ! En lisant ce court roman, j'ai senti monter l'émotion en moi, doucement mais sûrement, et j'ai eu les larmes au bord des yeux à de nombreuses reprises.

Amélia est une ado qui vit à Paris dans une famille aisée, dont les parents ont vécu de formidables expériences dans l'humanitaire par le passé. Mal dans sa peau, elle ne sait pas trop où elle en est, et se renferme sur elle-même, se gavant de gâteaux et de chocolat pour remplir sa vie si creuse. Quand un voyage humanitaire en Mogolie se profile pour l'été, elle ne sait pas trop quoi en penser. D'autant plus quand son père se voit empêcher d'y aller et qu'elle part suele à l'aventure. Ce voyage va la transformer, et elle découvrira beaucoup de choses sur elle, qui elle est, d'où elle vient, et où elle veut aller. Racontée comme des mémoires, dont on comprend la finalité à la toute fin, cette tranche de vie est chargée d'émotions. Passant de l'ado un peu blasée et sans estime d'elle-même à la jeune fille inquiète et intimidée, Amélia partage ses prises de conscience avec nous. Ce qu'elle voit la laisse sans voix, la perturbe, la travaille, et elle se sent perdue face à la détresse et au dénuement des enfants qu'elle rencontre. Entre révolte et envie d'agir, résignation et acceptation, elle découvre la vie et tout ce qu'elle a de complexe mais de riche. Troublant de réalisme, ce livre nous plonge en plein coeur de la Mongolie, et les réflexions qui découlent de cette lecture ne nous quittent plus une fois la dernière page tournée.

Les prises de conscience d'Amélia sont brutales et menacent de la faire chavirer, mais ce qu'elle a trouvé en partant en Mongolie lui donne une assurance toute neuve avec laquelle elle se sent prête à affronter l'avenir. On aimerait la suivre encore un peu, mais elle vivra sa vie sans nous, libérée en partie de ce qui la freinait pour vivre pleinement, grâce à cette fabuleuse expérience mongole.

A mettre entre toutes les mains dès 13/14 ans (et dans toutes les bibliothèques!), ce roman est d'une grande richesse et aborde des thématiques intéressante pour les ados: les voyages humanitaires, le respect de l'autre, le mal-être, les relations familiales...
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