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Alex Rider tome 7 sur 11
EAN : 9782013227315
379 pages
Hachette (15/10/2008)
3.89/5   168 notes
Résumé :
Pas de répit pour Alex Rider ! L'opération Arkange à peine terminée, l'adolescent se retrouve en Australie pour une nouvelle mission d'espionnage.
Alex doit infiltrer une filière d'immigration clandestine, le Snakehead, dirigée par le redoutable Major Yu. Cette fois, il s'agit de démanteler l'une des plus dangereuses organisations criminelles du monde. Ces nouvelles péripéties le conduisent sur la piste d'un personnage énigmatique, qui semble en savoir long s... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Alex Rider vient à peine de descendre de l'espace qu'il se retrouve de nouveau en mission sauf que cette fois-ci, il va travailler avec les agents en Australie, le CAD.
En effet Ethan Brooke a besoin d'un adolescent pour se faire passer pour le fils d'un réfugié qui souhaite entrer en Australie. Afin d'être sûr de convaincre Alex D accepter cette nouvelle mission, il lui dévoile l'identité de l'homme avec lequel il va devoir travailler, Ash, qui a très bien connu ses parents.
Il n'en faut pas plus pour Alex qui fonce de nouveau tête baissée dans les ennuis. Cette fois-ci, il a pour mission d'infiltrer une filière d'immigration clandestine, le Snakehead, une dangereuse organisation. Ce que le jeune agent ignore, c'est que le Major Yu, est l'un de ses vieux ennemis.

Une histoire toujours aussi sympathique qui plonge de nouveau Alex dans l'horreur. Ses missions deviennent de plus en plus dangereuses et difficiles au point qu'Alex doit luter pour rester en vie !

En résumé une mission à découvrir sans plus tarder !
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Alex se retrouve encore une autre fois face à Scorpia qui est déterminée d'en finir avec lui une fois pour toute!!
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Plus le lecteur avance dans les aventures d'Alex Rider et plus celles-ci deviennent riche en événements, en rebondissements, en émotion... Bref, que dire que cet opus loin de décevoir ou de lasser le lecteur, provoque une envie irrésistible de se plonger dans le tome 8!
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Encore une belle aventure d'Alex Rider ! Je ne me lasse pas de lire a chaque tome une aventure encore plus impressionnante. Snakehead est particulièrement difficile à lâcher, j'ai adoré l'intrigue et les devoilements finaux. Hâte de lire la suite, comme toujours !
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Un roman que j'ai dévoré au chaud pendant ce week-end particulièrement froid : le roman entretient le suspense et nous plonge à nouveau dans le passé d'Alex Rider. Je suis très content d'avoir repris la lecture de saga après une quinzaine d'années d'interruption. Je lirai la suite sans hésiter.
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Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
C'était le genre d'immeuble qui passe inaperçu : trois étages, façade blanche, un lierre parfaitement taillé grimpant jusqu'au toit. À mi-chemin de Sloane Street, dans le quartier de Belgravia, juste à l'angle du grand magasin Harrods. L'une des adresses les plus chic de Londres. D'un côté il y avait une bijouterie, de l'autre une boutique de mode italienne, mais les clients qui venaient là n'avaient plus besoin ni de l'une ni de l'autre. Une seule marche menait à la porte laquée noire qui flanquait la vitrine, décorée en tout et pour tout d'une urne et d'un vase de fleurs. Une plaque discrète en lettres dorées indiquait :

Reed & Kelly

Pompes funèbres

La mort n'est pas la fin

À dix heures et demie, un matin ensoleillé d'octobre, exactement trois semaines avant l'amerrissage d'Alex dans l'Océan Pacifique, une berline quatre portes noire Lexus LS 430 se gara devant l'entrée. La voiture avait été choisie avec soin. C'était un modèle de luxe, mais dépourvu de la moindre fantaisie, sans rien qui pût attirer l'attention. Son arrivée aussi avait été chronométrée avec précision. Au cours des quinze dernières minutes, trois autres véhicules et un taxi s'étaient arrêtés brièvement et leurs passagers, seuls ou par deux, en étaient descendus, avaient traversé le trottoir et pénétré dans le salon d'accueil de l'entreprise de pompes funèbres. Si, par hasard, un curieux avait observé les allées et venues, il aurait conclu qu'une famille nombreuse se réunissait pour procéder aux préparatifs des obsèques d'un proche disparu.

