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3,48

sur 378 notes
On est très loin de l'histoire bien mignonne proposée par Disney. Ici la queue de la sirène est dûe à un handicap, ce qu'il lui entraînera une vie de monstre de foire.
Ce récit est glauque, noir, sans lumière, trash.
Angela rêve d'une échappatoire à son existence. Mais que faire alors que l'on n'est pas capable de marcher ?
Les personnages côtoient la violence et la folie, la douleur et l'humiliation. Rien ne leur sera épargné.
Un roman dur, qui change de ce qui se lit habituellement.
A ne pas mettre entre toutes les mains, seulement pour public averti.
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Disons-le d'emblée, ce roman s'avère meilleur que LE VILAIN PETIT CANARD ou LE PETIT CHAPERON ROUGE dans cette même collection de contes interdits, ne serait-ce que parce qu'il suit l'histoire originelle de manière plus fidèle. Mais précisons tout de suite que nous sommes loin d'une grande réussite.
Ici, nous suivons le destin d'Angie, jeune fille atteinte d'une véritable maladie, la sirénomélie, surnommée « le syndrome de la sirène », qui a transformé ses jambes en une sorte d'appendice caudale. A sa naissance, rejetée par son père alcoolique, l'enfant est confiée à des forains qui vont la transformer en phénomène de foire et tirer parti de sa condition. Là, Angie se lie d'amitié avec un « garçon homard » et subit des viols à répétition par des pervers qui paient pour coucher avec une « sirène ». Elle finit par s'enfuir et trouve refuge dans un étrange palais habité par des nains.
Comme les autres titres de la série, ce conte interdit se veut horrifique et riche en passages osés. L'auteur étale donc pas mal de scènes chocs qui mêlent sexe et sang de manière très frontale. C'est d'ailleurs la principale qualité du bouquin : plonger dans la fange et offrir au lecteur son quota de scènes de viols et de tortures. LA PETITE SIRENE parvient ainsi à divertir lorsque le romancier joue à fond la carte de la perversité (la sirène se fait violer avec un harpon planté dans sa « queue », l'homme homard ébouillanté vivant,…) ou du délire, en particulier grâce à une bande de nains. Ceux-ci vivent dans un « palais des nains » où ils se livrent à toutes les turpitudes possibles. Faut dire que le nain s'ennuie. A part jouer dans Game of Thrones, Fort Boyard ou du porno hard-crad les débouchés sont minces. Alors il faut bien s'amuser et comme le chantait les VRP tripoter les « nénés des nanas des nains ».
Bref, ces aspects outrés peuvent paraitre ridicules, ils n'en sont pas moins plaisants et permettent de sortir quelque peu des sentiers battus. L'hommage plus ou moins volontaire au classique « Freaks » rend plus digeste un roman qui aurait cependant été plus réussi en sombrant encore davantage dans le porno gore rigolo. Ceux qui ont visionné les perles de cinémathèques que sont « La Baby Sitter violée par un nain » ou « The Sinful Dwarf » me comprendront. Notons toutefois que le bouquin se distingue aussi par son vocabulaire canadien dépaysant avec quelques expressions sympas (« hostie » ou encore « Viens moi dedans ! ») qui donnent le sourire.
Roman totalement invraisemblable mais en partie sauvé, justement, par ses péripéties délirantes, LA PETITE SIRENE aligne viols, tortures, perversions sexuelles et passages cradingues pour le plaisir de l'amateur de littérature déviante. Dommage que le tout se prenne un peu trop au sérieux (couverture classieuse et présentation prestigieuse) sans oser assumer jusqu'au bout ses orientations malsaines. On préfèrera donc relire un bon Gore ou un petit Karnage mais, au niveau des Contes Interdits, voici sans doute le bouquin le plus fun (pour l'instant).

