It's my life, tome 1

Ces derniers temps, j'enchaine les déconvenues avec les nouveautés manga, et It's My Life ne déroge pas à la règle. Donc après avoir été déçu par Smells Like Green Spirit, et Blue Thermal, voici ma troisième déception du mois d'avril, qui aura été assez compliqué ^^

Alors, oui, vous allez dire que je suis de mauvaise humeur en ce moment, et je vous répondrait qu'en effet, c'est le cas lorsque mes lectures me déçoivent. Mais je n'y mets pas de la mauvaise volonté, c'est juste qu'une fois de plus, on se moque des lecteurs en orientant un titre vers un public qui n'est pas la cible ! Je précise que je n'incrimine pas les éditeurs, mais bien les mangaka qui essaient de nous vendre un produit pour autre chose que ce qu'il est.

On nous présente ça comme un seinen, alors que non, c'est un shonen ! Et un shonen humoristique de surcroit, contrairement à ce que les couvertures laissaient penser. Personnellement, je m'attendais à quelque chose d'intéressant dans le style de The Ancient Magus Bride, mais à la place, j'ai eu l'impression de me retrouver dans Dr Slump ! Alors, j'aime Dr Slump, j'adore même, mais quand je me lance dans un titre qui se veut beaux, chaleureux et métalleux (je reviendrais sur ce point plus bas), je ne veux pas me retrouver avec un humour lourdingue, et une gamine qui court partout tel Speedy Gonzales !

De plus les dessins avaient l'air franchement sublimes, la mangaka étant connue pour être une illustratrice de talent, et je m'attendais donc à quelque chose de très beau. Ben non, là, on tombe dans de la caricature, c'est dessiné en mode chibi, à tel point que je me suis demandé si je n'avais pas ici un titre pour enfant. Il y a quand même quelques pages très belles, quand, par exemple Noah révèle ses pouvoirs, franchement c'est sublime. Mais 3 ou 4 belles pages par tome, je suis désolé, mais ça ne me suffit pas.

L'autre chose qui m'avait attiré dans ce manga, c'était la connotation non dissimulée de la culture rock et métal. Certains n'auront peut-être pas remarqué les références, mais par exemple, le titre It's My Life, est un titre culte de Bon Jovi. Il y a également d'autres références à la culture rock et métal, comme par exemple les titres des chapitres. On retrouve le titre Cold Killer de Pretty Maids ou encore No More Lies de Iron Maiden. La mangaka se dit elle-même métalleuse, et donc, naïvement, je pensais retrouver un peu de cela dans le manga, mais non, à la place on a une histoire drôle, sympathique, mais qui ne tient pas ses promesses.

Alors, oui, je suis très dur avec ce manga, mais je commence à en avoir vraiment ras-le-bol des nouveautés de 2019 qui ne sont pas ce que l'on nous promets. C'est fatiguant d'être attiré par un titre pour ses belles promesses et s'apercevoir dès les premières pages, qu'il y a tromperie sur la marchandise.

Un point important par contre qu'il faut relever, c'est l'édition de Ototo, qui est comme toujours impeccable. On retrouve le respect des couvertures originales, des pages couleurs et aucune coquille, ou autre soucis d'édition, et c'est pour moi, ce qui sauve le titre.

It's my life, tome 1 | Imomushi Narita

Chouette découverte pour ce manga à la couverture qui m'a tout de suite plu !
En toute honnêteté au premier regard je ne m'attendais pas à ce contenu... mais ça n'empêche que j'ai passé un très bon moment de lecture =)

Je m'attendais à quoi ? A des illustrations hyper "mignonnes" et à une histoire très "girly" et plutôt enfantine. 

Et au final ? Ni coup de coeur ni désamour pour les illustrations. Et une histoire finalement axée adulte, avec un second degré très appréciable.

