Que dire de ce roman ? Roman policier, d'abord, je n'ai pas vraiment l'habitude de lire ce genre de roman, c'est sympa, ça change.
L'histoire est digne d'un bon roman policier. Un meutre (ou plusieurs), un coupable, mais on ne sait qui c'est qu'à la fin. Là où on peut dire que ce roman est réussi, c'est que la fin, quand on nous révèle le meurtrier, je ne m'y attendais pas. Mais à part ça, je n'ai pas trouvé cette histoire vraiment intéressante. Ca ne m'a pas vraiment touchée, je ne me suis pas sentie proche des personnages, l'histoire ne m'a pas happée. J'ai d'ailleurs mis un bon moment pour lire ce livre. Je suis restée en dehors de l'enquête. J'avais, bien sûr, mon idée du tueur, mais je n'étais pas captivée. Après, je ne dirais pas non plus, que c'était nul, ni que c'était plat. L'histoire est, somme toute intéressante, mais juste pas captivante, c'est tout. J'ai quand même un regrêt, c'est qu'il y a un mystère qui reste non élucidé. Un mystère qui semble pourtant être très important au début du roman. Dommage.
Pour ce qui est de l'écriture, j'avoue ne pas l'avoir trouvé enthousiasmante. Elle m'a même un peu barbée à certains passage. L'auteur joue avec les répétitions, c'est lassant (ex p 256 : « - Que, jusqu'à un certain point, elle a joué le jeu. Joué le jeu, pensa Joentaa » ; même page : « - Quand même… cette femme n'était pas… normale. Normale, pensa Joentaa ».) Ce genre de petites répétitions avaient le don de m'exaspérer. Allez savoir pourquoi. Par contre, j'ai bien aimé les flash backs par le biais du journal intime. Bonne idée je trouve. Mais au-delà de ça, je n'ai pas été subjuguée par le style de l'auteur.
Pour conclure, ce livre est, ma foi, intéressant, mais je reste mitigée. Il ne m'a pas vraiment plus, mais pas déplu non plus.
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Joona et son équipe enquêtent sur le meurtre d'un informaticien solitaire.
C'est d'une lenteur…
Une bonne partie de la narration tourne autour de la relation entre Joona et Larissa. Donc, niveau enquête, il ne se passe rien.
C'est dommage pour un roman policier.
Je l'ai trouvé mal construit.
Pas accrochée du tout.
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Bien écrit, mais scénario lu et relu et rerelu...
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On plonge dans l'empathie, l'émotion, en cherchant à dessiner la mystérieuse frontière entre innocence et culpabilité. Noir et bouleversant.
Lire la critique sur le site : Telerama
Ça se lit comme un roman de Harlan Coben réussi.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Bonne nuit, Kimmo, dit-elle en se tournant sur le côté.
Il s'écoula un certain temps. Une phrase prenait corps en lui, il la garda un moment sur la langue avant de la prononcer.
J'ai besoin que tu me dises quelque chose.
Il n'obtint pas de réponse, avait-elle entendu ?
J'ai besoin que tu me dises ton nom.
Ses paroles devaient n'être que des sons ou des couleurs dans le rêve qu'elle faisait et dont elle ne se souviendrait pas au réveil.
La girafe est sous le pommier, réveille-là
Jan Costin Wagner, nous livrait lors des Quais du Polar 2019 son interview à coeur ouvert ! Main armée ou main nue ? Poudre noire ou Poudre blanche ? Enquête ou Action ? On veut tout savoir sur l'auteur allemand de "Sakari traverse les nuages" (aux éditions Actes Sud)