«Il s’agit de pister les skippers, d’obtenir un temps avec eux juste à l’arrivée de la course, ou quelques jours plus tard, afin de les photographier alors qu’ils sont encore "dedans", pleins de ce qu’ils viennent de vivre, et que les regards portent encore la lumière, la fatigue, la peur, l’horizon, la solitude, la grâce, la violence.»
Maylis de Kerangal.
Durant trois ans, Maud Bernos a sillonné les ports, immortalisant le visage de 39 marins,... >Voir plus