Le sixième volet se terminait sur un moment d'effroi, ce septième et premier tome du troisième triptyque part sur des bases beaucoup plus sombres, la petite chapardeuse espiègle y a perdu son innocence, le ton est devenu bien plus grave, et le plaisir de suivre Lylia est toujours là, mais ce plaisir a bien changé de saveur, bien plus amère. le graphisme est dynamique, toujours lyrique et parfois même grandiose, pourtant le trait est simple. le rythme nous accroche, nous surprend, les ellipses nous ramènent à l'essentiel. Voro devient une saga médiévale de très haute tenue, riche, complexe, et passionnante. Je me précipite sur le huitième tome.
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Que l'on soit pieux religieux ou savant alchimiste, il faut avoir la force d'admettre ses erreurs ! Et regarder la vérité en face au lieu de s'accrocher aveuglement à sa croyance.
Tôt ou tard, la vie ébranle nos convictions à tous...