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3,45

sur 506 notes
Voici mon trio gagnant parmi ces 13 nouvelles dans le plus pur style de Stephen King :
- A la 1ère place "Un très petit coin", histoire d'enfermement- thème phare du maitre de l'horreur, de Jessy à Misery en passant par La tempête du siècle ou Dôme. Etre bloqué quelque part, seul avec sa propre folie, entouré de... enfin vous verrez bien, vous ne serez pas déçu.
- A la seconde place "La fille pain d'épice" où l'héroïne doit trouver en elle la force, la rage, un dépassement salvateur à de nombreux niveaux, mais quelle course, mes amis, quelle course !
- A la 3ème place "N", ou les toc des uns prennent la place des toc des autres, comme à chaque fois, on s'identifie, horrifié d'être nous même aussi proches de ceux décrits et bien sûr les bois, la nature hostile côté pile et vorace côté face.
Et toujours cette écriture incroyable, qui vous rentre dans le cerveau aussi facilement qu'une voix amie et n'en ressort plus.
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Je pense que je le redirai à chaque lecture d'un recueil de nouvelles, mais ce format n'est vraiment pas fait pour moi ! Et avec le recul, je crois que l'auteur dont j'ai lu le plus de nouvelles est Stephen King. Pourquoi ? Je ne sais pas. Il faut dire qu'il en a écrit pas mal !
Ce recueil était plutôt bien, je dois avouer. Les nouvelles, au nombre de treize, sont de genre et de longueur différents, et j'ai bien plus apprécié les nouvelles courtes, celles qui faisaient quelques pages, que les plus longues, pouvant aller jusqu'à soixante pages. Je ne vais pas tout détailler, seulement vous parler rapidement de trois de ces nouvelles.

D'abord, le rêve d'Harvey. Très classique : une femme dans sa cuisine fait la vaisselle et réfléchit à son mariage, quand son mari se met à parler du rêve qu'il a fait cette nuit. Peu à peu, on se rend compte que le rêve qu'il raconte a des similitudes avec la réalité. Et alors, rêve et réalité se confondent, et le lecteur ne sait plus trop quoi penser. C'est une nouvelle qui m'a plutôt mise mal à l'aise, surtout quand on connaît la nature du rêve en question...

Ensuite, une autre que j'évoque car bien que courte, elle était choquante. Marquante. Il s'agit de Fête de diplôme. On suit les pensées d'une jeune femme avec peu de moyens, petite amie d'un jeune homme riche. Ce dernier fête son diplôme récemment obtenu. On apprend que la famille du jeune homme n'apprécie pas beaucoup la relation qu'il a avec la jeune femme, cette dernière pense beaucoup à tout ça. Elle est sur le cours de tennis et avant de rejoindre la fête, jette un coup d'oeil sur la ville de New York, que l'on voit bien. Et là... le fameux choc. Et bim, fin de l'histoire. Cette nouvelle m'a littéralement sonnée !

Enfin, parlons de la nouvelle le chat d'enfer. Un vieil homme engage un tueur à gage pour le débarrasser d'un chat, affirmant que celui-ci avait déjà sciemment tué trois personnes. le tueur rigole d'abord, lui qui aime bien les chats, puis finit par accepter le contrat. Il emmène le chat, et sur la route, arriva ce qu'il arriva... J'ai beaucoup aimé cette nouvelle, qui m'a fait sourire malgré le sujet. En même temps, quand on fait intervenir des animaux !

Voilà un petit aperçu de ce que vous pourrez trouver ici. J'ai passé un moment sympa mais sans plus, et j'en ressors plus frustrée qu'autre chose, une frustration qui provient uniquement du format en question, non du contenu.
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J'ai toujours très apprécié les nouvelles de M. King. Je les ai presque toutes lues. Il y a parmi celles-ci, des histoires qui m'ont marquées tel que 1922.

Dans cette ouvrage, je n'ai ressenti aucune émotion, aucuns frisson, d'angoisse ou de choc. Elle m'ont même ennuyé pour la plus part.

Je vais prendre congé des nouvelles pour un petit bout de temps.
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Je ressors mitigée de l'écoute de ce recueil de nouvelles. Certes, on retrouve par moments "l'ancien" Stephen King (je pense aux thèmes accrocheurs, plus proches de ce qu'il nous offrait dans les années 80-90, notamment) mais le nouveau King est aussi par trop présent. le maître de l'horreur a en effet la détestable habitude de se "regarder écrire" et finit par s'embourber dans des descriptions inintéressantes et des digressions totalement superflues. Cette manie, si elle contribue à planter le décor, est la plupart du temps agaçante, surtout dans un recueil de nouvelles. Ces dernières sont censées aller droit au but, que diable!

J'ai néanmoins beaucoup apprécié certaines des histoires, qui seraient de petits bijoux si elles étaient "dégraissées" un bon coup. Je pense surtout à Willa, un Très petit coin et à N. Mention très bien au lecteur de la version audio dont la voix un peu bourrue rend les histoires vraiment agréables à écouter (même les moins bonnes, c'est dire!)
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Je découvre Stephen King sous forme de nouvelles, avec beaucoup de plaisir, car cela permet d'avoir différentes histoires et ambiances au cours du même livre.
Toujours un grand talent de conteur, des histoires toujours à la limite de la réalité, heureusement il suffit de refermer le livre pour que ça s'arrête. A moins d'y repenser avant d'aller se coucher ...

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⭐⭐⭐,5/5

Contente d'avoir enfin réussi à finir ce livre. Pour la petite histoire, suite à un énorme coup de coeur pour l'une des histoires, j'ai été en panne de lecture. Je n'arrivais pas à m'y remettre tout en sachant que l'histoire suivante ne m'avait pas trop trop plu ahah. Finalement, j'ai découvert d'autres histoires que j'ai beaucoup apprécié !

