Triste destin que celui de Herman Merville, qui n'entrevit les mirages du succès littéraire que pour mourir seul est ignoré de tous : son nom fut écorché non seulement dans la brève nécrologie que lui consacra le New York Times mais sur la couverture de la première édition de ses Œuvres complètes !
Le XX e siècle répara heureusement cette injustice et de Giono à Gilles Deleuze jusqu'à Enrique Vila-Matas, John Updike et Russell Banks, le cercle des admirateur...
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