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3,51

sur 701 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je trouve intéressant que King continue à se pencher sur le féminisme qu'il le fasse seul ou accompagné. Il a des réflexions pertinentes sur la question et j'imagine que les femmes de son entourage n'y sont pas pour rien, d'ailleurs je ne peux compter le nombre de fois ou j'ai insulté quelqu'un au cours de l'écoute tellement certaines situations et/ou réactions m'exaspéraient et faisaient écho à des situations bien réelles vécues ou non.

Pourtant, et ça me fait mal de l'avouer, je déplore un sentiment de déjà-vu puisque le schéma narratif Kingien se ressemble plus ou moins d'un roman à l'autre, ce qui provoque mon détachement affectif. Je ne trouve pas que c'est un mauvais roman pour autant mais il aurait pu être mieux si King avait renouvelé sa manière de procéder.

Il ne fera pas partie de mes tops mais il ne fera pas non plus partie de mes flops de la bibliographie de King et ce n'est déjà pas si mal.
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Je viens de finir sleeping beauties, la BD adaptée du livre.
C'est très fantasque ! On s'y perd un peu et n'ayant pas lu le roman, je pense qu'il me manque des éléments pour tout comprendre !
On sent que le sujet a été creusé mais dans la BD tout n'est abordé qu'en surface du coup on ne sait pas trop quoi en penser.
L'histoire reste intrigante et les dessins plutôt jolis, ça se lit rapidement et je conseille tout de même de lire la BD. Espérons que le tome 2 lève toutes nos interrogations !
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Une autre brique de Stephen King. Ce coup-ci en collaboration avec son fils Owen. J'avoue que ce roman se distingue un peu des autres de Stephen King. Pas nécessairement d'horreur... du moins, pas l'horreur habituelle avec qui l'auteur fraie d'ordinaire.

Le concept: à l'échelle planétaire les femmes s'endorment dans des cocons sans se réveiller. En l'espace de quelques jours on assiste à un monde sans femmes. On a beau vouloir les réveiller: impossible!

À Dooling, dans les Appalaches, surgit une femme très particulière. Evie! Mais est-ce vraiment une femme? La question se pose. Elle possède des pouvoirs surnaturels. Elle s'arrange pour se faire arrêter et emprisonner dans la prison pour femmes du comté. Elle semble vouloir dire qu'elle peut réveiller les femmes. Mais pour cela elle doit survivre! Elle prévoit que bien des hommes pourraient vouloir la tuer si cela peut donner une chance de réveiller les femmes.

Deux groupes se forment: l'un à la prison dirigé par le psychiatre de l'établissement. L'autre composé surtout des policiers de la ville. Un affrontement sanglant est à prévoir! C'est d'ailleurs l'aspect horrifique du roman.

L'aspect plus songé est ce qui est arrivé aux femmes. Elles ont abouti dans un monde miroir du nôtre après s'être endormies. Un monde sans homme. La question qui se pose: vont-elles vouloir rester dans ce monde?
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Lorsque l'on m'a proposé de lire ce roman de Stephen King, je n'ai pas su résister à la tentation tant cet auteur a su bercer mon enfance et le fait encore très bien !



Il est question de l'extinction des femmes dans ce livre. En effet, un mal touche toutes les femmes, partout dans le monde, elles s'endorment mais ne se réveillent plus du tout. Elles ne sont pas mortes non, elles sont endormies comme Blanche-Neige sauf que ces femmes sont entourées comme dans une chrysalide avec un papillon. le hic, c'est qu'on ne peut les délivrer, elles ne peuvent se réveiller car cela pourrait être dangereux pour elles. La presse a rapidement donné un nom à cette épidémie "Aurora".



Il semblerait que toutes les femmes ne soient pas encore touchées car Evie peut dormir, se réveiller, se rendormir comme bon lui semble. Pourquoi n'est-elle pas touchée ? Cette jeune femme a des particularités bien plus singulières que le fait qu'elle puisse encore vivre normalement ; elle a la capacité de parler aux animaux, et oui, rien que ça ! Plusieurs questions fusent et l'on se demande quel est l'avenir de l'humanité, comment les hommes vont-ils faire pour survivre ?