Le dernier arrivé était un homme puissant, à la forte carrure et au crâne rasé. Il émanait une impression de brutalité de son visage au nez petit et épaté, aux lèvres épaisses et aux yeux brun terne. Mais ses vêtements étaient immaculés. Il portait un costume sombre, une chemise de soie et un manteau de cachemire déboutonné. Son annulaire s'ornait d'une lourde bague en platine. Sitôt descendu de la voiture, il écrasa son cigare sous la semelle de sa chaussure vernie. Sans un regard à droite ni à gauche, il traversa le trottoir et entra. Une clochette à l'ancienne, suspendue à un ressort, tinta à l'ouverture puis à la fermeture de la porte.

Le visiteur se retrouva dans une salle d'accueil lambrissée de bois, où un homme aux cheveux gris se tenait assis, mains croisées, derrière un bureau. Celui-ci accueillit le nouvel arrivant avec un mélange de sympathie et de politesse.

— Bonjour, dit-il. Que puis-je faire pour vous ?

— Je viens à propos d'un défunt.

— Un parent proche ?

— Mon frère. Mais je ne l'ai pas vu depuis quelques années.

— Toutes mes condoléances.

Le même dialogue avait déjà été échangé à six reprises au cours de la matinée, au mot près. À la moindre syllabe modifiée, l'homme au crâne rasé aurait tourné les talons et quitté les lieux. Mais il savait maintenant que la voie était libre et l'immeuble sûr. La réunion, programmée vingt-quatre heures plus tôt, pouvait avoir lieu.

L'homme aux cheveux gris se pencha pour presser un bouton dissimulé sous le bureau. Aussitôt, un pan du lambris s'ouvrit pour dévoiler un escalier dérobé menant au premier étage.

Reed & Kelly était une véritable entreprise de pompes funèbres. Jonathan Reed et Sebastian Kelly avaient organisé pendant plus de cinquante ans des funérailles et des crémations, jusqu'au jour où sonna l'heure de leurs propres obsèques. L'entreprise avait alors été rachetée par une société tout à fait légitime, dont le siège social se trouvait à Zurich, qui avait continué de fournir un service de première classe pour toutes les personnes vivant — ou plutôt ayant vécu — dans le voisinage. Mais ce n'était plus l'unique raison d'être de l'immeuble de Sloane Street. Celui-ci abritait également le quartier général d'une organisation criminelle internationale, connue sous le nom de Scorpia.

SCORPIA : les initiales de Sabotage, Corruption, Intelligence et Assassinat, ses quatre activités essentielles. L'organisation avait été fondée une vingtaine d'années plus tôt à Paris, par d'anciens tueurs et espions issus de différents réseaux de renseignements du monde entier qui avaient décidé de se mettre à leur compte. Au commencement, ils étaient douze. Puis l'un était mort d'un cancer et deux avaient été assassinés. Les neuf autres s'étaient félicités d'avoir subi aussi peu de pertes en un temps si long.

Récemment, toutefois, les choses avaient mal tourné. L'aîné des membres du directoire avait pris la décision insensée et inexplicable de se retirer, ce qui avait immédiatement conduit à son élimination. Son successeur, une femme du nom de Julia Rothman, avait à son tour été tuée lors d'une opération dite Épée invisible, qui s'était soldée par un désastre. À bien des égards, ce moment avait été le plus sombre de l'histoire de Scorpia, et beaucoup avaient pensé que l'organisation ne s'en remettrait jamais. En effet, l'agent ennemi qui avait ruiné l'opération et causé la mort de Julia Rothman était un garçon de quatorze ans.

Néanmoins, Scorpia n'avait pas renoncé. Le groupe s'était vengé du garçon et avait repris ses activités. Épée invisible n'était après tout qu'un projet parmi de nombreux autres : Scorpia recevait constamment des demandes de gouvernements, de mouvements terroristes, de multinationales, bref de quiconque ayant assez d'argent pour s'offrir ses services. Et les affaires avaient repris. Les associés de Scorpia s'étaient réunis à Londres afin de discuter d'une mission relativement limitée mais qui pouvait leur rapporter dix millions d'euros, payés en diamants bruts — plus faciles à transporter et plus difficiles à pister que des billets de banque.

