Bien que le bouddhisme me soit tout à fait hermétique, j'apprécie la prose sainte et belle de Kerouac, ce désespéré magnifique qui chercha toujours l'évasion à travers tout ce qu'il entreprit, qu'il s'agisse de la vie elle-même ou de la spiritualité. Ecrire fut pour lui la forme suprême de la prière, en même temps qu'un acte éminemment charnel.
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En 1959, Jack Kerouac parle de littérature et de la «Beat Generation»