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4,17

sur 2082 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le fléau a été pour moi une expérience paradoxale ..
J'ai été subjugué par cet univers qui sombre en un rien de temps dans une sorte de néant de civilisation aussi enfuie que disparue .
Le style fluide et cette peinture de ce monde est détaillée au point que je dirais qu'elle est ciselée , avec une caractérisation du tonnerre .
Le lecteur mesure l'étendue du désastre à chaque seconde , par le compte rendu de l'expérience des personnages qu'il croise et par leurs observations , souvent perplexes et désorientées aussi , et principalement .
Le texte est méticuleux et j'ai beaucoup apprécié cette ballade dans ce monde angoissant parce que vide .
Un vide qui interpelle de façons passionnantes des personnages de tous âges , de tous horizons sociaux-culturels , des gens aux problématiques psychologiques plus ou moins saines et plus ou moins opportunistes ainsi que plus ou moins adaptées à la nouvelle situation post-apocalyptique.
Cependant dès ce premier tome , et plutôt à la fin , il y a comme sorte de rendez-vous ultime qui se dessine , un topo du genre , Gog et Magog .
J'ai trouvé un peu trop irrationnel pour moi cet aspect du texte , et trop pour poursuivre le cycle au-delà de ce premier tome .
Dans le premier tome cependant , cela reste comme une sourde inquiétude qui se précise progressivement et qui n'est pas désagréable .
C'est un excellent roman post-apocalyptique à mon humble avis , et cela que l'on poursuive ou non la lecture , après ce premier tome .
Ce monde et ces personnages sont en effet tellement réels !
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Une erreur s'est produite dans un laboratoire ultrasecret, et la personne chargée de la surveillance prend la fuite avec sa famille, et le virus va se répandre sur la planète, en l'occurrence les USA, du moins pour le premier tome, déclenchant la panique, les morts à la pelle.
On fait la connaissance, peu à peu, des personnages et au début on ne sait pas trop à qui s'attacher car on se demande s'ils vont survivre ou non. On découvre aisni, Larry Underwood, un jeune chanteur qui vient de sortir son premier disque, Franny jeune femme enceinte, qui va voir disparaître des proches en faisant preuve de beaucoup de courage et de tendresse et qui décide d'écrire ce qui arrive au jour le jour dans son journal, Harrold, personnage bizarre dont on se méfie assez vite, Stu avec ses allures de cow-boy, qui sert de cobaye car il a été en contact avec le virus et en a guéri, Lucy et d'autres que l'on rencontre au fur et à mesure du périple.
Pour survivre, ils mettent leurs expériences et leurs connaissances en commun, ils partagent la nourriture qu'ils trouvent dans les supermarchés désertés, « empruntent des motos ou des vélos de la même manière et la plupart fait un cauchemar récurent où un personnage inquiétant les terrorise et ils comprennent que leur salut se trouve en la personne de mère Abigaël, âgée de 108 ans qui va les guider.
On comprend assez vite qu'il va y avoir parmi les survivants de cette apocalypse les bons et les mauvais…

Ce que j'en pense :

Cette édition du roman a été remaniée et Stephen King a consacré une large part à la description de la personnalité de chacun des protagonistes ; ce qui explique les 764 pages de ce tome 1. Ceci le rend très intéressant mais parfois, c'est long, on aimerait que cela avance plus vite.
Les scènes décrivant les morts atroces dues à cette maladie regorgent de détails, (cf. la scène du tunnel) de même que la violence avec laquelle certains personnages s'entretuent pour survivre, laissant apparaître leurs défauts profonds, leurs lâchetés, tous les moyens sont bons pour survivre et asservir l'autre pour certaines personnes. On se demande pourquoi certains survivent et d'autres pas, et sous entendu, pour ceux qui survivent, ont-ils une mission ?
Pour les vrais héros, ceux qui mettent tout en commun pour arriver jusqu'à mère Abigaël, ils ont aussi leurs forces et leurs faiblesses et on s'attache assez vite à la plupart, quand on a compris qu'ils allaient survivre et on se sent happé vraiment par l'histoire au bout de 200 pages environ.
Le mensonge d'état est bien mis en scène aussi : « de plus, certains groupes extrémistes ont fait courir le bruit que cette grippe était causée par un virus et que le virus aurait été mis au point par le gouvernement à des fins militaires. Américains, Américaines, il s'agit d'un mensonge inqualifiable. Notre pays a signé de bonne foi les accords de Genève sur les gaz de combat et sur la guerre bactériologique. Nous n'avons jamais… »
Malgré les longueurs, j'ai eu envie de continuer mais à petites doses, j'ai lu d'autres romans en même temps car je me sentais dans une atmosphère angoissante, et étant d'un naturel pessimiste vis à vis des humains et de la façon dont ils peuvent agir dans ce genre de circonstances, je redoutais des pensées du genre : « je savais bien qu'ils sont tous tarés, égocentriques, incapables du moindre geste altruiste… », car on n'échappe pas au cliché du délinquant raciste et imbécile, qui malgré la catastrophe, pense que tout est toujours de la faute des autres et tue pour le plaisir de tuer ou d'avoir le dernier mot.
J'ai très envie de continuer car je pense que si l'auteur a pris tant de peine à nous décrire la vie et la psychologie des personnages (il a, pour cela, étoffé ce roman, rajoutant beaucoup de pages) c'est pour qu'on comprenne mieux ce qui va se passer dans le tome 2.
Bonne expérience malgré les longueurs pour mon 3e roman de Stephen King

