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sur 1242 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ludovic est recouvreur de dettes. Vous savez, la personne qui vient réclamer des impayés auprès des personnes démunies. Pas un boulot facile, mais parfois nécessaire pour que les commerces restent à flot. Un beau jour, il fait la connaissance de sa voisine et ils tombent amoureux. Or, Aurore a monté sa propre société de mode et se retrouve justement face à un mauvais payeur qui risque de faire couler sa petite entreprise ; leur liaison prend alors une autre tournure…

Ce roman est décidément trompeur. Je m'imaginais une mignonne petite romance, un peu feel-good… Mais sous ses airs de lecture légère, il cache bien son jeu : nous avons ici un roman qui tire un peu vers le thriller ! C'est léger, certes, mais tout de même bien présent.
En effet, les deux personnages passent leur temps à douter, avant tout l'un de l'autre. Sur ce que l'autre attend de cette relation, sur la confiance qui les lie… ce qui fait monter la tension de manière imperceptible et nous fait basculer dans un autre registre.

Je n'ai eu aucune difficulté à lire ce roman, l'adictivité était bien présente. En revanche, la plume ne m'a pas trop plu. Ce sont des longues phrases, qui reproduisent le fil de la pensée des deux héros. Pour certains passages, c'était indiqué et agréable, mais dans la majeure partie du roman, c'était juste de trop !
Heureusement, l'histoire m'a passionnée et était facile à lire, donc j'ai facilement pu passer outre ce souci de style.
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L'amour sans le faire" m'avait beaucoup touchée et j'ai eu envie de réitérer avec Serge Joncour en découvrant dans ma librairie ce nouveau titre de la rentrée littéraire.
Dans ce livre, deux mondes s'opposent.
Celui d'Aurore, à qui tout semble réussir, deux enfants, un mari brillantissime, et un métier qui lui prend beaucoup de temps et qui la comble.
Et celui de Ludovic, issu d'une famille d'agriculteurs, il lâche l'exploitation familiale pour s'installer à Paris et se reconvertit en agent de recouvrement.
Il est veuf, seul, isolé, et pourtant rien ne semble l'atteindre.
Il vit dans le même immeuble qu'Aurore qui voit en lui un voisin bourru et antipathique.
Mais un jour, pour une histoire de corbeaux venus faire leur nid dans la cour de l'immeuble, Aurore et Ludovic vont être amenés à se rencontrer et à devoir se parler.
Le livre commence alors comme une histoire d'amour improbable pour peu à peu s'orienter vers une intrigue beaucoup moins rose.
Et ce chemin différent que prend l'histoire à ce moment là, m'a un peu gênée durant ma lecture, avec une impression d'imprécision dans le plan de construction du livre, comme si l'auteur avait changé de cap en cours d'écriture.
Et puis, j'ai eu un peu de mal à cerner de manière précise le personnage de Ludovic.
Ceci dit, l'histoire se lit bien, chaque chapitre en appelle un autre et l'écriture de Serge Joncour est toujours efficace.
Ce roman, qui selon moi est avant tout un constat sur les difficultés que nous pouvons rencontrer lorsqu'il s'agit de faire des choix de vie importants, aurait mérité un peu plus d'approfondissement.
Pas un coup de coeur donc mais une lecture sympathique tout de même et je pense lire très prochainement " l'écrivain national " dont j'entends beaucoup de bien en espérant y retrouver le même plaisir que dans " l'amour sans le faire ".
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Deux voisins que tout oppose se rencontrent dans la cour de l'immeuble, envahie par des corneilles.
Aurore est tétanisée par ces oiseux de mauvaise augure qui ont pris la place des tourterelles, bien plus agréables et chantantes.
Au début, Ludovic ne lui accorde aucune considération, son côté citadine, mère de famille et gérante d'entreprise le repousse.
Quant à lui, ancien agriculteur et amateur de chasse, il a l'allure d'un homme rustre et solitaire.
En résumé, et sans oublier la différence sociale, tout les oppose.

Ces maudites corneilles vont pourtant les rapprocher, il va céder face à la peur de cette femme. Ce sera le début d'une relation fusionnelle. Ils ont l'impression de se connaître depuis toujours.
Mais voilà, cette histoire d'amour prend la tournure d'une intrigue abracadabrante. le seul intérêt que j'y ai trouvé est l'analyse des personnages, leur réaction face à la situation, le questionnement sur de l'un sur l'autre :ils ont l'impression de se connaître depuis toujours mais, en réalité, que savent-ils de leur vie respective ?
Une fin un peu cliché mais qui reste sous-entendue.