L'escalier menait à un petit couloir, au premier étage, terminé par une unique porte. Une caméra de surveillance avait suivi la montée de l'homme chauve dans l'escalier. Une deuxième le suivit quand il posa les pieds sur une étrange plateforme métallique, devant la porte, et tourna la tête vers un panneau de verre encastré dans le mur. Derrière le panneau de verre se trouvait un scanner biométrique qui prit une image instantanée du réseau de vaisseaux sanguins sur la rétine de son œil pour la comparer avec les données enregistrées sur l'ordinateur du bureau de réception. Si un ennemi avait tenté de s'introduire dans la salle de réunion, il aurait aussitôt activé une décharge électrique de dix mille volts dans la plateforme métallique, laquelle l'aurait littéralement incinéré sur place. Mais l'homme n'était pas un ennemi. Il s'appelait Zeljan Kurst et faisait partie de Scorpia depuis sa création. La porte coulissa.

Zeljan Kurst entra dans une longue pièce étroite, avec trois fenêtres en enfilade protégées par des stores, et des murs blancs sans la moindre décoration. Sur la table de verre entourée de sièges en cuir, il n'y avait aucun stylo, aucun papier, aucun document. Au cours de ces réunions, on ne prenait jamais de notes. Rien n'était enregistré. Six hommes attendaient Zeljan Kurst lorsqu'il prit place au bout de la table. Depuis le désastre de l'opération Épée invisible, Scorpia ne comptait en effet plus que sept membres.

— Bonjour, messieurs, commença Kurst.
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Jamais Alex n'oublierait le moment de l'impact : le premier choc à l'ouverture du parachute et le second - plus brutal - quand le module qui le ramenait de l'espace entra en contact avec l’océan. Était-ce son imagination ou il y avait-il réellement de la vapeur ? Des embruns peut-être. Peu importait. Il était de retour sur la Terre. Rien d'autre ne comptait. Il avait réussi. Il était vivant.

Couché sur le dos, les genoux remontés contre la poitrine, tassé dans la minuscule capsule, les yeux mi-clos, Alex vécut un instant de calme extraordinaire. Immobile, les poings serrés, le souffle coupé. C'est à peine s'il arrivait à croire à la réalité des événements qui l'avaient propulsé dans ce voyage spatial. Il essaya de s'imaginer filant autour de la Terre à vingt-huit mille kilomètres à l'heure. Un rêve inaccessible. Et pourtant.

Lentement, il s'obligea à se déployer il souleva un bras, qui bougea normalement. Il sentit le travail du muscle. Quelques minutes plus tôt, il évoluait en apesanteur. Peu à peu, il s'aperçut que son corps lui appartenait encore et il tenta de rassembler ses pensées.

Difficile de définir combien de temps il resta seul à flotter ainsi, quelque part au milieu de l'océan. Puis lorsque les manœuvres commencèrent, tout se passa très vite. D'abord, il y eut le martèlement des pales de l'hélicoptère. Le hurlement d'une sirène. Alex apercevait très peu de choses à travers le hublot, tout juste la houle de l'océan. Soudain, une paume de main se plaqua contre la vitre. Quelques secondes plus tard, la capsule s'ouvrit de l'extérieur. Une bouffée d'air frais s'engouffra et Alex le respira avec délice. Une silhouette enveloppée d'une combinaison de plongée en néoprène se pencha vers lui, les yeux derrière un masque.

- Ça va ?

Alex eut du mal à distinguer les mots à cause du vacarme ambiant. Avait-il rêvé ou le plongeur avait un accent américain ?

- Oui, ça va, cria-t-il en réponse.

C'était faux. Il commençait à ressentir d'horribles nausées et une douleur lancinante derrière les yeux.

- Ne t'inquiète pas ! On va vite te sortir de là...

Cela leur prit plus longtemps que prévu. Alex avait passé peu de temps dans l'espace, mais il n'avait reçu aucun entrainement spécifique. À présent, ses muscles le lui reprochaient cruellement, rechignant à supporter même leur propre poids. Il fallut l'extraire du module, dans le soleil matinal aveuglant du Pacifique. Il régnait alentour un chaos inimaginable. Les pales de l'hélicoptère en suspens au-dessus d'eux malaxaient l'océan, formant des ondulations et des vibrations à la surface. Et, en tournant la tête, Alex aperçut à moins de quatre cents mètres - vision incroyable - un porte-avions haut comme une montagne. Le navire battait pavillon américain. Il ne s'était donc pas trompé sur l'accent du plongeur. La capsule avait du atterrir quelque part au large des côtes états-uniennes.
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C'est comme ça que j'ai fait la connaissance de ta mère.