Note : 8/10

Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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Pandémie mondiale et confinement obligent : Je me lance dans la lecture du fléau. Sacré pavé, heureusement découpé en 3 tomes. Ca parait moins long.
Je suis juste estomaquée par les ressemblances entre ce roman et la situation actuelle. Certes, la grippe du roman est beaucoup plus mortelle que notre Covid-19, mais c'est vraiment la seule différence.
Tellement que par moments, je ressentais un malaise à lire ces lignes. Vraiment troublant.
Petite précision : je le lis dans sa version intégrale. Et effectivement, cela peut paraître long parfois. Mais finalement, ce 1er tome a été vite avalé. Je fais une petite pause et je me lance vite dans la suite.
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Quand on pense que tout ça est arrivé à cause d'une défaillance du système de fermeture des portes lorsque les chiffres de l'horloge sont passé au rouge…

Ce qui a permis à une personne de s'enfuir, d'embarquer sa famille pour fuir et d'aller mourir dans un petit bled, contaminant les personnes présentes à la pompe d'essence qui eux-mêmes ont contaminés leur famille, amis, la ville, les villes, le pays, le monde…

Le King a toujours eu l'art et la manière de mettre en place ses histoires, passant de moments hautement angoissant à d'autres plus calmes, lorsqu'il met en place ses autres personnages, allant en profondeur dans leurs portraits, ce qui nous donne l'impression de les connaître depuis longtemps.

Vous êtes calmement en train de lire un passage où un homme renseigne une famille sur le chemin à suivre ? Banal à mourir… Pas chez le King, parce qu'à l'aide de ce simple geste banal, cette amabilité faite à une autre personne, vous infectez la petite famille, qui elle-même infectera d'autres personnes, qui elles-mêmes… Moins banal à lire, subitement, non ?

On se doute que les personnages dont le King prend le temps de nous dresser les portraits seront ceux qui seront les protagonistes les plus importants de son histoire, même si, dans le lot, certains trouveront la mort avec le virus de la super grippe. Zut, faut pas trop vite s'y attacher…

Provenant de tous les horizons, ses personnages seront attachants, sympathiques ou des salopards, car avec le King, rien n'est jamais tout noir ou tout blanc. D'ailleurs, on remarque que les êtres humains retournent vite à un état primaire et que devant l'ampleur des morts, on passe vite à des horreurs sans nom comme de tirer sur des gens…

Le roman du King, lu en version intégrale sur deux tomes, est addictif, anxiogène, nous fait par des montagnes russes d'émotions allant des angoissantes au plus calmes, nous laissant reprendre notre souffle pour mieux nous donner quelques sueurs froides ensuite.

Prenant son temps, le King nous délivre son récit sans sauter des étapes, sans zapper des étapes sur ses différents personnages et cela donne une première partie addictive, mettant aussi en place un élément fantastique avec deux personnages étranges, un homme en noir et une vieille dame, mère Abigaël…

Dans sa version intégrale, il y a plus de pages que dans la version « light », mais au moins, on a le récit complet, sans coupes, et si parfois, on sent un peu les longueurs, cette sensation passe très vite car la plume du King fait mouche car il sait toujours aller dans la psyché des personnages, des Hommes et nous en donner sa part d'ombre, de ténèbres, mais aussi la plus belle.

Le Fléau est sans doute un roman anxiogène dès le départ, mais le lire en période de Covid-19, même s'il ce virus est moins meurtrier que celui du roman (heureusement, nom de dieu !), c'est encore plus angoissant.

