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3,8

sur 595 notes
Ça devait bien faire quelques années que je n'avais pas remis le nez dans un bouquin du King. Quoi de mieux qu'un bon recueil de nouvelles pour replonger dans son univers et réveiller mon appétit de lecture ?

Le bilan est plutôt bon. Les histoires sont certes inégales - on sent qu'elles ont été écrites à différentes étapes de sa vie - mais elles portent toutes sa patte. Certaines renouent avec son amour du gore et du fantastique complètement barré, quand d'autres se rapprochent de cet aspect psychologique très bien travaillé que j'ai notamment apprécié dans Histoire de Lisey ou La ligne verte. On passe un excellent moment. Et cerise sur le gâteau, on se retrouve souvent sur un vrai format de nouvelle avec tout ce que ça comporte, chose plutôt rare chez le King, habituellement grand amateur de novellas. Les nouvelles à rallonge, c'est quelque chose qui me déplaît. Ici, j'ai apprécié que la forme soit respectée.

Bien sûr, certains récits ont plus retenu mon attention que d'autres. Notamment Mile 81, le premier, digne de la "grande époque", qui m'a rappelé Roadmaster, Ça ou Désolation. Alors que La dune et Nécro explorent les pouvoirs de la psyché et brouillent les frontières de la réalité, Une Mort, Batman et Robin ont un accrochage et Sale Gosse évoquent au contraire la noirceur des âmes dans notre quotidien où l'absence de surnaturel est encore plus perturbante.

Certaines thématiques reviennent avec une régularité évidente. On sent les préoccupations de l'écrivain : la vieillesse, la folie, le passage du temps, l'enfance, la guerre, et le besoin de transmission.

L'explication de la genèse de chaque texte, c'est ce petit plus qui constitue au final un point fort. Il nous permet de nous immerger dans l'intimité de l'auteur et de mieux cerner ses préoccupations et ses lubies. J'adore sa manière de raconter au lecteur comment son cerveau fonctionne.

Mention spécial à Mister Yummy évoquant l'homosexualité et le sida avec beaucoup de sensibilité et une espèce de poésie sur la beauté et le désir qui m'a scotchée. Et bien sûr, on ne peut pas passer à côté du bonus Cookie Jar qui ravira les fans de la Tour sombre et des mondes parallèles.

Je ne vais parler de toutes. Chacune véhicule des émotions - terreur, surprise, nostalgie -, chacune nous interpelle, mais toutes ont quelque chose de spécial.

Bref, au moment de sa sortie, ce recueil était une vraie bonne surprise pour les fans du King qui devaient probablement patienter avant son prochain livre. Depuis, deux nouveaux sont sortis dont un co-écrit avec son fils que je vais sûrement me procurer rapidement. L'avantage avec Stephen King, c'est que, peu importe le format ou le thème, il a ce pouvoir à chaque fois de me faire aimer ce que je lis et d'adhérer à ses récits.
Lien : http://tranchesdelivres.blog..
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Un recueil de nouvelles pas génialissime(s) selon que tu accordes avec l'un ou avec l'autre. Pas de nouvelle qui m'ait scotché, ça se laisse lire et je ne doute pas que j'en aurai oublié les trois quarts d'ici à quelques mois.
Aucun risque de faire de “mauvais rêves”, l'horreur pointe aux abonnés absents et beaucoup de textes ne relèvent pas du fantastique. Certes, on peut se taper des cauchemars par le biais d'autres genres, mais quand tu vois le titre, la couv', le nom de l'auteur et les trois nouvelles mentionnées en quatrième, tu t'attends à du fantastiques et de l'épouvante.
Là où le recueil porte bien son titre, c'est au niveau du “bazar” : il n'y a aucune unité. Au mieux, quelques textes se relient autour du thème de la vieillesse et du rapport familial entre l'ancienne et la nouvelle génération. de fait, étant trop vieux ou pas assez, ils ne m'ont pas parlé. Idem les nouvelles qui gravitent autour de la picole. Mes années arrosées remontent à la fac, j'ai fait le tour de la question il y a un bail.


