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sur 1889 notes
Une rencontre avec soi même
Le plus éprouvant pour toute personne, c'est de s'affronter soi-même, avec ses peurs, son passé… Tous ceux qui ont suivi une séance de psy savent de quoi je parle. Découvrir qui ont est à travers soi est éprouvant, effrayant, et l'on n'en sort jamais indemne… Pour traiter de ce sujet, Stephen King trouve un moyen plutôt tordu (no comment), une femme menottée dans un lit, dans une cabane isolée. Ainsi, il donne l'occasion à cette pauvre Jessie de se pencher sur elle-même pour savoir pourquoi elle en est arrivée là. Car cette fois ci, elle ne pourra pas y échapper, puisqu'elle ne peut s'occuper à d'autres choses.
Prisonnière dans ce lit, Jessie va se retrouver prisonnière d'elle-même. Et par cela, elle va explorer un moment assez traumatisant de son enfance. Son père en effet, va se retrouver à faire des gestes un peu déplacés envers sa fille. Et Jessie va entre apercevoir quelqu'un (je ne vous en dis pas plus, mais c'est un autre personnage de roman de King). Cette révélation de son passé va-t-elle la détruire ou lui permettre de trouver la force de s'en sortir dans cette nouvelle épreuve ? Va-t-elle pouvoir faire la paix avec elle-même.

Dans ce huit clos éprouvant, une présence
Jessie est-elle vraiment toute seule ? Nous voyons une personne, une présence qui va venir la voir de temps en temps. Mais nous ne pouvons savoir si c'est un élément de son imagination ou pas. Et cette présence va apporter une touche d'angoisse énorme dans cette quête de survie. Cette présence fera office d'observateur car à aucun moment elle ne parlera ou elle n'aidera Jessie. Elle ne la tuera pas non plus. Cet élément qui peut paraître anodin donne une certaine dimension à ce récit. Car Jessie est déjà en proie avec elle-même (elle entend des voix et donc différentes facettes d'elle-même) et se rend compte qu'il y a cet élément extérieur. Elle ressent l'intrusion au plus profond d'elle-même.
Va-t-elle pouvoir rester lucide du début à la fin, ou va-t-elle sombrer dans la folie ? Va-t-elle survivre ? Ce sont avec ces questions que nous laisse Stephen King, nous maintenant en haleine tout au long des pages avec cette subtilité d'écriture qui n'appartient qu'à lui. Un roman qui ne se démode pas. Et qui vous marquera profondément. Vous amenant à regarder vers vous, et à vous demander si vous seriez capable, vous aussi, de vous affronter vous-même. A quoi être-vous prêt pour survivre ?

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Jessie et Gérald unis par les liens du mariage, depuis de nombreuses années, ne trouvent plus de plaisir dans leurs relations intimes, Gérald pimente celles-ci de jeux sexuels qui sont bien loin des fantasmes de sa femme. Alors quand il propose à Jessie de la menotter aux barreaux du lit, elle se résigne, mais décide finalement, pour une fois, de refuser à se soumettre. Suite à un échange houleux et un coup pied malencontreux, Gérald s'effondre d'une crise cardiaque avant d'avoir libéré Jessie de ses entraves. Prisonnière de ces dernières, et isolée dans sa maison de campagne, elle n'aura pour seule compagnie que ses voix intérieures qui l'accompagnent depuis son enfance et un chien errant…
J'ai trouvé la mise en place un peu longue, toutefois nécessaire pour la suite, une fois passée celle-ci on se retrouve vite happé par ce huis clos où rêve et réalité se confondent. Une ambiance lourde et pesante, les souffrances de Jessie sont tellement bien décrites qu'elles en deviennent les nôtres, des heures longues et douloureuses mettront à mal sa raison. Stephen King nous plonge dans les tréfonds de l'âme humaine, noire et tortueuse, les voix apportent un attrait psychologique au personnage et à la part d'ombre de la prisonnière, non seulement de ces menottes, mais également d'un passé refoulé… L'écriture est époustouflante, rien n'est oublié, chaque détail compte, j'ai adoré lire ce livre qui fait partie d'une « trilogie » en faveur de la cause féministe, avec Rose Madder et Dolores Claiborne.
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Jessie.