Je vais m'accorder un peu de temps avant d'entamer le tome 2 et aller me lire un Oui-Oui ou Tchoupi…

Ah zut, je n'ai que ceux où ils vont faire leurs courses tranquillement, font du sport d'équipe, vont visiter leur famille, se font des bisous… Bon, alors je vais lire Les Aristochats…

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'avais prévu de le lire en début d'année, vu que je venais de l'acheter. Et puis… ,notre fléau à nous est arrivé, et connaissant le King, j'ai trouvé plus sage de remettre ma lecture à plus tard.
J'ai attendu que les choses se calment (pour nous, en France) pour l'ouvrir enfin, avec cette connaissance nouvelle et plus concrète des épidémies. Heureusement, celle que nous venons de connaitre n'a rien à voir avec ce qui surgit un 13 juin au coeur des Etats-Unis et qui décimera tout le pays en moins d'un mois!
Stephen King, lui-même, en personne, s'adresse à nous futur lecteur dans une préface qui mérite d'exister. J'aimerais bien qu'il nous parle plus souvent ainsi! J'apprends ainsi que ce que je tiens dans la main est une version beaucoup plus proche de l'originale que celle publiée des années avant et dans laquelle il avait été demandé à l'auteur de tronquer le texte de pas moins de quatre cents pages.
Un 13 juin donc, de la fin du premier millénaire après JC, en pleine nuit, l'alarme d'un laboratoire militaire américain se met en marche. Alerte rouge. Les portes se ferment aussitôt. Un virus vient d'être créé et pas de bol, il est non seulement très hautement contagieux et mortel mais surtout, il vient de s'échapper de son bocal ou tube à essai ou je ne sais quoi encore. Geste maladroit? Moment d'inadvertance? Si ce n'avait été que ça! Mais le portail du centre militaire, au lieu de fermer lui aussi immédiatement, met quelques minutes à le faire, quatre minutes à peine mais qui suffiront à Charlie Campion de s'enfuir, récupérer femme et enfant et partir le plus loin et le plus vite possible de la centrale. Bien sûr, il porte le virus.
Campion: porteur zéro. Alors on ne sait pas ce qu'il en est du reste du monde - qui n'existe pas vraiment ici, les Etats-Unis se suffisant à eux-mêmes, un peu réducteur tout ça - mais en tout cas le virus se propage à toute vitesse et tue à tour de bras.
On suit ainsi, dans ce premier tome, la grande vague de l'hécatombe et l'embryon de nouvelle vie des quelques survivants. On entre bien sûr dans le macabre, mais la narration garde ce ton ironique et distancié qui me plait beaucoup chez King et qui permet d'avaler des situations… pas vraiment digestes.
Ce qui m'intéressait, c'était justement le développement de cette épidémie et ce premier tome m'a satisfaite sur ce point-là. le virage fantastique qui s'annonce m'intrigue pourtant quand même et il va donc falloir que je me procure les tomes suivants. A suivre!
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Quel pavé! Dire qu'il m'en reste un de la même épaisseur à lire! C'est bien le seul bémol que je peux trouver à ce livre. On sent les pages par endroit qui se tourne. On a demandé à Stephen King de ratiboiser son roman à sa première sortie. Ayant lu la première partie du texte intégral, je peux comprendre qu'on puisse se passer de certains passages. Même si comme le dit l'auteur lui-même, si ces passages ne sont pas primordiaux pour l'action, ils le sont pour autant pour les personnages, le réalisme de l'histoire.
Le reste va du très plaisant au vraiment très flippant! L'idée de base est intéressante : une maladie qui sévit avec un taux de contagion de 99,4 %. J'ai d'ailleurs eu des sueurs froides quand je me surprenais à tousser durant ma lecture... Roman-choral, on arrive très vite à saisir qui s'en sort et qui ne s'en sort pas, pour la simple raison que Stephen King accorde à certains personnages des pages entières sur sa psychologie, son vécu, sans trop de rapport avec la maladie et qu'au chapitre suivant, il décide de montrer la propagation de la maladie. L'écriture a donc un rythme différent, mais plaisant.
Plus que le rythme, c'est le réalisme de Stephen King qui me fait si l'apprécier. On vit la propagation de la maladie et la réaction des différents personnages survivants. On suit leurs périples, leurs doutes, leurs réactions. Les survivants sont loin d'être des superman, ce qui est d'autant plus réaliste puisque la maladie ne va pas épargner que les plus nobles d'esprit. Quant à certaines scènes, tu compatis comme tu frémis. .
A la croisée des chemins entre le post-apocalyptique, le roman d'anticipation et le fantastique, ce roman écrit dans les années 70 imagine une société dramatiquement réaliste sur bien des points... On reste tout de même sur beaucoup de mystères, notamment concernant l'Homme noir...
La fin de ce tome 1 nous laisse sur un malaise, concernant le personnage d'Harold. Et j'ai l'impression que le Livre de poche a divisé les tomes plus en fonction du nombre de pages qu'en fonction du sens. Je ne serai pas étonnée que le tome 2 commence tout de suite, là où ça s'est arrêté. Par conséquent, si je ne vais pas lire le tome 2 dans la foulée, je vais très certainement le lire prochainement.