Les mauvais rêves de King se présentent comme des tranches d'histoires. Peu de nouvelles à chute, et c'est tant mieux, parce qu'on voit la fin arriver à chaque fois.
J'ai lu à peu près toutes les nouvelles de King, j'ai peut-être acquis un sixième sens, genre de connaissance intuitive de ses procédés d'écriture. Ou peut-être que certaines sont juste prévisibles à mort (La dune, Sale gosse, A la dure, Mister Yummy, liste non exhaustive). Toujours est-il qu'on ne va pas de surprise en surprise mais de “je m'en doutais” en “je le savais”.
Plusieurs nouvelles m'ont paru trop longues pour ce que c'est faire. Jimmy Barrage, vu mon amour du base-ball… Le développement de Mile 81 et sa voiture qui engloutit des gens est répétitif. Ça, pour manger, elle mange ! Avant de faire pshit pour cause de dénouement expédié en quatrième vitesse. Y avait-il besoin de remettre le couvert après Christine et Roadmaster ?… Sale gosse et Morale auraient pu tenir sur moitié moins de pages.
Dans la série “aurait pu”, Nécro contient les germes d'une réflexion sur le pouvoir mortel de l'écriture et sur la presse tabloïd qui s'emploie à détruire les gens… mais s'arrête en cours de route. Ur avait de quoi être un excellent récit à la fois sur les nouvelles habitudes de lecture (le numérique) et les univers parallèles. Elle se résume finalement à une pub pour Amazon et son Kindle. De la bonne SF transformée en mauvaise propagande.
A l'arrivée, c'est plein de bonnes idées, plein de potentiel, mais tu restes sur l'impression que rien n'est exploité à fond. Du “oui mais” en permanence. Le brouillon des mauvais rêves.


Surtout, ce qui m'a le plus gêné, c'est une impression de vide. Contes sans morale, récits sans thème ni idée maîtresse, historiettes “à la manière de” qui ne ressemblent ni à du King ni aux auteurs pastichés. Des histoires pour l'histoire, avec rien derrière, sur des sujets pas toujours passionnants (Jimmy Barrage, à moins d'être fan de base-ball…) ou déjà mille fois traités en mieux (le cas de conscience de Morale). J'ai passé ma lecture à me demander ce que chaque histoire essayait de me dire, sans obtenir de réponse la plupart du temps.
La palme revient à Premium Harmony, nouvelle qui ne parle de rien, ne raconte rien, ne présente aucun intérêt. Feux d'artifices imbibés est un texte un peu long mais plutôt rigolo, qui m'a plu… mais dont je cherche encore la finalité. Pas assez marrant pour que le rire se suffise à lui-même. Quant au propos… l'alcool fait faire des conneries ? la course aux armements est une rivalité débile qui ne peut que mal finir ? Merci de l'info, Steve, on ne savait pas.


Même les personnages témoignent d'un je-m'en-foutisme général. Qu'on n'ait pas tout un tas d'explications sur le pourquoi du comment, ça me va, je peux faire travailler mon imagination. C'est un peu l'idée du fantastique, du surnaturel et de l'irrationnel. Mais quand même ! Faut un minimum sur quoi s'appuyer, qui passe souvent par les interrogations des personnages auxquels s'identifie le lecteur. Ici, les personnages ne (se) posent jamais de questions. Des choses étranges arrivent. Ceux qui y sont confrontés font avec sans chercher plus loin. C'est comme ça pis ch'est toute.
Pourquoi le Sale gosse court après le narrateur ? le principal intéressé s'en cogne et botte en touche quand son avocat lui pose la question. D'où sort la boîte à gâteaux de Cookie Jar ? Mystère et tout le monde dans la nouvelle s'en bat les noix avec une raquette de jokari. Et les noms sortis de nulle part dans La dune ? Et les articles qui tuent dans Nécro ? Et la tête, alouette.
L'absence d'explication définitive ne me choque pas. L'absence d'intérêt des personnages sur ce qui leur arrive, si. Le pourquoi et le comment ne semblent jamais leur venir à l'esprit, ils ne cherchent pas à savoir, ne hasardent aucune hypothèse. Comme si ça n'avait aucune importance, comme si, faute d'avoir la réponse servie en même temps que le problème, les protagonistes étaient dispensés de chercher. Sauf que ce procédé ne crée ni mystère ni angoisse, juste du vide. Pour fonctionner, le mystère doit reposer sur l'absence de quelque chose, pas sur la présence de rien.