Je viens de finir votre aventure, rapportée avec un talent incontestable par un certain Stephen King, qui semble être promis à un grand avenir dans la littérature à suspens...

Mon nom ne vous dira rien, Mme Burlingame...

Puis-je encore vous appeler Madame Burlingame ?

Il serait indélicat, vu les fait portés à ma connaissance, d'ajouter le moindre propos sur votre mari et la sur la façon dont il est mort...

Comme quoi, des jeux peuvent avoir des conséquences bien désastreux...

Je dois vous avouer que j'ai savouré, à ma grande honte (?), vos délires, vos peurs, vos souvenirs vous hantant au delà de la limite de la folie....

Ces démons de l'enfance.... Ces voix qui vous habitent....
Ces menottes qui vous retiennent captive d'une vie qui ne sera plus jamais la vôtre....

Et Gérald qui n'est déjà plus....

Tout ce temps passé au lit, avec vous....
Pardonnez-moi Jessie, mais j'ai finis par m'attacher aussi à vous....et c'est avec une certaine nostalgie que je vous ai laissé....

Pardonnez-moi cette fin si brutale....

Je vais aller fermer cette fichue porte qui claque et sortir mon chien....
Mais je ne fréquente pas les cimetières....
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Un livre particulièrement angoissant, on se met très vite à la place de Jessie qui se retrouve menottée à son lit avec son mari mort à ses pieds.
Tout le long du récit, on se demande comment et si elle va s'en sortir car avec Stephen King on ne peut présager de rien.
Quelques longueurs tout de même au milieu du récit mais l'action reprend un poil de la bête pour un finish captivant.

Encore une fois Stephen King m'a plus que charmé.
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Loin du fantastique qu'il lui arrive bien souvent d'employer, Stephen King livre ici un thriller captivant et réaliste qui fait froid dans le dos !

Le huis-clos est terrifiant, et à mille lieux d'être statique malgré ce que l'on peut en penser au premier abord. J'ai beaucoup aimé la progression de l'histoire, les tentatives de Jessie pour se sortir de son calvaire, la monté de l'angoisse et finalement, la résolution de tout ça.

Un très bon roman, immersif et absorbant.
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Stephen King est décidément un cas à part dans le monde de la littérature.
Il possède un talent indéniable mis au service d'une imagination débordante et sait conter une histoire comme personne.
Je ne connais aucun autre écrivain qui soit capable, comme il le fait dans « Jessie », de me scotcher, mâchoire inférieure pendante et souffle court, sur plus de vingt pages, simplement pour savoir si un personnage arrivera ou non à ... boire un banal verre d'eau.
Stephen King est donc capable du meilleur (« Dolores Claiborne », « La rédemption de Shawshank »). Malheureusement, il est obsédé par les démons, les monstres, et Docteur Stephen cède souvent la place à Mister King, lequel est beaucoup moins inspiré que son alter ego.
C'est un peu ce qui se passe dans « Jessie » (comme d'ailleurs dans « Coeurs perdus en Atlantide »).
Les trois premiers quarts du roman, écrits par Docteur Stephen, sont absolument ébouriffants. C'est un tour de force littéraire, vu que nous sommes dans un huis clos à un seul personnage (ou peu s'en faut) et que la situation de départ est somme toute plutôt banale. Mais on bascule vite dans l'angoisse, puis l'horreur et les pages tournent à la vitesse d'un ventilateur déréglé.
Lorsque le lecteur est bien lessivé et que sonne l'heure du dénouement, voilà Mister King qui arrive et se charge de finir le roman. Dommage. La fin se traîne, l'enthousiasme retombe.
Toutefois, « Jessie » ne constitue pas une vraie déception, cela reste globalement un bon roman, mais certainement pas le meilleur écrit par Stephen King.
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J'ai lu Jessie de Stephen King, un roman aux nombreux messages féministes qui collent parfaitement à ce mois qui comprend la journée internationale de la lutte pour les droits de la femme.
Je dois avouer que c'est un roman du King qui ne m'a jamais attirée car nous sommes ici dans un huis clos total et de manière générale, je ne suis pas fan de ce genre de roman.