En résumé, une plume élégante qui se prête parfaitement à cette romance perturbée par une intrigue parfois farfelue.
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Difficile de la classer en polar, c'est + un roman d'ambiance contemporain
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Aurore et Ludovic vivent dans des immeubles voisins mais dans deux mondes différents.
Aurore dans le bâtiment rénové et luxueux, dans un grand appartement entourée de son mari, leurs enfants, dans une vie bourgeoise et bien rangée.
Ludovic est venu à Paris depuis sa Corrèze natale pour fuir le chagrin à la mort de sa femme. Il a quitté sa famille et sa ferme pour se perdre dans ce Paris qu'il ne comprend pas.
Leur vie vont se télescoper au moment où Aurore se débat avec son entreprise de prêt-à-porter. Son associé en train de la trahir, elle ne peut en parler à personne, surtout pas à son mari à qui tout réussi, de peur de donner d'elle une image de perdante. Pourtant ce dont elle a besoin c'est quelqu'un sur qui se reposer.
Ludovic avec son 1,95m et ces 100 kilos, donne l'impression de tout maitriser et d'être celui sur qui rien n'a de prise.
Ils pensent n'avoir rien en commun mais rien n'est moins sûr.
Un sujet intéressant et bien abordé mais trop de répétitions et de longueurs mènent à l'ennui.
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Il vous est peut-être arrivé d'écouter les "Papous dans la tête" sur France-Culture le dimanche vers 12h45 et d'y entendre Serge Joncour jouer avec les mots.
Cet homme de radio écrit. Oh, ce n'est pas de la littérature au sens où je l'entends, mais une histoire racontée avec suspense et clins d'oeil. 400 pages pour expliquer comment elle, mariée, à la tête d'une entreprise florissante de la mode l'a rencontré, lui, le paysan "monté à Paris" où il vit en travaillant pour un bureau de recouvrement. Deux personnages fort distincts, deux situations apparemment incompatibles impliquées dans une intrigue sans cesse rebondissante. Un roman de détente, roman sans prétention mais bien ficelé.
L'histoire me fait penser que l'auteur dévale une pente à skis et qu'il a placé lui-même sur le parcours des portes au travers desquelles il fait slalomer le lecteur.
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Repose-toi sur moi, de Serge Joncour, prix Interallié 2016, un roman dont le titre ne m'a pas paru attractif puis à nouveau, après lecture, on s'interroge sur ce titre. Qui se repose sur qui ? Selon les périodes, les uns semblent ne plus être en mesure d'assumer leur condition et à d'autres moments c'est l'inverse. Au final beaucoup se reposent sur Ludovic, un grand gaillard, ancien joueur de rugby, à commencer par sa famille qui ne mesure même pas son sacrifice. Aussi est-ce surtout Aurore qui semble le préférer à son mari ?
j'avoue également m'être interrogé sur la première partie du roman, comment et pourquoi ce livre a pu recevoir ce prix littéraire ? Je me suis dit c'est du Guillaume Musso, une sorte de roman psychologique et sentimental avec une dimension surréaliste. En effet que penser de cette Aurore Dessage, qui a une phobie de deux corbeaux perchés au sommet de grands arbres dans sa petite cour d'immeuble au coeur de Paris ? Un bon roman, c'est lorsque les personnages de fiction sont aussi authentiques que des personnes bien réelles. Or là, le personnage d'Aurore est par trop vaporeux. N'est-ce pas une sorte de poupée Barbie, que l'auteur triture au grès de sa fantaisie, comme le ferait une fillette, lui prêtant une existence aussi immature qu'elle même ? Enfin je me suis dit, ce personnage d'Aurore ne peut avoir été conçu, que par un homme ! Sauf dans les dernières lignes, Aurore apparaît comme un être faible, voire naïf et négligent notamment en sa qualité de patronne d'une petite affaire qui emploie cependant des salariés, au point de ne pas même accepter l'aide de son mari et de quiconque. En outre comment ne pas être perplexe sur les autres suites d'invraisemblances. Tirer deux corbeaux à la carabine en plein coeur de Paris ? Mettre KO un jeune homme, encore adolescent d'un groupe trop bruyant ? Tuer un homme par le seul fait de se faire reconnaître ? Fracasser la mâchoire d'un chien Boxer qui mordait le bas du pantalon ? On est loin de la littérature classique ! Alors non seulement Aurore est une poupée Barbie, mais Ludovic l'est-il aussi, le partenaire masculin de la poupée ? Vu par ce prisme, Ludovic est aussi imprévisible que l'est un personnage créé par un enfant avec ses poupées. Tout ceci donne encore une fois une tonalité d'un roman qui manque de profondeur, pourtant avec les ingrédients de départ d'une excellente recette.
Il y a plus choquant, à mes yeux, c'est le manque de scrupule de l'auteur qui n'hésite pas à discréditer l'institution judiciaire commerciale pour les finalités de l'intrigue. Je cite"... ce montage était possible uniquement parce que Kobzham avait des alliés au sein même du tribunal de commerce, pour faire un deal pareil il fallait avoir le président dans la poche, du moins il fallait le connaître, peut-être le fréquenter, l'infâme privilège des réseaux qui sévit à Paris, dans les affaires comme dans le reste, le réseau ça a valeur de passe-droit, ça court-circuite la règle, et s'il n'est pas interdit d'avoir des alliés dans la vie, quand c'est au niveau d'un tribunal de commerce et pour dézinguer cette femme-là, c'est dégueulasse." Eh bien Monsieur Serge Joncour, ce que vous avez écrit est inadmissible quand bien même vous prétendiez que c'est une fiction. Lorsque vous décrivez la cour, même si elle n'existe pas, elle devient pour le lecteur, une cour réelle. De même votre discrédit de l'institution tribunal de commerce par le président dans sa poche, et à assimiler le Tribunal de commerce de Paris à un vulgaire réseau immoral. Non Monsieur, vous dépassez les limites de votre pouvoir d'expression littéraire. Non Monsieur, les institutions de notre république, qui devraient faire notre fierté ne peuvent pas être traitées avec les ordures, selon le slogan "tous pourris". Serez-vous tenté par un, est-ce si grave ? Eh bien oui, c'est grave, car sans réaction, c'est cette réalité de corruption qui demeure. Alors quelle suite ? Pour ma part j'en reste là, espérant recevoir un échos.
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4 ans après avoir lu L'amour sans le faire, du même auteur, c'est assez emballée que j'ai accepté la proposition de Babelio de recevoir gracieusement le dernier roman de Serge Joncour, en échange d'une critique.