Les notices de l'auteur, à l'image des textes, apportent leur lot de géométrie variable, entre éclairages sur les sources d'inspiration, réflexions pertinentes sur l'écriture, anecdotes 3615 MaLife, radotages dispensables. En version longue et plus intéressante, je conseille Ecriture, Mémoires d'un métier.


Le talent de conteur du père King relève le recueil. Mais bon, quand on voit arriver la chute et que, dans le même temps, on ne voit pas où l'histoire veut en venir dans son propos, le pur exercice de style ne suffit pas pour contenter le lecteur. Enfin le lecteur en général, je ne sais pas, mais moi non, il m'en faut plus.
Le bon côté, c'est qu'on travaille son imagination, à réécrire dans sa tête chaque nouvelle pour qu'elle tienne un peu plus debout. Donc pas du temps perdu, même si on venait à la base chercher des récits aboutis.
Il n'y a vraiment que deux nouvelles à m'avoir emballé : Batman et Robin ont un accrochage (pas géniale niveau écriture, prévisible, mais résonance personnelle et subjective) et le tonnerre en été (du King à son meilleur niveau). Deux sur vingt-et-une… pas mon meilleur investissement.
Lien : https://unkapart.fr/le-bazar..
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Encore un ouvrage que j'ai dévoré rapidement.
J'ai tout particulièrement aimé la nouvelle sur la fin du monde. On y retrouve vraiment l'univers de Stephen.
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Cela faisait bien longtemps que je ne m'étais pas plongé dans un livre du King. Et je dois bien avouer que ce fut un plaisir de retrouver son style dans ces 21 nouvelles.

Comme souvent dans un recueil de nouvelles, il y en a quelques unes qui m'ont laissé de marbre. A contrario, d'autres étaient vraiment excellentes et j'aurai aimé qu'elles continuent. L'univers est parfois tellement complexe que cela pourrait donner lieu à l'écriture d'un roman complet, mais l'auteur préfère très clairement laisser notre imagination oeuvrer.

Sur quelques nouvelles, l'auteur s'est essayé sur d'autres styles d'écritures (à la manière d'un poème par exemple). Je ne suis pas réfractaire aux autres styles, mais ce sont les nouvelles où j'ai le moins accroché. Finalement, Stephen King est bien meilleur quand il fait du Stephen King.

A noter que les commentaires en amont des nouvelles apportent une réelle plus-value à mon sens. C'est toujours intéressant de savoir comment l'idée d'une telle histoire a pu germer dans le cerveau de l'auteur.

