AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,51

sur 696 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Avec ce pavé de 820 pages j'ai réussi à battre un record .... celui de lire un Stephen King en 15 jours... c'est long, trop long pour moi. Ce qui prouve bien l'ennui que j'ai eu à le lire. Je l'ai fini, c'est un Stephen King après tout. J'avais espoir d'un sursaut mais rien, pas une once.
Je pense que c'est le plus mauvais roman du maître.

Ce roman aurait gagné a être plus court, déjà au moins de la moitié. Trop, beaucoup trop de détails inutiles. On lit , on avance dans les pages mais absolument pas dans l'histoire.

Il y a beaucoup trop de personnages, ce qui fait qu'ils ne sont pas aboutis, même les personnages principaux ne sont pas attachants.
Pourtant la quatrième de couverture était tentante, et puis le sujet de fond l'est tout autant (je ne le dévoilerais pas), mais franchement mal mené. Et c'est bien dommage.

Je ne mettrais la faute sur personne, puisque le roman est écrit à quatre mains, mais je ne pensais pas un jour être aussi déçue par un roman de Stephen, qu'il soit écrit seul ou un collaboration. Dommage qu'un double King soit si plat.

En ce qui concerne la couverture, elle est magnifique je le reconnais volontiers, mais malheureusement elle est à mon sens trop proche de celle du Bazar des mauvais rêves.
Dommage (encore !) c'est un raté sur toute la ligne pour moi.
Commenter  J’apprécie          11022
Je tiens à remercier l'équipe des éditions le livre de poche pour m'avoir offert ce superbe roman.
En effet, la couverture est splendide. Pour moi, King, c'est la Madeleine de Proust. C'était mon Interdit lorsque j'étais enfant. Puis j'ai grandi et, on m'a enfin autorisé à le lire. Ce sont toujours des univers à part. Des narrations longues. Des quantités phénoménales de personnages …
Pour moi, il était évident de devoir découvrir le talent de la jeune génération King. J'étais persuadée que ce serait un réel plaisir de lire ce roman écrit à quatre mains. Mais, trop c'est trop ! Ça m'arrache le coeur, mais une oeuvre de King m'a déçue.
C'est un beau roman. La couverture est très belle. Mais ! Pourquoi avoir choisi un papier cartonné de si mauvaise qualité ? Il s'abîme en un rien de temps. C'est décevant ! Personnellement, je déteste avoir des romans abîmés sur les étagères de ma bibliothèque. Ça me file de l'urticaire ! Pourquoi faire des économies de bouts de chandelle, comme ça ? Bref, ce fût ma première déception …. Et pas la seule, malheureusement. 
832 pages, rien que ça. Généralement, ça me dérange pas si tant est que le roman soit intéressant. On le sait que King met très longtemps à planter ses décors. Mais qu'est-ce que c'est (encore plus) long dans Sleeping Beauties ! C'est interminable. Et on s'ennuie, parce que c'est trop long. Il ne se passe rien ! On sait aussi que les romans de King sont toujours emplis de personnages divers et variés. Et bien dans celui-ci, il y en a tellement qu'on s'y perd. Et plus grave encore, on ne parvient à s'attacher à aucun d'eux tant ils paraissent survoler. Et ces sensations d'inachevé, de surface, de plat ont continuées tout au long de cette difficile lecture. C'est incohérent … Oui, pourquoi le Monde ne s'affole-t'il pas devant cette « maladie » inexplicable dont souffre les femmes ?
Ensuite, je dirais : lobby, lobby, petits lobbys … Oui, quand on comprend le fond du roman, on comprend pourquoi il n'est pas plus intéressant ! Avec ce roman, King a préféré servir un lobby féministe plutôt que de créer une histoire qui tienne la route et qui soit lisible. En gros, il a gâché son talent. Pourquoi est-ce je parle de féminisme ? Parce que dans ce monde, toutes les femmes ont eu affaire à un homme horrible. Les femmes emprisonnées étaient toutes en prison à cause d'un homme. On le sait, non ? Les hommes sont les plaies du monde ! Stop, stop et stop ! Ce n'est ni convaincant, ni logique, ni réel. Oui, il y a des hommes cruels … autant qu'il y a des femmes cruelles. Pourquoi faut-il toujours dénaturé la réalité ? C'est quelque chose qui m'énerve au plus haut point. Pourquoi ne pouvons-nous pas simplement défendre les Hommes avec un grand H (l'espèce et non le sexe). Il ne s'agit pas là d'un acte engagé, mais de l'acte d'un « vendu ». Parce que s'il s'agissait d'une vraie conviction, on aurait ressenti une certaine passion dans cette écriture. Une fougue. Mais rien de tout cela, c'est un roman uniquement écrit pour faire passer une idée politique. Pour être du bon côté et continuer à vendre (ou commencer à vendre, pour son fils).
En somme, si vous êtes féministe vous allez adoré. Ce roman est littéralement fait pour vous. Par contre, armez-vous de courage, il est très long. Pour ma part, je retourne dormir en espérant qu'un cocon de coton viendra m'envelopper et m'enverra dans un monde parallèle. Un monde où la réalité ne sera pas déformée par des groupes de pression politiques. C'est beau de rêver !
Commenter  J’apprécie          142
Ce roman avait tout pour me plaire. Une histoire originale qui tient en haleine puisqu'on a envie de savoir pourquoi ces femmes ne se réveillent pas, qu'est-ce que c'est que cette mystérieuse fièvre et quel monde futur en découlera s'il ne reste plus que les hommes sur Terre. Malheureusement c'est long... extrêmement long... les pages se tournent sans faire avancer l'histoire. Ça stagne, et c'est d'un ennui parfois mortel - si ce n'est qu'on ne s'endort pas nous aussi en lisant ce roman.