4 ans, ça commence à remonter mais je me rappelle très bien combien L'Amour sans le faire avait été une magnifique lecture. Je ne me souvenais pas de l'histoire précisément. Juste que j'avais été marquée par la beauté de l'écriture ainsi que par la simplicité et la pureté de l'histoire d'amour naissante en question. Luminosité, c'est le qualificatif que j'avais employé.
La barre était haute.

J'irai directement à l'essentiel. J'ai été un peu déçue.
L'écriture est toujours aussi belle, claire et limpide, tout en étant très précise, très imagée, parlante. Je rappelle que l'auteur est aussi lié au monde du cinéma. Il a écrit le scénario de l'adaptation cinématographique de Elle s'appelait Sarah, et deux de ses romans ont déjà été portés au grand écran. Cette histoire-là pourrait tout à fait elle aussi faire l'objet d'une adaptation.
Pour autant, je n'ai pas été autant éblouie que lors de ma lecture d'il y a quatre ans.

L'histoire d'amour, quant à elle, est un peu trop "cliché" à mon goût.
Un homme et une femme, diamétralement opposés, se rencontrent et vont tomber inexorablement amoureux l'un de l'autre.
Elle, Aurore, Parisienne depuis toujours, a la classe et est mariée à un Américain businessman. Elle est aussi mère de famille et styliste à la tête de sa petite maison de couture.
Lui, Ludovic, vit à Paris depuis deux ans mais est un rural déraciné par la force des choses. Il a quitté ses terres, pour changer de vie, suite au décès de sa femme et travaille désormais dans le recouvrement de dettes.
Autant Aurore est la grâce et la fragilité incarnée, de par son physique, autant Ludovic représente la puissance et la force tranquille de par sa stature imposante. "Un homme paratonnerre dont l'allure suggère qu'il ne redoute rien". En apparence.
Ils habitent deux immeubles voisins, partageant la même cour. Elle du beau côté rénové, lui, de l'autre.
Elle a tout mais souffre du manque d'écoute de son mari. Elle n'ose pas embêter celui à qui tout réussi avec ses soucis professionnels et d'ailleurs, il ne semble pas avoir beaucoup d'attention à lui accorder. Sa petite entreprise commence à être gravement dans le rouge, à cause de défauts de paiement. Elle se sent en perdition, pas à la hauteur et a un gros besoin d'être rassurée.
Sur qui pourrait-elle bien se reposer ?
Toutes ses peurs, elle les focalise sur deux corbeaux qui ont élu domicile dans sa cour et qui la terrorise. Oui, ne riez pas.