Un recueil de nouvelles agréable et divertissant. Un réel plaisir !
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Presque toutes ces nouvelles sont fascinantes et révèlent s'il le fallait le talent de Stephen King. Mes préférées : Mile 81 et sa voiture dévoreuse d'hommes et les plus réalistes Billy Barrage ou Nécro, mais le drôle et inattendu Feux d'artifice imbibés est brillant aussi !
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Pour le club de lecture de Stephen King sur Facebook, le choix, pour le mois de février, s'est porté sur le bazar des mauvais rêves puisqu'il est sorti au format poche ce même mois.
Ce pavé regroupe 20 nouvelles qui, à mon goût, sont d'inégales qualités. Ce que j'ai préféré se sont les quelques lignes avant chaque nouvelle où Stephen King s'adresse à son lecteur lui indiquant comment est venue l'idée de cette nouvelle.
Voici mes Flops et Tops :
2 flops : « Tommy » très court et inintéressant ; « Ce bus est une autre monde » : l'idée de départ est séduisante mais je n'ai pas aimé le final.
4 tops : « Ur » sur les liseuses et plus particulièrement la Kindle. J'ai adoré la vision de S. King. ; « Mile 81 » avec son histoire de voiture carnivore ; « La dune » car j'étais totalement à côté de la plaque pour le final ; « le tonnerre en été » car très bien écrite.
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En général, je ne suis pas très nouvelles. Je préfère les romans et les histoires plus développées. Mais là, ça faisait longtemps que je n'avais pas lu de King et j'ai retrouvé sa plume et ses idées farfelues et terrifiantes avec plaisir !

Globalement, j'ai plutôt bien aimé ses nouvelles. Mais j'ai encore plus aimé le petit texte qui précède chaque histoire et où Stephen King lui-même nous raconte une anecdote sur son élaboration, son écriture ou un morceau de sa vie. Ça rend le recueil plus vivant et bien plus agréable que d'enchaîner les nouvelles sans transition.

Voici celles que je retiendrai (mais j'en ai aimé d'autres aussi, environ les ¾ du recueil) : Miles 81 avec la voiture mangeuse d'hommes ; La dune avec la dune de sable qui prédit la mort des gens en inscrivant leur nom dans le sable ; Sale gosse avec un garçon immortel et d'une méchanceté crasse ; Ur avec des visites de mondes parallèles via une Kindle ; Herman Wouk est toujours en vie avec un faits divers d'accident de voiture et Nécro avec un homme qui peut tuer des gens en écrivant leur nécrologie.
Lien : https://www.loeildeluciole.c..
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J'adore le style d'écriture de Stephen King, et ses histoires toutes plus loufoques les unes que les autres me font rêver. Je viens de commencer le livre, et la première des nouvelles, "Mile 81", m'a non seulement plu mais aussi effrayé. Pour résumer, une étrange voiture a l'air abandonnée sur une aire d'autoroute fermée. Les différents personnages qui vont être piqués par la curiosité vont vite le regretter. le suspens est toujours présent, on ne sait jamais ce que vont faire chacun des personnages que l'on découvre au fur et à mesure. La fin n'est pas vraiment prévisible, du moins, je ne m'attendais pas à ça. Je conseille cette nouvelle pour les amateurs de grands frissons, mais cependant pas aux âmes assez sensibles. Cette nouvelle m'a réellement fait frissonner.
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On en parle de cette couverture absolument magnifique ? Elle nous invite à faire plusieurs voyages dans le macabre. Et ces voyages sont au nombre de 20. 20 descentes en enfer dans des histoires parfois fantastiques et parfois réalistes. le titre du roman porte très bien son nom. C'est comme dans n'importe quelle vie, tout le monde fait des cauchemars souvent incompréhensibles. Ce bouquin est en quelque sorte cette image. On mets dans un bol tous nos mauvais rêves avec un titre, on en tire un papier au hasard dans tout ce bazar et on raconte avec nos souvenirs ce qu'il en est. Voilà comment le résumé.

Ce que j'adore chez Stephen King et j'aimerai tellement avoir ça chez chaque écrivains c'est qu'il écrit tout le temps des introductions en début ou à la fin de ses histoires et là il ne loupe pas encore. Il raconte avant chacune de ses nouvelles comment son idée a germée dans son esprit si imaginatif et craintif. On peut apprendre pas mal de détails croustillants de sa vie.