Au-delà de ça, il y a beaucoup trop de personnages. Difficile à suivre. A tel point que j'ai remarqué à la fin - oups, trop tard - un mémo sur quatre pages (!!!) pour resituer qui est qui dans tout ce bazar. Chaque personnage reste trop superficiel pour que je m'attache. La seule à sauver reste la mystérieuse Evie qui est relativement captivante. Les stéréotypes s'enchaînent, me hérissant le poil à certains moments. Evie qui lit mieux les pensées des hommes car elles sont "plus simples". Tout est trop binaire, et aurait gagné à être un peu plus nuancé.

J'ai apprécié le fait que les femmes qui tentent désespérément de résister à leur envie de dormir sont parfois plus flippantes que celles endormies. Des zombies droguées, qui ingurgitent tout ce qui peut les faire tenir. Mais aussi les questions philosophiques un peu posées là comme ça. Une société faite uniquement de femmes serait-elle en paix ? Les hommes sont-ils les principaux responsables de la violence en général ?

On peut clairement passer son chemin sur ce roman qui, dans la balance, ne l'emporte pas. C'est le cinquième roman de Stephen King que je lis, et c'est clairement le moins bon. Peut-être l'écriture à quatre mains qui n'a pas été une force cette fois-ci. Ça ne m'empêchera pas pour autant de continuer à lire cet auteur que j'aime profondément.
Lien : https://jen-s-addiction.blog..
Commenter  J’apprécie          54
Quel déchirement, quel crève coeur de devoir écrire un tel article sur un des romans de mon auteur favori. Je ne savais pas vraiment s'il fallait que j'écrive quelque chose sur ce roman que je n'ai pas terminé, de peur d'être trop méchant ou de rester trop en surface, mais Sleeping Beauties me reste en travers de la gorge et il faut que je sorte ce que j'ai sur le coeur. Bien évidemment, cette chronique ne reflète que mon avis sur les 550 pages que j'ai pu lire du roman et il ne faut pas forcément ne prendre en compte que mon avis négatif. Il en existe énormément qui parlent en bien de ce roman.