Le tout repose sur un quiproquo qui rend certaines situations vraiment très drôles !
Et puis cette petite Noah est vraiment très attach(i)ante !
Quant à Astra, ce légionnaire à la retraite, il est franchement comique. 
Le duo fonctionne hyper bien. 

Pour finir j'ai adoré les petites phrases ajoutées ici et là  qui ponctuent le récit, qui sont comme des apartés.
Je n'avais jamais vu ça, et j'ai trouvé que ça donnait vraiment vie à l'histoire. 

Merci à Masse Critique et aux éditions Ototo Manga pour la découverte de ce manga très sympathique.
Une petite sorcière, Noah, une Antikythirienne, veut absolument devenir la servante de celui qu'elle prend pour le Dieu Maléfique. Un peu gauche, elle est persuadée qu'il va l'aider à devenir une sorcière puissante.
Mais s'étant un peu trompée de route, elle a atterri chez le capitaine Astra, membre de la garde impériale qui vient juste de prendre sa retraite et aspire à une vie au calme dans sa maison adorée!
Une histoire pleine de quiproquos et d'humour, d'amitié également entre deux êtres diamétralement opposés.
Une très bonne découverte.

Écrit du 26/02/2020

Une très belle histoire toute douce et mignonne.

Premièrement parlons de la couverture, elle est magnifique, elle a quelque chose qui donne envie d'en savoir plus sur cette mignonnerie! L'illustration est magnifique, elle donne déjà un aperçu des dessins que nous allons avoir durant notre lecture et puisque je parle des dessins, ils sont effectivement magnifiques et détaillés.

Nous faisons la rencontre d'Astra, un homme qui était capitaine. Il vient de se payer une maison (enfin) >.

Notre jeune sorcière recherche quelqu'un et elle est persuadée qu'Astra est ce quelqu'un (oui bon, je ne vais pas vous en dire plus, à vous de découvrir)!

Je tiens seulement à dire qu'Astra m'a bien fait rire à jouer le «maléfique» .. >_

Cette histoire est vraiment toute mignonne. Déjà, dès le début, la couverture a attiré mon oeil. On sent que les dessins sont très beaux et détaillés.

Ici, nous rencontrons dès le début le personnage d'Astra. Un homme qui était un capitaine des paladins. Il vient tout juste de prendre sa retraite et de se payer enfin une maison, isolée dans un coin. Sa maison à lui, quelque chose qui lui appartient, il est le plus heureux des hommes.

Oui, enfin ça, c'était sans compter sur l'arrivée de Noah. Une jeune sorcière de seulement huit ans, qui va rentrer chez lui, par la fenêtre… Oui, vous avez bien entendu, elle nous fait une belle entrée majestueuse, dans les règles de l'art de la maladresse !

Il va sans dire qu'Astra est loin d'être content. Il vient tout juste d'arriver dans son chez lui et on détruit une de ses fenêtres. Sauf que le plus étrange reste à venir… Cette jeune fille le regarde émerveillée et l'appelle « le Dieu maléfique ». Mais pourquoi ?

En fait, Noah recherche depuis longtemps ce Dieu et elle est persuadée d'être face à ce dernier. du coup, sans hésiter, elle lui demande de faire d'elle sa servante.

Le souci, c'est qu'Astra est très gentil et il n'ose pas dire directement à Noah qu'il n'est pas celui qu'elle recherche. Finalement, en discutant avec elle, il la trouve touchante et n'a pas envie de lui faire du mal. Il va finir par jouer le jeu du fameux Dieu maléfique et accepter qu'elle vive avec lui. Après tout, ça lui fera de la compagnie.

L'histoire est vraiment très touchante. D'un, la relation père-fille qui se créer entre Astra et Noah au fur et à mesure de l'histoire est adorable. Ensuite, ce manga est à la fois un peu calme par moment, du style on suit leur quotidien. Mais dans d'autre moment, il y a de l'action et également pas mal d'humour. Un joli manga très touchant.
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