Les thèmes de ces 20 nouvelles, certaines plutôt courtes et d'autres longues sont variés. Il y en a pour tous les goûts. Sans trop vous faire de spoilers, je vais vous mettre quelques-unes de mes préférées. Toutes ne se valent pas. Mais j'ai un problème pour les fins d'au moins 3/4 des nouvelles.

La première est celle qui est un gros clin d'oeil à son oeuvre Christine. C'est une voiture mangeurs d'humains. Classique mais efficace.

La deuxième, et c'est la seule des nouvelles qui n'est pas entièrement inédite est « Sale gosse », publiée d'abord en numérique plusieurs années auparavant et la voilà enfin sur papier ! C'est l'une des plus intéressantes.

La troisième est « Une mort ». Où comment toute une communauté veut la pendaison d'un type qui est accusé d'avoir tuer un enfant. Toutes les preuves sont contre lui mais depuis le début il nie les accusations. Une fin qui peut être attendue mais elle est forte.

La quatrième est sur un Kindle qui ouvre des portes infinies dans les dates du futur mais ça peut être un danger mortel si on change l'actualité. Une longue nouvelle de près de 80 pages et bien que je ne veux pas d'un appareil Kindle, j'avoue que si ça pouvait être vrai cette histoire j'en achèterai un le plus vite possible.

La cinquième est une histoire de celui qui veut avoir la plus grosse entre des pauvres Yankees, une mère et son fils et en face du fleuve de chez eux, leurs voisins riches au possible avec une demeure gigantesque. Chaque années lors du 4 juillet, les deux voisins font le concours du plus grand artifice. Contre toute attente, ce sont les riches qui remporte. Sauf la dernière année où ça se passe très mal. C'est la nouvelle qui ne comporte aucun élément fantastique ou d'horreur et pourtant c'est l'une de mes favorites où page par page je voulais connaître la suite.

La sixième est celle de la vie après une explosion nucléaire. Ça ressemble beaucoup à « Je suis une légende » de Richard Matheson. Classique, court mais triste.

Voilà un petit florilège de ce que j'ai aimé lire. Il y en a encore d'autres mais vous avez maintenant une bonne idée de ce que propose ce recueil. Comme je l'ai écrit plus haut, les textes sont très bons et moins bons pour d'autres mais la plupart du temps j'étais refroidi par leurs fin. Je me disais à chaque fois « tout ça pour...ça ? ». Ce sont souvent des fins bien trop ouvertes. Après je n'ai pas l'habitude de lire des nouvelles, c'est peut-être pour cette raison. Mon premier recueil était Brume, aussi du maître King il y a plusieurs années et je n'ai pas terminé le roman. Aujourd'hui j'ai pu finir ce petit pavé de 600 pages et j'ai tout de même adoré ces lectures qui nous font partir dans des histoires qui ne se ressemblent pas. Elles ont chacune leurs propres identités. Puis l'avantage d'un recueil c'est que si une histoire vous plait pas trop, il reste de quoi lire.

Ce fut une bien bonne expérience et je compte bien lire d'autres recueil de Stephen King et de pourquoi pas me relire "Brume" !


Lien : https://litteratureenfolie.b..
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lecture 67/2017
le bazar des mauvais rêves
J'ai toujours eu une relation particulière avec les romans de Stephen King, je l'ai découvert, adolescente, et ses longues scènes descriptives me plaisaient énormément. Plus tard, je l'ai abandonné justement à cause de ses longues descriptions, qui me gênaient finalement.
J'ai repris un Stephen King pour le challenge Les livrovores et finalement, il m'a beaucoup plu… C'est tout naturellement que, à la bibliothèque, ma main a été tentée d'en prendre un nouveau sur une étagère. Et je ne suis pas déçue… Des nouvelles, c'est toujours plaisant et j'avoue qu'à deux exceptions près, ces 20 nouvelles étaient addictives. Je n'ai pas ressenti les 600 pages et je suis bien triste de refermer mon livre.
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