C'est bien la première fois que j'écris un avis suite à un abandon, donc j'espère que je ne vais pas partir dans tous les sens. du coup, je vais faire ça simple, basique. Je vais débuter par les bonnes idées que Stephen King et son fils Owen King ont pu avoir dans ce roman. Oui, il y a des points positifs quand même. Je ne suis pas un monstre.
L'idée principale est bonne. Les deux auteurs essayent de montrer une société qui perd ses femmes dans un sommeil profond, laissant ainsi le monde aux mains des hommes. On peut voir ce roman comme une simple dystopie ou comme une réponse aux différents soucis de notre société face à la place de la femme (c'est la deuxième option qu'il faut choisir). Stephen et Owen King apporte une réponse intelligente à notre société actuelle qui a encore du mal à aller de l'avant, afin d'évoluer. La maladie est une réponse forte aux maux de notre société et j'ai trouvé ça très intéressant de suivre les deux camps. Les deux auteurs questionnent la violence chez l'Homme en général. Est-elle innée ou acquis au fil des siècles ?


Sauf que (oui j'ai fini de parler des points négatifs) Sleeping Beauties fait facilement 400 pages de trop et sur 820, ça fait déjà beaucoup… Cette idée sur 400 pages aurait été merveilleuse… Je suis pourtant habitué et fan du travail narratif du King, avec ce besoin de prendre son temps pour implanter son décor, ses personnages et son histoire, mais là c'est trop. Il faut attendre 200 pages pour le coeur de cette histoire arrive et 200 de plus pour que tout commence un peu à bouger. Stephen King et Owen King semblent se perdre dans leur récit, si bien qu'on s'ennuie assez souvent. Je n'ai pas su retrouver la magie de Stephen King ici et j'ai trouvé que l'on se perdait dans une histoire où il y avait beaucoup trop de personnages (71 en tout) et il était impossible de s'attacher à un seul d'entre eux, tant ils avaient le charisme d'une moule en fin de vie…
L'autre soucis de Sleeping Beauties, c'est que je n'ai pas retrouvé la plume de Stephen King, bon c'est normal vu que c'est un roman à quatre mains, mais je trouve le tout moins bien écrit et moins subtil qu'à l'accoutumé. J'ai eu l'impression que les deux auteurs arrivaient avec leurs gros sabots pour nous dire “vous avez vu ça, bah ça va être important pour la suite !” ou encore “tu l'as vu la symbolique ? Tu l'as vu ?”. Bref, je n'ai pas à véritablement juger la plume de ces deux auteurs, vu que je ne suis même pas capable d'écrire deux pages d'une histoire, mais je tiens quand même à dire que tout cela m'a gêné.

Voilà ma maigre participation quant à ce Sleeping Beauties qui me reste en travers de la gorge et qui a failli me dégoûter de la lecture pendant un bon moment… Je ne sais pas si je peux vous conseiller ce roman, mais il est important de se faire son propre avis, alors bon courage et si vous finissez par apprécier ce roman, alors tant mieux.
Lien : https://tomabooks.wordpress...
Commenter  J’apprécie          54
Sans aucune raison, dans le monde, les femmes s'endorment et ne se réveillent plus, entourées par un cocon protecteur. Laissant les hommes livrés à eux-mêmes.

Cette étrange pandémie, le duo King père et fils va nous le faire vivre à travers le prisme d'une petite ville américaine, Dooling. Une idée de base assez réjouissante, mais sa mise en oeuvre peine à convaincre.
Tout d'abord, pour faire écho à de nombreuses autres critiques, il y a beaucoup de longueurs dans ce roman de 900 pages. Il aurait facilement pu en faire 3 ou 400 de moins, il aurait certainement gagné en nervosité.
Ensuite, la quatrième de couverture décrit ce roman comme "féministe". Ouais. Bof. Je l'ai trouvé trop manichéen et pas assez subtil pour faire honneur à cette noble cause. Stephen King a écrit des romans féministes bien plus convaincants, comme Dolores Claiborne, par exemple.
Grand amateur de King, je suis allé au bout de ma lecture, mais (et ça me fait mal de le dire) ce fut une lecture assez laborieuse.

