Qui veut gagner le Paradis ? : le thriller en 42 incroyables nouvelles noires à la Black Mirror signé Philip le Roy, disponible partout dès maintenant !
250 personnes seront victimes de violences meurtrières pendant que vous lirez ce livre*
Près de 1 300 homicides se produisent chaque jour aux quatre coins du monde, de la Californie à Bornéo, du Congo à Paris, de Nice à Kaboul.
Visiblement, sans lien apparent.
4 hommes sur 5 et d'1 femme sur 2 ont déjà eu l'intention de tuer au cours de leur vie**
Les auteurs de ces crimes et leurs victimes sont de tous les âges, nationalités, origines sociales, orientations politiques ou sexuelles.
Cela pourrait être n'importe lequel d'entre nous.
À qui le tour de tuer... ou d'être tué ?
Étroite est la porte et resserré est le chemin menant au Paradis, et il y en a peu qui les trouvent***
Comment échapper à la violence d'un monde absurde et oppressant ?
Le Paradis existe-t-il ? Il faut trouver une issue, mais vite, car le compte à rebours a commencé depuis longtemps.
Philip le Roy est scénariste et auteur de thrillers dont le Dernier Testament, Grand Prix de Littérature Policière. Qui veut gagner le Paradis ? est un thriller à fragmentations. Il repousse les limites de l'art de la nouvelle qui comme le disait le maître du genre Philip K. Dick consiste à surprendre le moment le plus intense de notre existence. Un ouvrage hors normes à ne pas mettre entre toutes les mains.
* Selon une étude de l'ONU, près de 464 000 personnes dans le monde ont été victimes de violences meurtrières en 2017, soit cinq fois le nombre de personnes tuées dans des conflits armés au cours de la même période.
** Selon une étude portant sur 760 étudiants, 79 % des hommes et 58 % des femmes ont déjà eu au cours de leur vie des pensées visant à tuer quelqu'un.
*** Évangile selon Matthieu 7.13-14.
Philip le Roy est scénariste et auteur de thrillers dont le Dernier Testament, Grand Prix de Littérature Policière. Qui veut gagner le Paradis ? est un thriller à fragmentations. Il repousse les limites de l'art de la nouvelle qui comme le disait le maître du genre Philip K. Dick consiste à surprendre le moment le plus intense de notre existence. Un ouvrage hors normes à ne pas mettre entre toutes les mains.
Philip Le Roy/5
7 notes
Résumé :
Le docteur Fletcher était prévenu : la jungle de Bornéo est dangereuse. On n'y emmène pas une fillette de 10 ans. Quelques secondes d'inattention et la jeune Tanya disparaît. Promesses de récompense, enquêtes sur le terrain ne donnent rien. Jusqu'au jour où Ryan Fletcher entend parler d'une tribu de coupeurs de têtes. Des cannibales !
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Critiques, Analyses et Avis (4)
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Voici un petit roman écrit sous un format de nouvelle, d'où la collection "Les petits polars".
Un médecin en vacance avec sa femme et sa fille de dix ans voit sa fille enlevée par soit des tribus éventuellement cannibales.... soit des groupes islamistes du type "moudjahidin". Il va perdre dans la jungle ses compagnons et sa femme. Dix ans plus tard, il se lancera dans une nouvelle expédition dans la jungle de Bornéo pour retrouver les traces de sa fille.
On est tout de suite plongé dans un univers original, mais on sent un problème de style.On n'est pas dans le littéraire, même pas dans un style journalistique ou documentaire. ...
Le style d'écriture semble au début un peu amateur, au sens classique du terme, mais ce n'est pas moderne non-plus. le style voudrait être rapide et percutant, en fait il semble pauvre.
Et l'on s'aperçoit qu'en cinquante page, l'exercice n'était pas si facile.
On impose un format de nouvelle à un sujet qui aurait largement pu alimenter un roman conséquent. Nous savons tous que simplifier, raccourcir, etc, n'est pas une chose facile.
Alors pour créer l'ambiance, on va trouver des stéréotypes, du genre otage ligoté à un poteau. On est dans la caricature, ou la B.D. !
Et on s'aperçoit que c'est l'épidémie de grippe avaire qui a réactivé par soucis de protection, les coutumes cannibales ancestrales !
En fait, le dénouement est absolument abominable, mais très bien construit. Je m'attendais à une fin sans saveur et finalement il y a plein d'inventivité. Dommage que l'auteur n'ait pas eu assez de place pour développer.
Moi qui aime vraiment les nouvelles, j'ai appris ce soir qu'elles ne se prêtaient pas à tous les sujets.
A lire avec intérêt et beaucoup d'indulgence.
Un médecin en vacance avec sa femme et sa fille de dix ans voit sa fille enlevée par soit des tribus éventuellement cannibales.... soit des groupes islamistes du type "moudjahidin". Il va perdre dans la jungle ses compagnons et sa femme. Dix ans plus tard, il se lancera dans une nouvelle expédition dans la jungle de Bornéo pour retrouver les traces de sa fille.