Dans cet ouvrage, nous rencontrons Jessie et son époux Gerald dans leur maison de campagne isolée au bord d'un lac. Par curiosité, par amusement, par amour peut-être, Jessie s'est longtemps prêtée aux bizarreries sexuelles de Gerald. Puis un jour, elle s'est rebellée et débattue, avec une violence qu'elle ne soupçonnait pas. Et à présent la voilà nue, enchaînée à un lit, dans une maison perdue, loin de tout. Un cadavre à ses pieds...

Lors de cette lecture, j'ai vraiment ressenti des émotions extrêmes. Pendant les premiers 60%, je me suis ennuyée, je n'ai pas compris le personnage de Jessie que j'ai parfois trouvé agaçante et à qui j'en ai voulu d'avoir accepté ce jeu sexuel… Et puis Stephen King étant le Maître qu'il, il est parvenu à me retourner complètement le cerveau ! Jessie s'est transformée littéralement sous mes yeux et j'ai vraiment beaucoup aimé la dernière partie de ce huis clos, la fin tout particulièrement.

Les messages féministes qui sont distillés dans ce récit sont très forts, d'autant plus forts que c'est un roman écrit par un homme il y a 30 ans. Il est vraiment très fort le bougre !

Ça n'est pas un coup de coeur et il n'entrera pas dans mon top 10 des romans de l'auteur. Je préfère de très loin ces romans choral et cette lecture ne fait que le confirmer. C'est néanmoins une bonne lecture que je suis contente d'avoir faite. Je pense que je ne l'aurais pas lu si cela n'avait pas été dans le cadre de la LC sur le groupe Facebook Un King par mois ensemble.
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Je n'avais que jeté un coup d'oeil discret au résumé avant d'ouvrir ce roman, je n'avais donc aucune idée de ce qui allait arriver au personnage.

Jessie est une femme mariée depuis des années à Gérald, avocat, et tous deux décident de s'offrir une petite virée dans leur maison de vacances. L'homme décide d'attacher sa femme au lit, avec des menottes qu'il a décotées, pour un jeu sexuel... mais les choses tournent mal, et il décède. Elle reste seule, loin de tout, avec le cadavre de son mari à ses pieds, sans pouvoir se libérer... Paniquée, elle commence à se souvenir de choses et, la porte de la villa étant ouverte, tout le monde peut y entrer...

Un roman en huis clos où nous suivons la terreur de cette femme qui monte crescendo au fur et à mesure que les heures passent... au point d'entendre des voix dans sa tête, et d'avoir des souvenirs nauséabonds qui remontent à la surface, moments qu'elle avait soigneusement enfouis en elle. Durant près de 400 pages, j'ai partagé le calvaire de Jessie. J'imaginais sa terreur, sa soif, ses douleurs, et cette odeur de mort qu'elle sentait flotter sur elle...

Certains passages pouvaient parfois être longs, comme avec le verre d'eau, et cela ne plaira pas à tout le monde. Mais ces moments étaient selon moi indispensables, puisqu'ils amenaient une ambiance. Une angoisse, qui ne m'a pratiquement pas quittée durant ma lecture.

Lorsque le chien est entré en scène, commençant à se régaler du corps de Gérald, j'étais profondément dégoûtée, tant la scène était rendue réaliste par l'écriture du King.

Et, en tant que féministe convaincue, j'ai aimé la critique faite par l'auteur. La soumission sexuelle (mais pas que) que les hommes exigent bien trop souvent des femmes, sans que celles-ci en aient envie... et jusqu'où tout ceci peut mener.