Cette histoire apocalyptique m'a fait pensé à "Fléau" que j'ai lu il y a plus de vingt ans. Ce livre est composé de personnages nombreux et très variés comme des animaux qui vont prendre une place intéressante au coeur du récit.



J'étais très emballée de découvrir cette production père/fils et me demandais ce que cette collaboration allait donner. Malheureusement pour moi, tout n'est pas tout rose, il y a des longueurs et des maladresses qui font mal. Je me suis demandée comment Stephen King a pu laisser passer certains passages qui m'on étonné par moment mais j'ai poursuivi ma lecture parce que je voulais savoir jusqu'où le maître de l'épouvante allait nous emmener avec son fils. Malgré les longueurs, l'histoire tient la route et l'intrigue est bien menée. Les personnages dans l'ensemble sont très bien travaillés, leur passé, leur psychologie, toussa toussa n'a pas été laissé au hasard alors que pour d'autres, on est tombé dans la caricature pour mon plus grand malheur.



Ce roman, un brin féministe, nous montre les principes féminins et masculins sans nous donner de réels arguments allant dans un sens ou dans l'autre. La fin de ce roman se veut pleine d'espoir même si elle n'est pas parfaite. Je pense que le point de vue des auteurs concernant les femmes auraient pu être abordé différemment mais surtout avec plus de profondeur car tout est effleuré du bout des doigts finalement...



Ne craignez pas ce beau pavé car les pages défilent à vive allure tant la plume des auteurs est fluide et agréable à lire. Stephen King et Owen savent où ils emmènent ses lecteurs, et nous, nous les suivons aveuglément jusqu'au final qui ne m'a pas totalement conquise. Les auteurs prennent le temps de poser les fondations de leur histoire, de faire camper les personnages, de nous faire baigner dans le jus de cette macabre machination.



Tout ça pour vous dire que si vous souhaitez vous faire peur à l'approche d'Halloween, ce livre pourrait vous plaire assurément !
Lien : https://leslecturesdeladiabl..
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un peu long, beaucoup de personnage. Parfois on s'y perd
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Compliqué à évaluer. Après la lecture des différents commentaires, je comptais faire l'impasse, puis finalement je me suis laissée tentée.
La lecture est parfois longue et laborieuse. Il y a beaucoup (trop) de personnages et cela rend la lecture compliquée. Malgré tout, je me suis laissée convaincre. Certains personnages m'ont paru attachants. J'ai trouvé que les pages défilaient assez vite, mais néanmoins, le fond de l'histoire me paraît vu et revu. Un monde sans femme ou un monde parallèle sans homme. Une entité indéterminée qui ouvre une passerelle et laisse le choix aux deux mondes de continuer à communiquer ou de finir définitivement scindés. On devine la fin bien trop vite.
Pour les inconditionnels, je reste attachée aux premiers Stephen KING, néanmoins, je trouve celui-ci plus proche de son univers que les dernières productions.
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Dans l'ensemble, j'ai passé un bon moment avec Sleeping beauties : une histoire originale et vite addictive, des personnes vraiment bien développés, qui ont tous un background qui permet de comprendre leurs actions et de sympathiser même quand ce n'est pas gagné au premier abord. le style de Stephen King est bien présent, je ne sais pas dans quel mesure celui d'Owen King l'est aussi, n'ayant lu aucun de ses écrits.

On se retrouve donc dans une petite ville, avec des tas d'habitants dont on va pouvoir entrer dans l'intimité, et dont les histoires vont entrer en collision les unes avec les autres. Un décor à la Stephen King, quoi. Où les personnages se croisent, s'allient ou s'antagonisent, où les petites histoires de chacun se recoupent.