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Ce roman n'est pas pour moi. J'ai été perturbée et gênée par toute cette violence et l'esprit pervers qui règnent tout au long du roman.
Nous savons clairement que les contes interdits sont pour un PUBLIC AVERTI mais ce roman ci est d'une noirceur extrême que je n'apprécie pas du tout.
Je me suis dépêchée de le lire pour en finir et espérer quelques chose qui n'existe pas...
Il en faut pour tout les goûts, j'ai tenté car je connaissais pas. Ce n'est pas pour moi.

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Appartenant à la série des "contes interdits" j'ai apprécié cette lecture qui m'a donné de vrais frissons. Comme d'habitude, mélange de noirceur, sexe et horreur, j'ai trouvé ce roman particulièrement fourni en scène pétrifiantes. Il a même réussi à me faire regarder sous mon lit pour voir si un monstre ne s'y cachait pas. L'écriture est fluide, l'histoire bien montée avec plusieurs rebondissements. Néanmoins, un passage m'a paru particulièrement long et à failli me faire décrocher. Heureusement je me suis accrochée. L'histoire est bien menée et se lit vraiment rapidement, mais pas le soir dans une maison en solitaire.
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Le genre était probablement trop violent et déviant pour moi à ce moment-ci. À la fois grotesque, frisant le ridicule (pas juste frisant). le côté corrosif avec le palais et tous ses personnages plus « grands » que nature. du pur délire. J'ai tout de même aimé la qualité d'écriture de l'auteur, le développement de ses personnages qui sont captivants malgré tout...mais pas le type d'histoire déjantée et malaisante qui y était rattachée.
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Un univers sombre et gore.
Un roman qui est interdit au moins de 18 ans et l'ont peut comprendre pourquoi. C'est un style que je ne lis jamais, ou très peu. de la violence, du viol, de la torture et autres scènes parfois difficile à lire font partie de ce livre.
J'ai bien aimée cette lecture, malgré les passages difficiles, qui pour certains m'auront presque donner envie de vomir. On ressent de l'empathie pour Angie et ses amis. Nous vivons ces choses horrible avec elle.
La couverture est vraiment très belle. Sombre et énigmatique. Les couleurs sont vraiment harmonieuses. La couverture va parfaitement à ce livre.
Une histoire sombre et délicate à lire. Personne sensible s'abstenir. Certains passages sont vraiment délicats, difficile à lire.
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Ce conte ci est dans la lignée des autres contes interdits qui reprennent les contes traditionnels mais dans leur version moderne, fantastique et horreur. Ici la petite sirène d'Andersen est une superbe jeune fille atteinte de sirénomélie (ou le syndrome de la sirène) que son père, fou de chagrin, avait voulu noyer à la naissance. le médecin accoucheur en a pitié et la confie à un groupe de forain qui l'exploite en tant que monstre de foire et régulièrement comme prostituée. Suite à de nombreuses péripéties, elle arrive à se sortir du cirque avec l'espoir d'être opérée et d'avoir enfin une vrai vie de femme. Mais tout ne se passe pas comme prévu.
Fan de fiction fantastique et ne boudant pas celle d'horreur, je ne pouvais que succomber à ces versions de nos contes traditionnels. J'en ai déjà lu plusieurs que j'ai plutôt apprécié dans l'ensemble mais je dois dire que celui ci n'est pas le meilleurs. Pourtant il est plutôt bien écrit, les éléments du contes sont bien repris en toute dérision, les personnages principaux sont attachants et on ne peut que compatir à leurs malheurs, l'horreur monte crescendo, la fin est efficace et logique. Mais je ne sais pas, il m'a manqué un truc, je ne suis pas autant rentrée dedans que dans les autres contes. Bon par contre, il faut préciser qu'il s'agit là de littérature québécoise et que l'on peut parfaire sans problème son vocabulaire et ses "sacres" québécois. Peut être une lecture à réserver aux amateurs du genre ?
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La collection des contes interdits fait beaucoup parler d'elle ces dernières années. Je l'ai découverte à ses tout débuts, je crois qu'il ne devait y avoir que 5/6 contes de sorti à cette époque là. J'ai de suite était fan du concept. Je trouve que reprendre les contes de notre enfance, qui nous ont tant fait rêver et les transformer en histoires affreuses, gore, ayant des thèmes vraiment difficile à lire, perso j'adore! Je suis très loin d'avoir tout lu dans la collection mais j'ai tout de même pas mal de contes interdits lus pour le moment. Même si je suis très fan de cette collection (et celle dans l'univers des contes interdits qui reprend des personnages que l'on a croisé ailleurs), il y en a certains qui ne m'ont pas plu du tout ou pas plus que ça. Celui ci est un peu particulier, ce n'est pas que je n'ai pas aimé mais je ressors de cette lecture avec un sentiment étrange. Mais on en reparlera après!