J'ai ressenti de la colère et de la peine lorsqu'on comprend ce qui est arrivé à Jessie, et toutes ces situations semblent si injustes que je n'ai pas pu m'empêcher d'éprouver une vive sympathie pour ce personnage.

Quant à l'ambiance du livre, elle est si bien faite que j'en ai encore le ventre tordu de terreur... Une véritable réussite, ce livre !
Lien : http://anais-lemillefeuilles..
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Après la redécouverte de Danse macabre, j'ai voulu passer à un Stephen King plus long, faisant partie de ces livres qui m'avaient toujours intimidés. Cujo, le fléau ou... Jessie que je n'ai encore jamais lu, que je repoussais toujours un peu constamment. Mon choix s'est porté sur Jessie finalement et je ne l'ai pas regretté malgré un point de non-retour éprouvant que je n'avais encore jamais éprouvé avec le King jusqu'ici (ou alors je ne me rappelle plus des sensations ressenties sur d'autres pavés du maître).

Avec Jessie en 1992, le maître du suspense pose clairement un défi tant à lui-même qu'à ses lecteurs.

Difficile en effet de bâtir un huis clos sur une femme enchaînée pendant près de 90% du livre dans une chambre et que nos perceptions en restent au même état que Jessie Burlingham, dans l'univers que compose la chambre du petit chalet de vacances près du lac.

Et pourtant King réussit incroyablement son pari, ce qui n'était pas gagné d'avance on imagine. "Jessie" inaugure pour le King un abandon, disons, une envie de mettre un peu plus de côté le fantastique et l'épouvante pour traiter un peu plus de l'horreur psychologique, celle qui, parfois, sous couvert de banalité, vous fera bien plus peur que les tentacules et autres choses flasques et visqueuses. "Misery" en 1987 était déjà une porte ouverte entre les pavés que constituaient "ça" et "Les tommyknockers". Avec "Jessie" puis "Dolores Claiborne" qui revient aussi sur la fameuse éclipse totale de soleil des années 60, également ici élément central et pivot déterminant de l'intrigue, King fournit une sorte de diptyque de portraits de femmes dans un lieu (Le Maine, évidemment, sa chère région) où les souvenirs et les êtres vont se télescoper à un point étrange (Jessie enchaînée à la vision d'une vieille femme à un moment, vision qui fait référence à Dolores Claiborne) sans qu'il ne soit nécessaire de lire les deux romans (lesquels sont d'ailleurs deux histoires différentes).

Concrètement Jessie versera grandement dans l'introspection, King utilisant le système des voix intérieures pour expliquer la psychée de son héroïne afin de remonter à un évènement traumatique de son enfance d'où tout à découlé et de fait ensuite, tenter de remonter la pente et essayer de s'en sortir. Certes, King nous fait régulièrement part des pensées de ses personnages dans une bonne partie de ses romans mais on marche d'autant plus que Jessie risque de sombrer de plus en plus dans la folie avec le temps qui passe, le corps qui se tord de plus en plus de crampes, la faim et surtout la soif qui se font très vite jour... On navigue donc constamment dans la tête de Jessie (les souvenirs et le passé) tout en restant auprès de son corps (le présent de cette chambre devenue très insalubre).

Et ça marche, King nous tient en haleine avec toutes les ficelles, parce qu'il reste un immense conteur avant tout.

On reste donc accroché aux pages même si l'on sent un peu la longueur parfois et l'on se dit qu'elle va s'en sortir, que ça ne pourra pas être pire. Et pourtant, ça devient petit à petit de pire en pire. D'abord avec ce cadavre à ses pieds, celui de son mari, victime d'une crise cardiaque au moment où il ne fallait pas qui commence à pourrir lentement. Puis ce chien errant qui n'a pas mangé depuis plusieurs jours et qui commence à être attiré par l'odeur au point de s'enhardir de plus en plus. Sans compter les péripéties de Jessie pour obtenir de l'eau sur une des tables de chevet alentour du lit avec la maigre marge que lui laissent les menottes. Et puis dans la nuit, cette tête à peu près humaine aperçue dans un coin de la fenêtre... Un rôdeur ? Une hallucination ? Et quand la présence commence à se profiler dans l'entrebaillement de la porte et qu'on s'aperçoit qu'elle a des bras plus longs que la normale, et une malette en peau humaine avec dedans des bijoux et des ossements, serait-ce la mort en personne ?