J'ai eu un souci avec les nombreux personnages, parce qu'ils ne sont quasiment jamais décrits physiquement. du coup, pas simple de les identifier clairement et de ne pas les mélanger, au début. Je ne me rappelle pas si c'est toujours le cas chez Stephen King, mais ici ça m'a un peu dérangée au début. (par exemple, on apprend seulement à plus de la moitié du roman que Jeanette est noire ou que je ne sais plus qui est rousse. Quand on se les est imaginés autrement, il faut se contorsionner le cerveau pour faire entrer les nouvelles données et c'est assez agaçant).

J'ai aimé la note de mysticisme aux accents bibliques, comme l'auteur nous en réserve souvent dans ses bouquins. J'aime bien ce genre de surnaturel un peu mythologique.

J'ai ressenti quelques longueurs quand même. Stephen King m'a habituée aux gros bouquins et quand l'histoire suit, ça ne pose aucun problème, mais là, j'ai trouvé certains passages un peu fastidieux à lire, notamment ceux avec les femmes de l'autre côté. Il ne s'y passe jamais grand chose et j'avais à chaque fois hâte de revenir à l'action dans le vrai monde.

Le roman est très accès sur les relations femme/hommes, sur les problèmes de société qui y sont liés, et il n'évite pas toujours les messages féministes un peu clichés (les hommes ne savent pas faire la vaisselle ou repasser, ils sont violents alors que les femmes ne sont que paix et amour, ou que sais-je). Même si le roman fait un effort pour conserver une certaine neutralité en donnant une voix à tous les points de vue, c'est justement comme ça que je l'ai parfois ressenti : un effort. Stephen King m'a plus habituée à des situations ambiguës qui renversent les préjugés et les attentes.

Pour ce qui est des personnages : celui d'Evie Black est parfait. Un mélange de Randall Flagg et du du méchant dans La tempête du siècle (me rappelle plus de son nom, désolée).
Le personnage qui m'a le moins convaincue est Don Peters, il est un peu une caricature du connard sexiste et n'a aucune nuance. On a parfois l'impression qu'il est méchant pour être méchant
J'ai beaucoup aimé Franck Geary, j'ai trouvé qu'il était le plus abouti parce qu'il porte en lui toutes ces contradictions qui le rendent assez fascinant. Il n'est pas un personnage mauvais, il essaie toujours de faire ce qu'il y a de mieux. Son objectif est louable : il veut sauver sa fille. Et s'il se laisse aller à être parfois trop violent, s'il a certaines pensées peu charitables envers son ex-femme ou s'il commet parfois des erreurs, c'est parce qu'il est humain, il n'est pas parfait, loin de là. le face à face entre lui et Clint est intéressant parce que ce sont sensiblement les mêmes personnes, sauf que Clint a déjà vaincu les démons qui possèdent encore Franck. J'ai trouvé un peu dommage que leur bras de fer se résolve aussi rapidement, j'aurais bien aimé un peu plus d'interaction entre les deux pour vraiment voir une évolution dans les façons de penser.
Oh, et Angel Fitzroy est géniale aussi, cinglée à souhait.

La scène finale où les hommes se créent un champ de bataille était assez bien faite, et renvoie bien l'idée que, confrontés à un problème, les hommes finissent toujours par en venir aux mains ou par se faire la guerre, à plus ou moins grande échelle.
Le dénouement m'a satisfaite aussi : il nous laisse avec un message d'espoir et de réconciliation.