Une idée de base intéressante au développement trop long et à la morale simpliste. Pas un grand cru du maître de l'horreur.
Commenter  J’apprécie          40
Que se passerait-il si, du jour au lendemain, toutes les femmes s'endormaient? S'il ne restait plus que des hommes sur terre? La vie serait-elle mieux ou pire avec un seul genre "éveillé"? C'est le sujet que traite Stephen King dans ce pavé de 800 pages que j'ai mis un certain temps à finir à cause du nombre très (trop) important de personnages (et c'est seulement en arrivant à la fin que j'ai vu qu'il y avait justement un récapitulatif des personnages qui m'aurait bien servi s'il avait été mis au début du roman 😫). Et j'ai également trouvé quelques longueurs, c'était même parfois très lent, l'histoire aurait pu être raccourcie... Bref, sympa mais pas le meilleur. Malgré cela, je reste une grande fan de Mr King ❤️
Commenter  J’apprécie          30
L'histoire est prometteuse. Les auteurs, dès le résumé, nous donnent envie de dévorer le livre. La notoriété de Stephen King n'est plus à faire, il a déjà publié quelques pépites littéraires et ses livres sont toujours intéressants. Alors, je me suis lancée à fond dans la lecture, et j'en ai attendu trop. Je me suis perdue, dans la masse de personnages imposante de l'histoire (pour dire, ils sont résumés uns à uns à la fin du livre, ainsi que leurs métiers), je me suis perdue dans l'immensité des passages descriptifs, allant du passé d'un personnage à une scène "d'action" bien trop minutieuse, lui faisant perdre tout son charme. le pavé, de 823 pages, nécessiterait la perte bénéfique d'une ou deux centaines de pages de description, qui rendent lourd le style de l'écriture à 4 mains.
Pourtant, le topic est intéressant : l'épidémie Aurora faisant sombrer les femmes dans le sommeil, la mystérieuse Evie (on sourira devant l'analogie avec Eve du Jardin, dont on parle d'ailleurs dans ce roman) et un tout autre monde découvert, où la vie semblerait meilleure. On ne peut certainement pas enlever à ces deux écrivains l'imagination débordante dont ils font preuve, car pour inventer les choses qu'ils ont écrites, il faut un cerveau créatif. Mais encore une fois, ce n'est pas l'histoire en elle-même qui n'est pas intéressante, seulement l'exploitation des données. Si l'effort des descriptions des scènes avait été transformé en explication du phénomène Aurora, le bouquin aurait pu prendre une toute autre forme et être, à mon sens, bien meilleur.
Le rythme de l'écriture est lent, malgré quelques tentatives de sursaut lors du réveil de certaines femmes. le contexte de l'histoire se met en place avec un tel atermoiement que je ne trouvais pas, encore, aux environs de la page 350, l'intérêt de l'histoire. Les scènes d'action sont courtes et pauvres, à part peut être celle de l'attaque de la prison des femmes, lors des dernières pages, qui a (enfin) éveillé mon intérêt.
Finalement, l'aboutissement du bouquin est moyen. Il n'est pas mauvais, et a le mérite d'exister, mais un bon nombre de choses présentes dans le livre n'ont pas été expliquées ce qui rend l'expérience assez désappointante. Je parle de notamment des animaux qui parlent, de l'Arbre, axes qui n'ont pas été abordés de manière développée (au contraire de beaucoup d'autres choses qui auraient pu être elles, encore une fois, allégées).
Malgré tout, j'ai réussi à trouver des points positifs dans le message que veut faire passer ce livre. C'est une histoire engagée, féministe, qui dénote les violences faites aux femmes en toute impunité, les conditions de vie de ces dernières, encore considérées comme le sexe faible (ce qui est le cas dans notre société actuelle). L'oeuvre dénonce aussi l'autorité patriarcale, notamment dans la société carcérale avec des abus d'autorité sur les femmes condamnées (notamment avec Don Peters le gardien de prison, je ne vous spoile pas mais ce mec est à vomir). Ainsi, je suis très surprise mais également heureuse de voir ces termes abordés non pas par un mais deux hommes, qui ont donc engagé un processus de réflexion sur le sujet et ont pris une position féministe (puisque tout le bouquin est basé sur un monde meilleur sans les hommes - ou plutôt pire sans les femmes).
Lien : http://thereadingsession.fr/..
Commenter  J’apprécie          20
Si vous avez lu le magnifique essai de notre King adoré " écritures mémoires d un métier" (et si vous l avez pas lu jetez vous dessus) vous aurez retenu comme moi que Stephen King dit que la deuxième version d un roman doit être épurée de 10 % par rapport a la première version. A mon avis sur Sleeping Beauties il ne la pas fait du tout.
Il aurait etait judicieux qu il le fasse et bien plus que 10 %.
Selon moi 30 a 40 % de moins c était meme parfait !.
Car Sleeping Beauties est beaucoup trop long.
Sleeping Beauties a beaucoup trop de personnages.
On s y perd et le King y laisse justement ce qui fait sa grande force: la psychologie des personnages.
Ils ne sont pas assez creusés, on ne rentre pas dans leur tête comme on le fait dans la plupart des livres du boss.
J y ai cru au début mais j ai rapidement senti que Sleeping Beauties était un pétard mouillé.

