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EAN : 9782221115770
372 pages
Robert Laffont (08/03/2012)
3/5   1 notes
Résumé :
trente-quatre ans, Randy Welcome a, selon ses propres dires, un nom de clébard et un job pourri de chauffeur de limousine dans le New Jersey. Résigné, il n'aspire désormais qu'à deux choses : reconquérir son ex-femme et boire ses bières en paix. Jusqu'à ce que, un jour de canicule, sa route croise celle d'un ancien amour de lycée. Jusqu'à ce que, le temps d'une soirée avec elle, il se sente revivre. Et que, le lendemain matin, il se réveille avec une terrible gueul... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Randy Welcome, 34 ans, n'attendait plus grand-chose de la vie jusqu'à ce que sa route croise celle d'un ancien amour de lycée... et jusqu'à ce que le lendemain matin d'une nuit avec elle, il se réveille avec une gueule de bois et 2 cadavres inconnus dans son coffre. Randy va tenter de découvrir pourquoi, ce qui s'est passé 20 ans auparavant, vient aujourd'hui ruiner sa vie.
Pas convaincue du tout. Mais le côté "décalé" et branché pourrait séduire certains lecteurs. Personnellement l'écriture plate m'a laisser de marbre.

Lien : https://collectifpolar.com/
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Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
J’ai toujours eu un faible pour les pom pom girls. Déjà, à l’âge de trois ans, j’étais fou amoureux d’une petite blonde en robe à smocks qui répondait au doux nom de Cindy Molster. Je lui offrais mes goûters, mais elle n’avait d’yeux que pour Henry, un dur de cinq ans au moins, qui roulait des mécaniques sur son camion de pompiers. Rapidement, elle avait commencé à refiler mes gâteaux à Henry, mais j’avais continué mes offrandes juste pour avoir la chance de croiser une fois par jour son regard bleu azur. Bilan : je n’avais pas vu la couleur d’un goûter jusqu’à l’âge de raison – seul un baiser sur la joue un après-midi d’été, juste avant que ses parents ne déménagent pour Austin et qu’elle ne disparaisse définitivement de mon horizon, m’avait récompensé de mes efforts.
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Même pas interrogé sur ma vie, mon boulot, le studio merdique dans lequel je vivais depuis que je lui avais laissé la maison. Non, elle m’avait juste hurlé dans les oreilles des borborygmes affreux au sujet de la pension alimentaire, mélangeant en une immense phrase sans ponctuation des considérations aussi diverses que « retard de croissance de Sugar par manque de protéines », « obligée de faire des ménages pour survivre », « connard égoïste et incompétent », « ma plus grosse erreur a été d’attendre ta sortie », « gâché les plus belles années de ma vie », j’en passe et des meilleures. J’avais fini par lui raccrocher au nez, incapable de répliquer sans hurler que j’allais la tuer à coups de batte de base-ball si elle ne baissait pas d’un ton.
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’aurais dû en faire le deuil des années après, lorsqu’elles se glissaient dans ma chambre le soir et m’offraient leurs seins parfaits juste pour pouvoir porter le maillot de l’équipe d’athlétisme avant de me déchirer le cœur. J’aurais dû les traiter comme mes camarades le faisaient plutôt que de leur écrire des poèmes qui les faisaient pouffer entre elles et me traiter de ringard. J’aurais dû me rabattre sur les fortes en thème, les brunes à queue-de-cheval, les rebelles à maquillage violet ou les rigolotes à forte poitrine, celles qui avaient déjà compris que l’amour est une denrée rare, bien plus importante que des mains baladeuses à l’arrière d’une voiture, et qu’il convient de le traiter avec respect.
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Ensuite je n’avais en tête que des flashs brumeux, des bribes éparses et illuminées de morceaux de soirée. Shirley sur moi à l’arrière de la voiture en train de déboutonner ma braguette. Shirley m’indiquant un chemin sur les docks entre deux entrepôts. Shirley discutant avec plusieurs types au crâne rasé, alors que j’essayais tant bien que mal de me tenir au capot de la Lincoln pour ne pas glisser à terre. Des cris. Shirley en train de parlementer, Shirley en train de sortir quelque chose de son sac, Shirley en train de disparaître dans la nuit, tanguant comme un bateau ivre sur ses talons trop hauts, soutenue par deux types en noir.
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— Monsieur, nous allons vous demander de nous accompagner, avait finalement dit le jeune flic en sortant de son véhicule.
Il était poli, mais sa main était toujours posée en évidence sur la crosse de son arme. Le message était clair.
Un instant je m’étais demandé comment ils avaient fait pour découvrir aussi vite les corps planqués dans le coffre de la voiture. Je l’avais quittée quoi ? cinq minutes auparavant ? Est-ce que j’étais assez con pour avoir laissé ce coffre ouvert, son chargement placé en évidence à la vue de tous ?
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Videos de Alexandra Julhiet (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alexandra Julhiet
- Car un jour de vengeance, d'Alexandra Julhiet chez Calmna-Lévy. " Un polar que vous ne lâchez pas et un suspens d'enfer ! Un des très très bon polar que j'ai lu cette année." - Gérard Collard.
Le sang de Lilas, 37 ans, se fige lorsqu'elle découvre dans sa librairie favorite un livre retraçant les heures sombres de son adolescence au pensionnat de Chevrière, en Suisse. C'est fou, tout y est, ses pensées intimes, ses chagrins, ses secrets, et surtout l'acte terrible commis avec ses trois amis d'alors, Lazare, Alice et Olivier... le passé va-t-il détruire le présent ? https://lagriffenoire.com/car-un-jour-de-vengeance-1.html
Alexandra JULHIET est nominée pour le Prix du Polar "Noir sur Ormesson" 2023.
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