En bref : Sleeping Beauties est un bon Stephen King avec une intrigue originale et prenante et quelques personnages très marquants. Je regrette les thèmes féministes trop poussés qui occultent parfois l'histoire et les accents moralistes de certains passages. Heureusement, l'intrigue parvient à ne pas s'embourber là-dedans et reste à flot jusqu'à la fin.
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Un phénomène inexplicable s'empare des femmes à travers la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil et si l'on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies vengeresses.
Bientôt, presque toutes les femmes sont touchées par la fièvre Aurora et le monde est livré à la violence des hommes.
À Dooling, petite ville des Appalaches, une seule femme semble immunisée contre cette maladie. Cas d'étude pour la science ou créature démoniaque, la mystérieuse Evie échapper a-t-elle à la fureur des hommes dans un monde qui les prive soudainement de femmes ?
Cette fois, le grand maître de l'Horreur est rejoint par un de ses fils, Owen King, pour cette nouvelle histoire qui j'insiste a tout d'une fable.
Le roman est assez long, près de 800 pages, et même s'il n'est jamais ennuyeux je pense certains passages semblent s'étirer inutilement en particulier dans sa dernière partie ou une série de personnages sont ajoutés ce qui donne une impression de remplissage. L'histoire est bien plus proche de la fantasy que du roman d'horreur, bien qu' elle soit bien pourvue de son lot de passages assez forts comme on est quand même chez King. On retrouve donc un peu les composantes du "Fléau" ou de "Dôme", avec ce même sentiment de claustrophobie dans un complexe apocalyptique que King gère très bien. Les personnages sont très nombreux, nous en connaîtrons à peine certains, mais les principaux sont parfaitement caractérisés de sorte que, contrairement à ce que j'ai pu lire dans des critiques de ci de là , cela ne m'a pas dérangé (en plus il y a un glossaire).
C'est un bon roman dont e point de départ promet beaucoup, mais qui se dégonfle un peu en raison de l'abondance excessive d'intrigues secondaires Peut-être qu'avec 200 pages de moins ça aurait été un roman plus contendant. le meilleur ici comme toujours chez king, les personnages, des gens normaux confrontées à une situation extrême qui les pousse à réagir avec l'essence de ce qu'il sont.
Avec sa fin bien résolue, ce qui est assez rare chez king. et sa thématique que l'on peut trouver opportuniste ou bienvenue , c'est une lecture tout à fait divertissante.
En apparence simple histoire de fantasy le roman pose de bonnes questions et enseigne quelques leçons, dont la plus importante est que les femmes ne sont pas remplaçables.