— Elle était infirmière.

— Oui. De son nom de jeune fille : Helen Beckett. Elle était très jolie. Tu as la même couleur de cheveux qu'elle. Et peut-être aussi ses yeux. Si tu veux tout savoir, je lui ai fait la cour. Mais elle m'a gentiment découragé. Helen fréquentait déjà ton père. Elle l'avait connu à Oxford, quand elle faisait ses études de médecine.

— Est-ce qu'elle connaissait le métier de mon père, à ce moment-là ?

— Je ne sais pas s'il lui disait tout, mais elle savait certaines choses. Quand tu soignes un homme qui a des côtes cassées et une blessure par balle, tu te doutes qu'il n'est pas tombé en jouant au golf. Mais ça ne la gênait pas. Elle s'est occupée de lui. Ils sont sortis ensemble. Ensuite, elle a emménagé chez John, et nous avons beaucoup moins joué au squash.

— Vous avez été marié, Ash ?

— Non. Je n'ai jamais rencontré la femme idéale. Mais j'en ai fréquenté quelques-unes — qui ne l'étaient pas. Au fond, j'en suis plutôt heureux. Et je vais t'expliquer pourquoi. Dans notre métier, on ne peut pas se permettre d'avoir peur. La peur est le premier des dangers qui peut te coûter la vie. Quand on dit que les agents secrets n'ont pas peur, c'est vrai, mais en général cela signifie qu'ils n'ont pas peur pour eux-mêmes. Tout change dès qu'on est marié, et c'est encore pire quand on a des enfants. Alan Blunt ne voulait pas que ton père se marie. Il savait qu'il finirait par perdre son meilleur homme.

— Blunt connaissait ma mère ?

— Il a fait mener une enquête sur elle.

Ash sourit en voyant l'air choqué d'Alex.
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— Que faites-vous ici, monsieur Smithers ?
— Mme Jones m'a demandé d'élaborer quelques nouveaux gadgets pour nos agents en opération en Asie. (Il brandit l'éventail.) En voici un. C'est très simple et ça me plaît beaucoup. Tu vois, il a l'air d'un éventail ordinaire, mais il recèle de minces plaques d'acier galvanisé dissimulées sous la soie. Et quand on les replie…

Il ferma l'éventail et l'abattit sur la table. Le bois vola en éclats.

— … Cela devient une arme redoutable. Je vais le baptiser…
— L'éventrail ? suggéra Alex.

— Tu t'es habitué à mes astuces ! s'esclaffa Smithers.
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— J'ai rencontré ton père lors de ma première mission pour les Opérations Spéciales. Il avait été engagé à peu près en même temps que moi mais nous étions très différents. Tout le monde connaissait John Rider. Premier de sa classe. Golden boy. Promis à une brillante carrière. (Il n'y avait pas de rancœur dans la voix de Ash. Ni d'émotion.) John avait à peine vingt-six ans. Le MI6 l'avait recruté chez les paras. Avant, il avait fait ses études à Oxford : licence avec mention très bien en politique et en économie. C'était aussi un athlète de haut niveau. Il était dans l'équipe d'aviron d'Oxford, avec laquelle il a gagné la coupe, et c'était un très bon joueur de tennis. Je me suis retrouvé avec lui à Prague, où il dirigeait sa première opération. Moi, je débutais. J'étais là pour apprendre les ficelles du métier.

» Malheureusement, tout a cafouillé. Ce n'était pas la faute de John. Ce sont des choses qui arrivent. Mais ensuite, pendant le debriefing, j'ai vraiment appris à le connaître. Tu sais ce que j'aimais le plus en lui ? Son calme. Il y avait eu trois agents tués. Pas chez nous, Dieu merci. La police tchèque était sur les dents. Et le musée d'art populaire et d'antiquités d'Europe de l'Est avait brûlé. En réalité, ce n'était pas vraiment un musée, mais c'est une autre histoire. Bref, ton père était à peine plus vieux que moi mais il est resté impassible. Il n'a engueulé personne, il n'a jamais perdu son sang-froid. Il a tout assumé.
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