Bon je n'en dis pas plus héhé. Malgré un sentiment un peu de longueur à l'approche de la fin c'est assez impressionnant. Excellent roman de King. Peut-être un de ses meilleurs mais il m'en reste encore une bonne poignée à lire, voire redécouvrir.
Lien : http://dvdtator.canalblog.co..
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résumé:

Depuis dix-sept ans, Jessie, épouse de l'avocat Gerald Burlingame, doit subir ses jeux sexuels pervers. Mais cette fois, c'en est trop. Enchaînée sur son lit par des menottes qui lui enserrent les poignets, Jessie refuse de se laisser faire et quand son mari tente de la violer, elle lui donne un coup qui l'envoie au tapis. Il ne s'en relèvera pas. Jessie reste à moitié inconsciente.


Parfois, elle entend des voix qui lui rappellent des épisodes de sa vie passée, comme pour la punir d'avoir tué son mari. Dans ses souvenirs, elle revoit Ruth, sa copine d'université, puis cette fameuse éclipse de juillet 1963 où son père s'était amusé avec elle à un drôle de jeu.

Lorsqu'elle aperçoit face à elle un étrange visiteur à la mallette en peau humaine, il ne semble pas cette fois sortir d'un songe. La panique la gagne. Jessie arrivera-t-elle à se libérer et à sauver sa vie ?

mon avis:

J'ai choisi ce livre car une amie m'en avait longuement parlé. Elle l'avait lu étant jeune et il l'avait marqué. Elle m'avait même certifié que je l'aimerais beaucoup. Je me suis donc lancer dans l'aventure.
nous faisons la connaissance de Jessie qui est pour ainsi dire dans une situation "inconfortable" pour le plus grand plaisir de Gérald, son avocat de mari, elle s'est laissée menotter aux montants du lit. Gerald qui est désormais inerte, victime d'une crise cardiaque. Et Jessie est coincée, seule, dans leur maison au bord du lac où il n'y a personne à l'horizon... Autant dire que leurs jeux coquins se sont transformée en cauchemar !
Attachée là où elle ne peut rien faire elle se voit confronter à son passé mais aussi à sa malheureuse situation actuelle!
Elle nous renvoie une image très négative de son mari non seulement leurs petits jeux sexuels ne l'amuse plus mais de plus elle ne le voit plus comme ce beau jeune homme donc elle est tombée amoureuse!
Elle en vient même à regretter que personne n'ait fait quelque chose à mariage pour l'empêcher d'épouser son mari!
Le fait que son mari soit à terre à ses pieds et le fait qu'elle l'ait frappé un peu trop fort car son mari n'avait pas voulu la détachée lorsqu'elle lui a dit :"stop, détache-moi! je ne veux plus jouer!"
Gérald ne l'entendant pas de cette oreille elle n'eut pour elle pas d'autre choix que du regretter violemment!
Viennent ensuite les voix dans sa tête et surtout ce lourd secret qui la ronge depuis l'âge de ses dix ans! Ce secret qu'elle pense honneur!
Vous l'aurez bien compris ce livre est un huis clos où Jessie doit faire face seul à sa situation actuelle et à ses souvenirs pour enfin pouvoirs s'échapper... ou pas!
en conclusion, j'ai aimé lire ce livre mais ça n'a pas été un coup de coeur pour moi! je le recommande à ceux qui aiment les huis clos psychologiques!
Lien : https://www.facebook.com/avi..
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