On tourne en rond avec la reelle impression que King et son fiston n arrivent pas a boucler leur histoire et qu ils ne savent pas ou nous emmener.

Une belle déception et un bon gros pavé que j ai vraiment eu du mal a finir.

Mais bon... Je vais quand meme acheter L' outsider et l'' institut parce que commencer et s immiscer dans un King c est toujours du bonheur (même si Sleeping Beauties a raté son but).

Stephen King reste le meilleur, le boss, the greatest of all time et ca on pourra jamais lui enlever !

Commenter  J’apprécie          23
J'ai beau être un fan de Stephen King depuis mon adolescence, d'ailleurs il ne me manque que quelques livres pour avoir tout lu…Mais ce livre ne fonctionne absolument pas !

Pour commencer ce livre est d'un Manichéisme total les hommes sont mauvais, les femmes sont gentilles, les femmes qui vont en prison y vont a cause d'un homme jamais a cause d'elle même, bref ça manque ÉNORMÉMENT de nuances ( je ne nies pas que tout ces cas existent, juste qu'a lire ce livre tout les hommes sont comme ça,).

L'idée de départ de monde parallèle est intéressante, mais pareillement cela tombe très vite a plat, les personnages sont plats, on ne ressent aucune empathie pour qui que ce soit.

Peu importe de quel côté je tourne ma tête je n'arrive pas a trouver un intérêt à ce livre, de plus il est très long, je n'ai rien contre les récits très long quand ils ont un intérêt particulier mais ici c'est clairement du remplissage.

Cela ne généra en rien mes prochaines lectures Kingienne, mais quand on est fan il faut savoir rester objectif et dire que son auteur fétiche c'est planté lorsque c'est le cas.

Commenter  J’apprécie          20
C'est toujours toujours un plaisir de commencer un Stephen King, or pour celui-ci, la joie fut de courte durée. Un récit ennuyant et trop long.
Commenter  J’apprécie          10




Lecteurs (2044) Voir plus



Quiz Voir plus

Le quiz Stephen King !

Quel est le premier livre de King a avoir été publié ?

Shining
Dead Zone
Carrie
Le dôme

10 questions
1722 lecteurs ont répondu
Thème : Stephen KingCréer un quiz sur ce livre

{* *}