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Une enquête de Francesca Cahill tome 7 sur 9
EAN : 9782290103838
380 pages
J'ai lu (16/09/2015)
3.92/5   12 notes
Résumé :
Francesca enquête en compagnie de Rick Bragg, le demi-frère de son fiancé, sur le tueur en série qui menace les Irlandaises du quartier de Manhattan, et donc son amie, Maggie Kennedy.

Présentation de l'éditeur
Avril 1902. Un dangereux tueur en série, l'Egorgeur, sévit à New York. Ses victimes ? Des jeunes femmes pauvres, d'origine irlandaise, qu'il agresse toujours un lundi. Francesca Cahill, jeune femme de bonne famille, détective et aventuriè... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
7ème tome des aventures de Francesca Cahill qui confirme l'évolution du personnage prise depuis le dernier tome. Un peu plus mature, même si parfois bien naïve avec une préférence marquée pour son fiancé, avec des déboires car son histoire d'amour ne peut être de tout repos. Un peu moins tête à claques ce qui aurait lassé au final si celà avait trop persisté.

On reste dans le même périmètre , dans le quartier pauvre où vit l'assistant de Francesca Joël avec sa mère et ses frères et soeurs. Après la disparition des jeunes ados, on se retrouve avec le meurtre d'une jeune femme irlandaise un lundi... Ce qui fait écho à des attaques contre d'autres jeunes irlandaises les lundis précédents. Francesca se lance sans penser au danger à la poursuite de ce tueur avant qu'il ne fasse une prochaine victime. D'autant plus motivée que la mère de Joël a le profil pour être la prochaine victime.
Des personnages secondaires aussi intéressants avec l'idylle avec le frère de Francesca et une ouvrière, histoire socialement inacceptable à l'époque, la femme de Bragg de plus en plus sympathique et sa difficulté à faire face à son grave accident. Sarah intéressée que par son art saura t elle voir ce qui est sous son nez?
Des histoires qui s'imbriquent dans celle plus importante de Francesca mais qui donnent envie de connaitre la suite.
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Quel plaisir de retrouver Mme Cahill après...tant d'années. Il faut dire que ce septième tome je ne l'attendais plus. Vous dire que j'ai l'impression de l'avoir quitté hier serait faux. D'ailleurs, j'avais gardé un très lointain (même s'il était bon) souvenir de cette série. Mais c'était il y a plusieurs années. Et j'ai eu du mal à apprécier le ton de la série tout de suite.
Il faut dire que la romance en générale : son style et ses auteures ont beaucoup évolué en peu de temps. Notamment avec l'essor de la littérature Bit-lit et New Adult qui ont donné un nouveau ton, beaucoup plus moderne. Vous me direz que la série Francesca Cahill est une romance historique (donc le moderne...). Il n'empêche. A la lecture des premières pages, j'ai eu peur de ne pas accrocher de nouveau. Je me suis accrochée et grand bien m'a pris car malgré quelques tournures de style que j'ai trouvé vieillotte, je suis retombée dans le bain Cahill.
Lundi mortel est le septième tome d'une série qui met à l'honneur une jeune femme bien née du début du siècle et qui devient détective. Chaque tome propose une enquête policière que la jeune femme va résoudre. Elle est épaulée par le chef de la police Rick Bragg pour qui elle a eu des sentiments amoureux avant de lui préférer son demi-frère. Il y a donc une forme de triangle amoureux dans l'air même si Francesca a choisi Calder Hart.
J'ai beaucoup aimé malgré ma difficulté à me replonger dans ce septième tome après tant d'années. L'intrigue est bien menée dans un style à la Anne Perry que j'ai bien apprécié. Je dois cependant dire que l'intrigue policière n'est pas un prétexte à la romance. Elle est prépondérante, c'est pourquoi le dénouement ne m'a pas semblé à la hauteur de la tension du récit. J'ai un même un peu râlé. Cela m'a rappelé mes lectures d'Agatha Christie ou je fulminais en découvrant le nom du coupable en comprenant que l'auteur ne mettait pas tous les éléments à disposition du lecteurs pour qu'il puisse le trouver.
J'ai aimé cependant ma lecture et elle m'aura convaincue en grande partie à cause de sa romance que j'apprécie beaucoup. Brenda Joyce sait créer des personnages attachants. Je ne parle pas que de Francesca Cahill, Rick Bragg ou Calder Hart mais de tous les autres qui gravitent autour et qu'elle intègre judicieusement dans le roman. Si bien que ce n'est plus uniquement la jeune détective qui nous intrigue mais tout ceux qui intègrent son monde.
Je me rappelle que pour les premiers tomes, j'avais eu un faible pour le « mauvais » frère : Calder Hart mais j'ai du mal à comprendre ses choix et je pense même lui préférer son « honorable » frère. Fiancé à Francesca, il désire s'amender aux yeux de tous et devenir respectable. Dommage, il en perd en piquant.