J'avais déjà lu un autre conte de cet auteur et dans mes souvenirs, j'avais plutôt bien aimé. Alors forcément certaines fois je me retrouve un peu décontenancé par les expressions québécoises mais ça forcément l'auteur n'y est pour rien! Si certaines ne m'ont pas dérangées dans le sens où je l'ai comprise, je dois avouer qu'avec certaines j'ai eu du mal à comprendre. Mais ma foi, ça nourrit ma culture générale j'ai envie de dire. Tréve de plaisanterie, sinon sa plume est agréable à lire, c'est fluide et assez addictif! Ce que j'aime avec cette collection de livres c'est que se sont toujours des romans très courts qui se lisent vraiment très vite. Généralement ils ne font pas long feu entre mes mains!

Dans ce roman, on retrouve un père alcoolique qui tente de noyer son enfant difforme. Un couple de monstres de foires en cavale, poursuivi par un policier corrompu, au service d'un juge pervers. Une magnifique sirène prisonnière des griffes d'un forain sadique et qui se lie d'amitié avec un garçon homard. Une mystérieuse attraction montréalaise, le palais des nains, qui cache des abominations, d'absurdes personnages de cauchemars aux intentions machiavéliques.

Concernant l'histoire, déjà on a clairement les éléments essentiels du conte de base. Et rien que ça c'est appréciable, j'ai déjà lu certains contes interdits où on ne retrouve pas les éléments de base et clairement, je trouve ça hyper dommage. L'histoire en elle même m'a permis d'apprendre de nouvelles choses pour le coup. Je n'avais jamais entendu parler de la sirénomélie, c'est une forme rare de malformation qui provoque une fusion des membres inférieurs, ce qui fait penser à une queue de sirène. Il y a aussi la malformation qu'a le personnage de Henry, ce dernier à ses mains qui font penser à une pince de homard, il y a une absence de deux doigts et la main a donc une apparence de pince. Je n'avais jamais entendu parler de ces deux malformations pour le coup. Comme tous les romans de cette collection et surtout comme précisé sur la couverture, ce roman est pour un public averti. Ils abordent des sujets hyper difficiles comme la pédophilie, le viol etc et surtout, parfois certaines scènes sont vraiment difficiles à lire. Alors faites attention à vous. Pour être tout à fait transparente, ce conte là est celui qui m'a mis le plus mal à l'aise. Lire des romans aussi difficile que ceux là ne me dérangent pas le moins du monde, il en faut beaucoup pour me perturber. Mais alors lui? Sincèrement c'est la première fois que je ressens ça pendant une lecture, jamais je n'avais ressenti ce genre d'émotions. Je n'étais pas bien pendant ma lecture, j'étais mal à l'aise, parfois je lisais du coin de l'oeil, c'était tellement bizarre! Dès le début j'avais cette sensation bizarre mais alors le summum ça a été quand on arrive à la maison des nains, alors là pardon mais c'était beaucoup trop bizarre, chelou, étrange tout ce que vous voulez. Même en écrivant ces mots je tire la grimace. Si vous l'avez lu je veux bien que vous me fassiez un retour de votre lecture, je suis très curieuse de voir si quelqu'un a eu le même ressenti que moi!