Le format de courtes nouvelles me correspond vraiment, il est vrai que certaines sont assez longues, mais varier les longueurs change un peu donc ce n'est pas monotone, de plus les sujets qui varient animent notre lecture.

Les expressions parfois marquantes, parfois très drôles me plaisent tellement… Merci King.
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Je viens de relire ce recueil,lu une première fois lors de sa parution en France, et dont il ne me restait à peu près aucun souvenir
Cette amnésie est tout à fait compréhensible, ce recueil ne contenant aucun texte inoubliable (pour rester gentil, c'est quand même le King!)
Cela dit, le livre reste lisible, malgré quelques textes vraiment sans intérêt ( le rêve d'Harvey, Fête de diplôme, la fille pain d'épice), mais est largement constitué de fonds de tiroir. King a dit un jour ,(à peu près) qu'il pourrait publier ses factures de blanchisserie et que le livre se vendrait, eh bien c'est à peu près ce qu'il a fait ici.
Sortent quand-même du lot Willa, Aire de repos, petit texte efficace, où l'on retrouve les rapports compliqués de Stephen King et de Richard Bachman, Vélo d'appart (on y retrouve une thématique que King a déjà employé, celle des "petits gars du sous-sol, mais comme métaphore de l'écriture, texte un peu trop long), Laissés pour compte (j'ai bien aimé la citation discrète de "sept ans de réflexion"), N et son thème un peu lovecraftien. Cependant comme on le voit, rien de très original, des redites, voire des emprunts.
Une réflexion personnelle : on sait qu'après son accident King a passé pas mal de temps en Floride ( Duma Key vient directement de là) et nous avons ici deux nouvelles floridiennes, La fille en pain d'épice et Un très petit coin. On peut en conclure que King n'aime guère ses voisins des Keys..
Mais c'est peut-être aussi une explication des défauts du recueil : sauf K, tous les textes sont étrangers au Maine, patrie charnelle de l'oeuvre de King.
Dieu merci, il y est retourné par la suite.
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Un recueil de nouvelles assez flippant comme la plupart des écrits de Stephen King. Treize nouvelles qui parlent de ce moment spécial de fin de journée : le crépuscule, l'annonciateur de la nuit et des terreurs qu'elle apporte avec elle même. Dans l'ensemble, c'était sympa comme lecture même si je pense qu'il y a meilleur dans les écrits du maître de l'horreur : Stephen King
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Selon moi, Stephen King a une immense qualité : ses récits ne sont pas forcément bien écrits, mais ils sont prenants et partent -presque- toujours d'une bonne idée. L'exploration dans le fantastique ou la réalité est souvent originale. Mais … pas tout le temps.

Ici, Stephen King semble avoir radicalement changé de mode d'écriture. de l'ensemble du recueil, très peu d'histoires sont véritablement du fantastique, la plupart se contentent d'être des récits réaliste avec une légère pointe de déjanté. Ne parlons pas de l'horreur qui n'est présente que dans un seul récit (par ailleurs l'un des plus réussis). Bref, un style curieux pour l'auteur. Et là, c'est le bide.

Pour être franc, le recueil est mauvais. Rien n'est franchement bien dedans, la plupart des histoires sont très dispensable, et je ne parle pas des idées qui sont pour la plupart inintéressante. On a même le droit à plusieurs histoires autour du 11 septembre qui pour le coup font carrément tache au milieu. L'incursion d'une histoire d'horreur relève le niveau et on remarque tout de suite que Stephen King à l'habitude de ce genre, il est nettement plus à l'aise et j'ai eu du mal à décrocher de cette nouvelle (que j'ai lu d'une traite). Mais la plupart des autres ... Rien de bien n'en est ressorti. J'ai même eu la sensation que le style en pâtissait. Mais là c'est peut-être une erreur de la part du traducteur, je ne sais pas. En tout cas je n'ai pas retrouvé le Stephen King que j'aime tellement.
J'ajouterai que dans le recueil que j'ai acheté subsiste une erreur d'impression qui fait que j'ai une nouvelle qui n'est pas fini, vingt pages ont été imprimées deux fois par erreur. Quand la lecture est déjà lente, c'est la goutte de trop.

Que retenir de ce recueil ? Que c'est un des moins bons de tout ceux que j'ai lu de l'auteur. Danse Macabre, Brume ou Différentes saisons valent largement plus la peine, on sent que l'auteur à changé de style d'écriture et ce n'est pas en mieux. L'horreur à disparu, le suspense aussi. Nous avons le droit à des récits plus intimistes, quelques-un même de société, et l'auteur n'est pas à l'aise avec. Je ne vous le recommande pas, même en tant que fan de Stephen King.
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500 pages pour 13 nouvelles, difficile de maintenir un suspense insoutenable ou la même émotion sur autant de récits, quel qu'en soit l'auteur.
Bon, OK, je suis presque en train de présenter mes excuses de ne pas toutes les avoir appréciées de la même façon.
J'avais commencé par le lire d'une traite, j'en ai été déçue et je l'ai laissé de côté. Puis, ne pouvant me résoudre à passer à côté d'un Stephen King, je me suis mise à le relire, mais une nouvelle de temps en temps, et j'y ai trouvé beaucoup plus de saveur.
C'est une approche tout à fait personnelle et je pense que chaque lecteur aura ses histoires favorites et d'autres qui l'auront laissé indifférent. Sur un CD, on aime rarement toutes les pistes du premier coup, n'est-ce pas. Ben là c'est pareil.
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