- Bref -
Des retrouvailles réussies et j' enchaîne avec délectation sur le 8ème opus.

Lien : http://lachroniquedespassion..
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Dans ce 7ème tome, Francesca va devoir enquêter en compagnie de Rick et calder sur un tueur en série qui menace les Irlandaises du quartier de Manhattan, dont son amie : Maggie Kennedy.


L'histoire se déroule au cours du mois d'Avril 1902, d'ou le langage un peu "vieillot" et soutenu de la cette série. Et c'est justement un des éléments qui fait que j'apprécie autant cette série.

Ça et le personnage de Francesca parce que si elle parvenait à résoudre ses problèmes sentimentaux avec autant de succès qu'elle démêle les enquêtes policières les plus compliquées ... alors ce serait moins drôle !

Je continue (encore et toujours) de recommander à 200% cette série !
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Une intrigue qui reprend un peu du poil de la bête, surtout par rapport à la précédente, mais un aspect sentimental toujours un peu too much (même si cela reste prenant).
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Quel plaisir de retrouver Francesca et Calder ! Ah la la, Calder Hart ! Quel homme :p !Hâte de lire le tome 8.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
— Vite ! murmura-t-elle.
Tandis que Hart descendait de voiture, elle fouilla dans son réticule. Quand elle rejoignit son fiancé sur le trottoir, elle brandissait son revolver.
— J’espère qu’il n’est pas chargé, dit-il. Tu pourrais blesser quelqu’un. À commencer par moi.
— Bien sûr qu’il est chargé !
Hart inclina le canon du revolver vers le bas.
— Tu ne crois pas que tu pourrais t’en passer ?
Francesca courut vers la porte de l’immeuble.
— Si nous trouvons Randolph en train d’assassiner Gwen, nous serons bien contents de disposer d’une arme.
Hart la rattrapa et lui ouvrit la porte.
— Je t’accorde que son comportement est étrange, mais cela ne fait pas de lui un criminel.
Francesca ne répondit pas : elle gravissait déjà l’escalier. Elle s’arrêta devant la porte de Gwen et y colla l’oreille. Rien. Pas un bruit.
— Nous frappons ? s’enquit Hart d’une voix amusée.
— Chut !
Elle tendait toujours l’oreille, mais le silence de l’autre côté du battant l’inquiétait au plus haut point.
— Hart, enfonce la porte !
Il lui jeta un regard incrédule.
— Dépêche-toi !
Hart essaya d’abord la poignée. La porte n’était pas verrouillée, il n’eut qu’à la pousser.
Francesca se haussa sur la pointe des pieds pour voir par-dessus son épaule.
Randolph serrait Gwen dans ses bras et l’embrassait avec ardeur.
Les amants étaient tellement absorbés qu’ils ne les entendirent même pas.
Francesca rangea son revolver dans son réticule.
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- J'ai compris que le bas-bleu possédait une intelligence hors du commun. Que l'intrépide détective faisait preuve de plus de courage et de détermination que le commun des mortels. Et que la romantique portait en elle plus d'espoir et de loyauté que quiconque pouvait espérer en mériter. J'ai compris également que tu étais au moins aussi excentrique que moi, sinon davantage. Et que tous ces ingrédients réunis faisaient de toi la femme la plus merveilleuse qui se pût rêver. Tout cela, je l'ai compris au premier regard Francesca. Et j'en ai conclu que tu étais la femme qu'il me fallait. J'ai su très vite que nous étions faits l'un pour l'autre.
Francesca avait la gorge nouée. Elle trouvait extraordinaire qu'il admette tout cela.
- En revanche, j'ignorais une chose, reprit-il, lui encadrant le visage de ses mains.
- Laquelle ? articula-t-elle, le coeur battant à tout rompre.
Le regard plongé dans le sien, Hart répondit :
- J'ignorais que je tomberais amoureux de toi.
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— Alors, nous deux, c’est fini ? souffla-t-elle.
Il reposa bruyamment son verre.
— Toi et moi, nous n’en aurons jamais fini, Francesca.
C’était probablement les paroles les plus romantiques qu’il lui ait jamais dites. Mais elles étaient contredites par la noirceur de son regard et la colère qui vibrait dans sa voix.



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