Du côté des personnages, celui d'Angela m'a profondément touché. Elle se retrouve exposé dans un cirque comme une bête de foire, elle est, quasi quotidiennement, violée, elle doit « travailler » dans des conditions tout simplement affreuses, elle va vivre des choses tellement horrible que je ne peux tout simplement pas le dire tant c'est affreux. La vie ne lui a fait aucun cadeau, je pense que je préfère mourir plutôt que vivre une vie comme la sienne. Ce qui m'a le plus surprise avec elle c'est le courage qu'elle a. Je ne dis pas qu'elle s'en fiche de ce qu'elle vit parce que ce n'est pas le cas mais elle est hyper courageuse parce qu'elle trouve la force de ne pas se laisser abattre et ça, franchement ça mérite le respect! On a aussi Henry, le garçon homard qui m'a également beaucoup touché. Il est très attaché à Angela et vivent tous les deux dans la même caravanes. Ils se soutiennent mutuellement et je pense que si ils tiennent le coup c'est justement parce qu'ils sont là l'un pour l'autre. Henry est un jeune homme tellement touchant, voir ce qu'il est devenu, ça m'a brisé le coeur pour lui.

Je ressors donc de cette lecture avec un sentiment de malaise qui me colle à la peau. le roman n'est vraiment pas mauvais je trouve, tout est cohérent etc mais vraiment tout ce qu'il se passe surtout au palais des nains, ça m'a vraiment mis très très mal à l'aise. Je me suis sentie si bizarre pendant ma lecture, c'était très perturbant! En tout cas, je suis toujours aussi fan de ce concept de contes interdits. Je continue de découvrir petit à petit les différentes histoires et j'ai même commencer à découvrir celles dans l'univers des contes interdits, j'adore!
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Monstre. C'est le seul qualificatif qui vient à l'esprit d'un pauvre homme dont la femme vient de mourir en donnant naissance à un être difforme, une fille affligée du syndrome de la sirène, la sirénomélie. le bébé vient tout juste de naître, affublée de membres postérieurs soudés l'un à l'autre en une parodie de queue de poisson, et déjà son géniteur n'a qu'une idée en tête, mettre fin à ses jours. Heureusement, une bonne âme permettra au bébé de survivre et d'être recueillie par un cirque forain qui s'engage à lui assurer une vie décente.


Malheureusement, la bonne fortune ne dure pas et l'enfant, prénommée Angela, devient rapidement une attraction comme une autre, un monstre de foire que des passants et visiteurs impudiques viennent reluquer dans son aquarium saumâtre, moyennant un prix confortable pour le gérant du cirque. Qui soit dit en passant, propose également à ses clients d'assouvir leurs vices et fantasmes à la vue de la sirène en lui passant dessus lorsque les lumières s'éteignent et que la foire redevient calme pour la nuit.


Angela n'est pas seule dans cette vie de misère. Accompagnée par son seul véritable ami, un tout jeune adulte aux mains semblables à des pinces de homard du nom de Henry, la sirène se prend parfois à rêver à une vie meilleure, loin des attractions, loin du cirque, avec la possibilité pourquoi pas de s'arracher à son fauteuil roulant et de marcher par elle-même ? Après un énième dérapage de la part du gérant du cirque, qui tourne au plus mal cette fois-ci, Angela n'a plus le choix. C'est décidé, elle quitte cette vie et va chercher par tous les moyens à concrétiser son rêve, avoir deux jambes et pouvoir s'en servir !


Rejointe dans son périple par Henry et d'autres rescapés de la foire, Angela ne s'attendait pas à ce que le monde extérieur soit si attaché à sa personne, si déterminé aussi à lui rappeler envers et contre tout qu'elle demeure un monstre, quoi qu'elle en pense et quoi qu'elle fasse. Mais il se murmure dans certains milieux qu'une opération est possible dans ce genre de cas, opération clandestine bien sûr mais le risque en vaut la chandelle apparemment. Suivant sa lubie, Angie embarque tout son petit monde à Montréal, où l'attend le légendaire Palais des Nains, lieu de magie où les miracles chirurgicaux sont possibles pour les êtres comme elle !