Un phénomène inexplicable s'empare des femmes à travers la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil et si l'on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies vengeresses.
Bientôt, presque toutes les femmes sont touchées par la fièvre Aurora et le monde est livré à la violence des hommes.
À Dooling, petite ville des Appalaches, une seule femme semble immunisée contre cette maladie. Cas d'étude pour la science ou créature démoniaque, la mystérieuse Evie échapper a-t-elle à la fureur des hommes dans un monde qui les prive soudainement de femmes ?
Cette fois, le grand maître de l'Horreur est rejoint par un de ses fils, Owen King, pour cette nouvelle histoire qui j'insiste a tout d'une fable.
Le roman est assez long, près de 800 pages, et même s'il n'est jamais ennuyeux je pense certains passages semblent s'étirer inutilement en particulier dans sa dernière partie ou une série de personnages sont ajoutés ce qui donne une impression de remplissage. L'histoire est bien plus proche de la fantasy que du roman d'horreur, bien qu' elle soit bien pourvue de son lot de passages assez forts comme on est quand même chez King. On retrouve donc un peu les composantes du "Fléau" ou de "Dôme", avec ce même sentiment de claustrophobie dans un complexe apocalyptique que King gère très bien. Les personnages sont très nombreux, nous en connaîtrons à peine certains, mais les principaux sont parfaitement caractérisés de sorte que, contrairement à ce que j'ai pu lire dans des critiques de ci de là , cela ne m'a pas dérangé (en plus il y a un glossaire).
C'est un bon roman dont e point de départ promet beaucoup, mais qui se dégonfle un peu en raison de l'abondance excessive d'intrigues secondaires Peut-être qu'avec 200 pages de moins ça aurait été un roman plus contendant. le meilleur ici comme toujours chez king, les personnages, des gens normaux confrontées à une situation extrême qui les pousse à réagir avec l'essence de ce qu'il sont.
Avec sa fin bien résolue, ce qui est assez rare chez king. et sa thématique que l'on peut trouver opportuniste ou bienvenue , c'est une lecture tout à fait divertissante.
En apparence simple histoire de fantasy le roman pose de bonnes questions et enseigne quelques leçons, dont la plus importante est que les femmes ne sont pas remplaçables.
Un phénomène inexplicable s'empare des femmes à travers la planète : une sorte de cocon les enveloppe durant leur sommeil et si l'on tente de les réveiller, on prend le risque de les transformer en véritables furies vengeresses.
Bientôt, presque toutes les femmes sont touchées par la fièvre Aurora et le monde est livré à la violence des hommes.
À Dooling, petite ville des Appalaches, une seule femme semble immunisée contre cette maladie. Cas d'étude pour la science ou créature démoniaque, la mystérieuse Evie échapper a-t-elle à la fureur des hommes dans un monde qui les prive soudainement de femmes ?
Cette fois, le grand maître de l'Horreur est rejoint par un de ses fils, Owen King, pour cette nouvelle histoire qui j'insiste a tout d'une fable.
Le roman est assez long, près de 800 pages, et même s'il n'est jamais ennuyeux je pense certains passages semblent s'étirer inutilement en particulier dans sa dernière partie ou une série de personnages sont ajoutés ce qui donne une impression de remplissage. L'histoire est bien plus proche de la fantasy que du roman d'horreur, bien qu' elle soit bien pourvue de son lot de passages assez forts comme on est quand même chez King. On retrouve donc un peu les composantes du "Fléau" ou de "Dôme", avec ce même sentiment de claustrophobie dans un complexe apocalyptique que King gère très bien. Les personnages sont très nombreux, nous en connaîtrons à peine certains, mais les principaux sont parfaitement caractérisés de sorte que, contrairement à ce que j'ai pu lire dans des critiques de ci de là , cela ne m'a pas dérangé (en plus il y a un glossaire).
C'est un bon roman dont e point de départ promet beaucoup, mais qui se dégonfle un peu en raison de l'abondance excessive d'intrigues secondaires Peut-être qu'avec 200 pages de moins ça aurait été un roman plus contendant. le meilleur ici comme toujours chez king, les personnages, des gens normaux confrontées à une situation extrême qui les pousse à réagir avec l'essence de ce qu'il sont.
Avec sa fin bien résolue, ce qui est assez rare chez king. et sa thématique que l'on peut trouver opportuniste ou bienvenue , c'est une lecture tout à fait divertissante.
En apparence simple histoire de fantasy le roman pose de bonnes questions et enseigne quelques leçons, dont la plus importante est que les femmes ne sont pas remplaçables.


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J'ai mis un temps fou à faire un retour sur ma lecture parce que j'ai du mal à dire si j'ai aimer où non cette lecture. J'ai adoré le principe et, quoi que j'ai trouvé que bien souvent l'histoire tournait un peu au farfelus, j'ai apprécié le dénouement de l'intrigue. Je dirait que c'est du grand King : un roman qui nous laisse un peu perplexe, un peu désarçonné. La lecture, quoi qu'un peu lourde et lente par moment, vaut le détour tant l'idée de départ me semble intéressante. Ca ne deviendra pas mon roman préféré mais ça reste une bonne découverte. Laissez vous surprendre sans attendre un chamboulement profond.
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En lisant la quatrième de couverture, j'ai adoré le mystère planant sur ces phénomènes inexpliqués touchant uniquement les femmes.

Le fait que ce soit signé Stephen King a joué sa grande importance dans mon choix de lecture et en plus co écrit avec son fils, le tout m'a complètement attirée ! Mais pour être tout à fait honnête avec vous, et de mon point de vue personnel bien sûr, sûrement que d'autres ne seront pas d'accord, on est loin des chefs oeuvres du King...

Le thème et les événements étaient très intéressants, ils auraient malheureusement pu être beaucoup plus exploités, développés, horrifiques, surprenants, angoissants ... L'installation des personnages (pourtant forts en personnalité et en rôle) est d'une longueur sans fin avant de rentrer dans le vif du sujet, les événements sont longs à s'enchaîner et la fin qui a tout pour être explosive s'allonge un peu trop pour permettre au livre d'avoir un rythme soutenu et rempli de suspense.

Je ne regrette pas ma lecture, mais je l'ai trouvé longuette et elle m'a un peu endormie.
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