Rachel a tout pour être heureuse: une carrière, un rôle de mère parfaite, un mari très présent, une famille aimante. Elle va pourtant sombrer dans une terrible dépression.
La nuit n'en finit pas est un best-seller en Angleterre, c'est ce qui a piqué ma curiosité. Loin d'être habituée à ce genre de livre, je ne pensais pas du tout en être fan et m'attendais à le lire en parallèle d'un autre pour mieux le faire passer. Mais je l'ai lu en une journée tant il m'a fasciné.
Extrêmement bien écrit (l'auteure était journaliste pour le Times), il est percutant, prenant et totalement différent de ce que j'ai pu lire sur ce thème difficile.
Rachel Keller raconte sa descente aux enfers avec précisions, puis sa convalescence et termine par des conseils. Un excellent livre qui déculpabilise les mères, qui traite sans honte de la dépression et qui donne de sacrées pistes pour l'éviter. En bonus: des poèmes inspirants à decouvrir au fil des pages. A mettre entre toutes les mains!