Cependant la réalité va s'avérer bien plus cruelle que nécessaire pour la pauvre sirène et sa triste compagnie. Tombés entre les mains de véritables fous furieux, ils nagent d'horreur en terreur dans ce sinistre Palais où le mal est roi et où tout peut arriver. Et comme si cela ne suffisait pas, Angela est poursuivie depuis son départ du cirque par un odieux trio qui fera tout pour mettre la main sur elle et la livrer à leur employeur, prêt à toutes les bassesses pour s'emparer d'une telle rareté !


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Bien plus dans l'esprit du conte original d'Andersen que du long-métrage d'animation des studios Disney, cette version de la Petite Sirène par Sylvain Johnson m'a laissé plutôt froid je dois bien l'avouer. La faute sans doute à pas de chance...


En fait, je trouve tout simplement que beaucoup d'éléments dans ce conte sont forcés, les traits sont trop grossis, et tout ce côté horreur de fête foraine a déjà été exploité en dix fois mieux par la série American Horror Story – Freakshow, donc je ne vois rien de vraiment surprenant ou inédit dans tout ce qui est raconté ici. Vous me pardonnerez au passage de ne pas supporter patiemment le passage au forceps des noms revisités de tous les auteurs gravitant autour du projet des Contes Interdits et présentés ici comme personnages à part entière de l'histoire. La démarche aurait été mieux dosée, je ne dis pas, mais là on sent qu'il y a volonté de caser tout le monde pour le plaisir du clin d'oeil sans penser un seul instant à la lassitude que cela entraîne au bout d'un court moment.


J'avais bon espoir que ce conte d'horreur contemporain m'emmènerait vers des sentiers encore inexplorés, mais je me suis trompé. Toutes les péripéties sont assez prévisibles, et seul le final arrachera un haussement de sourcil appréciateur aux connaisseurs du genre. le reste n'est pas non plus à jeter, attention, il y a des qualités malgré cet avis dans l'ensemble très mitigé que j'émets ici, mais ce n'est clairement pas suffisant. Et je ne vous ai même pas parlé des diverses incohérences qui se sont glissées ci et là au cours de l'écriture et qui auraient bien mérité une bonne relecture !


Vous l'aurez compris, rendez-vous manqué pour moi avec cette Petite Sirène version Québecoise, pourtant j'ai espéré jusqu'au bout que ce serait une réussite. Au fond, je suis un peu comme Angela elle-même, j'espère contre toute attente que ça va bien se passer... et je suis immanquablement déçu et dépité. Je ne suis tout simplement pas le bon public pour ce genre d'histoire déjà vue et revue. J'espère maintenant que les prochains contes de Sylvain Johnson seront plus réussis et qu'il y mettra davantage d'audace et de sa personne, au-delà des sympathiques mais néanmoins usants clins d'oeils répétés à la profession.
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C'est le deuxième conte interdit que je lis et je ne suis toujours charmée. A mes yeux, La Petite Sirène est "moins pire" que Hansel et Gretel mais reste tout autant horrible. Je ne sais pas trop à quoi je m'attendais à lire ces choses-là. Une réécriture plus dark des contes ? En fait, je vois difficilement l'intérêt de lire et écrire des choses pareilles...
Ce que j'ai apprécié, c'est le style d'écriture de l'auteur. La plume est agréable à lire bien que ce qu'il raconte est horrible.
Ici, dans cet ouvrage, vous allez suivre les aventures d'Angie, une jeune demoiselle qui a une déformation de naissance : elle n'a pas de jambes. Aussitôt née, aussitôt les malheurs commencent. Elle se retrouve dans un cirque où elle est maltraitée, violée jusqu'au jour où les évènements font qu'il n'est plus possible de vivre dans ce cirque.
J'ai apprécié le personnage de la Comtesse et sa folie.
Mais c'est bien tout. Hormis une grande pitié pour notre personnage principal, je dois dire que je n'ai pas ressenti grand chose à l'égard des autres personnages.
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