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Voici un livre vraiment spécial. (critique pour les deux tomes)

Plusieurs semaines après sa lecture je reste vraiment marqué par cet ouvrage de 1500 pages.

Cette histoire est vraiment très forte, on apprend à connaitre ces très nombreux personnages de manière extrêmement détaillée et c'est probablement ce qui rend cette lecture du premier tome un peu longue et difficile.

Trop de personnages, trop de détails, ça traîne en longueur... mais ne serait-ce pas justement ce point qui le rend finalement si spécial et si prenant une fois que l'histoire se développe, après la rencontre de mère Abigaël ?

Puis, dès le deuxième Tome, lorsque l'auteur passe d'une personnage à l'autre, on a l'impression de connaitre en détail la personnalité de chacun jusqu'à imaginer clairement la réaction qu'ils auront aux événements en cours.

Après le 1er tome je n'étais pas vraiment pressé de passer à la suite. Je manquais de courage pour m'embarquer à nouveau dans ce très long fleuve de lecture mais finalement ce 2ème tome a été avalé à grande vitesse car l'histoire avance, s'emballe, se déchaîne jusqu'au 300 dernières pages ou le suspens et la tension est à son comble.

Une fois terminé, oublié les longueurs du début, on ne peu que constater s'être plongé dans une aventure incroyable et inoubliable.
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L'histoire pourrait se passer maintenant. Dans un laboratoire ultra-secret de l'armée américaine, un virus mortel s'échappe à cause d'une mauvaise manipulation. Très vite la maladie mortelle se répend à travers tout le continent, faisant des millions de victimes. Les quelques survivants se regroupent, et racontent. le fléau ressemble étrangement à la fièvre d'Ebola qui elle se répend d'un continent à l'autre à l'heure où j'écris ma critique.
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Voici un livre vraiment spécial. (critique pour les deux tomes)

Plusieurs semaines après sa lecture je reste vraiment marqué par cet ouvrage de 1500 pages.

Cette histoire est vraiment très forte, on apprend à connaitre ces très nombreux personnages de manière extrêmement détaillée et c'est probablement ce qui rend cette lecture du premier tome un peu longue et difficile.

Trop de personnages, trop de détails, ça traîne en longueur... mais ne serait-ce pas justement ce point qui le rend finalement si spécial et si prenant une fois que l'histoire se développe, après la rencontre de mère Abigaël ?

Puis, dès le deuxième Tome, lorsque l'auteur passe d'un personnage à l'autre, on a l'impression de connaitre en détail la personnalité de chacun jusqu'à imaginer clairement la réaction qu'ils auront aux événements en cours.

Après le 1er tome j'étais pas vraiment pressé de passer à la suite. Je manquais de courage pour m'embarquer à nouveau dans ce très long fleuve de lecture mais finalement ce 2ème tome a été avalé à grande vitesse car l'histoire avance, s'emballe, se déchaîne jusqu'au 300 dernières pages ou le suspens et la tension est à son comble.

Une fois terminé, oublié les longueurs du début, on ne peu que constater s'être plongé dans une aventure incroyable et inoubliable.

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J'avais déjà lu ce livre il y a deux ou trois ans mais je tenais à le relire. En effet, je l'avais dévoré la première fois et dans ma précipitation je n'avais pas fait attention à tout.

Ce livre est fabuleux. C'est sans doute celui que je préfère de Stephen King. Comme toujours King mélange une description précise des USA, des personnages fouillés, une dimension fantastique et il faut bien l'avouer, le mélange est réussi.
Certaines scènes sont mythiques pour moi, le tunnel avec Larry, la dispute avec la mère de Fran et d'autres encore qu'il faut mieux ne pas citer pour ne rien dévoiler de l'intrigue.

La fin du premier tome est peut-être un peu plus molle que le reste, on attend un peu qu'une partie de l'intrigue se finisse pour passer à une autre étape.

Et pour ne pas changer des habitudes, Stephen King parvient très facilement à nous horrifier, dégoûter et même révolter. Certaines pages sont juste assez ecoeurantes pour rester formidables. Il n'y a jamais de surenchère et après chaque passage morbide, on a le droit à un passage justificateur du style "Je vous l'avais bien dit ...". L'auteur joue avec nos nerfs et on aime ça !

Pour résumer, un livre à lire absolument puisqu'il contient tout ce qu'on aime de l'auteur, du plus horrible au plus formidable.
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