On est tout de suite plongé dans un univers original, mais on sent un problème de style.On n'est pas dans le littéraire, même pas dans un style journalistique ou documentaire. ...
Le style d'écriture semble au début un peu amateur, au sens classique du terme, mais ce n'est pas moderne non-plus. le style voudrait être rapide et percutant, en fait il semble pauvre.
Et l'on s'aperçoit qu'en cinquante page, l'exercice n'était pas si facile.
On impose un format de nouvelle à un sujet qui aurait largement pu alimenter un roman conséquent. Nous savons tous que simplifier, raccourcir, etc, n'est pas une chose facile.
Alors pour créer l'ambiance, on va trouver des stéréotypes, du genre otage ligoté à un poteau. On est dans la caricature, ou la B.D. !
Et on s'aperçoit que c'est l'épidémie de grippe avaire qui a réactivé par soucis de protection, les coutumes cannibales ancestrales !
En fait, le dénouement est absolument abominable, mais très bien construit. Je m'attendais à une fin sans saveur et finalement il y a plein d'inventivité. Dommage que l'auteur n'ait pas eu assez de place pour développer.
Moi qui aime vraiment les nouvelles, j'ai appris ce soir qu'elles ne se prêtaient pas à tous les sujets.
A lire avec intérêt et beaucoup d'indulgence.
Rien à voir avec l'excellent livre de Didier Daenincks, cannibale mais sans s.
C'est une petite nouvelle,très condensée, très brutale, qui n'arrête pas de nous bousculer et de nous surprendre.
Le style est à l'unisson de l'illustration, du noir et un petit peu de blanc, pas pour nous redonner de l'espoir, non, pas du tout, juste pour que l'on distingue bien les différentes nuances de noir.
L'intrigue va vite, très vite, on n'a même pas le temps d'avoir peur ou d'être effrayée par l'action sans pitié. Beaucoup de rythme qui nous permet de supporter l'horreur car c'est bien d'horreur à la fois physique et psychologique dont il est question dans ces pages.
Alors une petite histoire à lire juste avant de s'endormir, histoire de s'amuser avec des cauchemars !
C'est une petite nouvelle,très condensée, très brutale, qui n'arrête pas de nous bousculer et de nous surprendre.
Le style est à l'unisson de l'illustration, du noir et un petit peu de blanc, pas pour nous redonner de l'espoir, non, pas du tout, juste pour que l'on distingue bien les différentes nuances de noir.
L'intrigue va vite, très vite, on n'a même pas le temps d'avoir peur ou d'être effrayée par l'action sans pitié. Beaucoup de rythme qui nous permet de supporter l'horreur car c'est bien d'horreur à la fois physique et psychologique dont il est question dans ces pages.
Alors une petite histoire à lire juste avant de s'endormir, histoire de s'amuser avec des cauchemars !
Ce livre est plutôt captivant . Il commence bien avec le voyage de deux parents avec leur fille, jusqu'à ce que le pire arrive ... c'est alors qu'on est transporté sur une île tropicale. Entre des indigènes cannibales et des djihadistes les chances sont minces mais Ils commencent donc cette aventure.
Ce livre m'a plu car l'histoire est prenante. On est dans la peau des personnages qui sont déchirés par ces mésaventures.
Angelo
Ce livre m'a plu car l'histoire est prenante. On est dans la peau des personnages qui sont déchirés par ces mésaventures.
Angelo
De l'action, du suspense, de l'horreur, et au final on s'aperçoit que le pire monstre n'est pas celui auquel on pouvait penser...
Lien : http://andree-la-papivore.bl..
Lien : http://andree-la-papivore.bl..
critiques presse (1)
Philip Le Roy, l'auteur de Cannibales, la deuxième nouvelle de la troisième saison des « Petits Polars » du Monde, a décidé de se lancer dans l'écriture de thriller après avoir lu Simetierre, de Stephen King.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (3)
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La fréquentation d'ethnies primaires apprend à réagir de façon primaire. Mon cerveau reptilien s'est développé à leur contact. Je me suis souvent sortie d'un mauvais pas grâce à ça.
Elle pointe du doigt l'arrière de sa boîte crânienne pour illustrer son prpos.
Elle pointe du doigt l'arrière de sa boîte crânienne pour illustrer son prpos.
Dans ses phares, une vieille femme le traite de tous les noms. Il ne réagit pas, noyé dans ses pensées. À quoi bon répondre ? Il est dans son tort. Le code de la route ne permet pas de rouler sur les acariâtres en fin de vie, surtout si elles sont clouées sur un passage pour piétons.
Aucun membre de la tribu n'est affecté par la grippe aviaire, ce qui indique qu'ils se sont remis à manger de la chair humaine, la seule viande qui ne transmet pas le virus.
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