Les bestioles, pour lui, l'agriculteur de naissance, ce n'est pas un problème.
Aurore et Ludovic se retrouvent face à face un soir, totalement par hasard. Elle laisse éclater sa paranoïa aviaire. Ni une, ni deux. Deux coups de fusils bien placés quelques jours plus tard et il la débarrasse de ses pires ennemis. Preuve indubitable d'attention pour elle.
Ces deux-là ne tardent pas à tomber dans les bras l'un de de l'autre. C'est très rapide. Foudroyant dirons-nous. Ils se désirent tellement qu'ils ne peuvent pas se retenir dans la salle d'attente d'un rendez-vous hyper anxiogène... Certes, c'est croustillant, ça pimente bien le récit et c'est bien écrit mais là, on est complètement dans le too much. Je ne dis pas que ça ne pourrait pas arriver dans la vraie vie, notez bien, mais ces deux-là, ils vont toutes nous les faire !

On apprend plus loin dans le récit qu'Aurore ne fait plus l'amour avec son mari depuis trois ans. Un fait énoncé qui m'a surprise car rien ne le laissait présumer dans la première partie du roman. Pourtant l'auteur aurait eu tout le loisir de placer cette information pas anodine du tout (parce que 3 ans sans avoir de relation sexuelle avec l'homme qui partage sa vie, c'est qu'il y a un gros souci dans le couple, non ??? et que manifestement, la dame n'avait pas que des soucis au travail...) quand il a campé le décor personnel des protagonistes. du coup, cela semble arriver pile poil pour justifier, en quelque sorte, ce besoin de contact charnel pour Aurore. Pratique ?
Cette information m'a perturbée.
Comme par hasard, elle ne fait plus l'amour avec son mari très séduisant... Un point de plus dans la colonne de la rencontre amoureuse cliché, c'est ce que je me suis dit.

Mis à part ce contexte assez facile, l'attraction, la déroute des sentiments, le chamboulement vécus par l'un et par l'autre sont très bien décrits. C'est crédible.

Là où on retombe dans le romanesque pur jus, et pas dans le sens positif du terme, c'est quand Ludovic se retrouve mêlé aux problèmes de la boîte d'Aurore. Alors oui, ça part d'un bon sentiment. Il veut avant tout la protéger, l'aider et en plus, elle ne demande que cela...
On n'aboutit pas à une situation abracadabrante et complètement irréaliste, mais wahou... Il leur en arrive des choses quand même ! Ça tourne au vinaigre, au point où les deux sont à deux doigts d'être impliqués dans un homicide involontaire et Ludovic est à deux doigts de perdre complètement pied. À la limite du À la vie, à la mort... Quand on pense qu'Aurore, si elle avait mis sa fierté de côté et si elle avait simplement demandé de l'aide à son mari, aurait pu régler l'affaire en faisant intervenir les avocats de celui-ci...

C'est déroutant. Jusqu'aux deux, trois dernières pages du livre, je me suis demandée comment cela allait bien pouvoir se terminer. Bien ou mal ? Mal ou bien ?
Je ne dirai bien, si ce n'est que j'ai trouvé cette fin réussie. J'ai fait ouf.
Et c'est un très bon point à mettre au crédit de cette histoire.

Souvent, pour encourager un élève, on dit "Peut mieux faire"... Clairement, Serge Joncour a mieux fait.
Je vous invite fortement à lire L'Amour sans le faire.
Lien : http://linecesurinternet.blo..
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Ludovic est devenu conciliateur par sens de sacrifice. Il est parti de chez lui pour Paris pour exercer un métier différent de celui d'agriculteur qu'il exerçait auparavant et travailler dans le recouvrement de dette.

Il rencontre Aurore qui est mariée à Richard et mère de famille de jumeaux.

Après que des corbeaux aient élu domicile dans la cour de leur immeuble, Ludovic intervient pour les tuer et fait la connaissance appuyée de sa voisine qui avait peur de ces oiseaux.

[Un voisin qu'elle n'aime pas croiser qui la toise d'un sourire aussi glaçant que les corbeaux]

Mais les évènements, les comportements, les dialogues vont faire qu'ils vont se rapprocher.

[Il y a des êtres comme ça qu'on ressent fortement, et même on ne les connaît pas, même si ça se passe mal, d'instinct on se sent liés à eux.]

Le synopsis de Serge Joncour parle d'un grand roman de l'amour et du désordre en portant loin son regard entre une collision d'un monde contemporain et l'univers de l'intime notamment entre l'univers de la ville et celle de la campagne, la solidarité et l'égoïsme. Mais la subtilité du grand amour est quelque peu décevante surtout pour avoir lu plusieurs romans de ce type.

Je remarque que l'effet est coupé par des séquences d'un Ludovic conciliateur dont, les histoires tirées en longueur qui le font sortir de l'action. Il faut y voir non pas une histoire franche, mais une recherche d'un répondant dans des lignes qui se cherchent.
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Ce n'est pas le meilleur livre de Joncour, que j'aime pourtant beaucoup. Ca se lit bien mais je n'ai pas trop accroché à l'histoire.
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