Complètement cramé !

C'est le premier roman de Gilles Legardinier que j'ouvre; cela faisait un moment que je voyais passer des critiques sur les livres de cet auteur plus que prolifique… (un peu comme Amélie Nothomb) et surtout il me fallait un sas de sécurité après avoir refermé « Tropique de la violence » de Natacha Appanah afin de décompresser en mettant mes neurones en vacances…

Pour être en vacances, c'est sûr qu'ils l'ont été mes braves neurones. Pas besoin de réfléchir comme dans certaines séries télé…

J'ai trouvé les personnages sympathiques mais tellement caricaturaux, pleins de bons sentiments… ils arrivent à résoudre tous les problèmes des autres et on a tout : la jeune fille enceinte abandonnée par son compagnon, l'ado en rébellion qu'on essaie d'initier à la lecture et aux maths en instillant quelques doses de bienveillance et d'aide à son prochain, (le ramener dans le droit chemin disait-on autrefois…).

On peut relever quelques « phrases choc »: « Existe-t-il un âge à partir duquel on perd la faculté de ressentir » ou bien encore « N'oublie jamais qu'un adulte n'est qu'un enfant qui a vieilli »

« Et ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants » dit-on dans les contes de fées ou au pays des Bisounours. En gros, ce n'est pas mon genre de littérature; ce n'est pas une découverte, c'était même couru d'avance ; d'habitude, dans les cas de fatigue extrême, je prends un polar et il y a de fortes chances pour que je reprenne un polar ou des BD à l'avenir dans ce genre de situation.

Bref, un roman vite lu, et probablement vite oublié comme on peut avoir envie d'en lire à la plage en train de buller.

Note : 6/10
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Encore une fois, j'ai craqué sur ce roman à cause de sa couverture avec ce gros matou à l'expression complètement fêlée que je trouve génial ! La plupart des critiques qui en disent du bien y sont bien évidemment aussi pour quelque chose, et j'aime également beaucoup cet auteur.

J'ai aimé découvrir cette palette de personnages hauts en couleurs. Entre Andrew le faux majordome, Odile la cuisinière au caractère bien trempé, Philippe le régisseur un peu bourru, Manon la jeune femme de ménage sensible et la mystérieuse patronne, sans oublier Méphisto le chat et Youpla le chien !

L'ambiance est très bon enfant. Même si certains passages m'ont fait sourire, j'ai quand même eu une préférence pour les romans Demain j'arrête et Ça peut pas rater.
Ici, les bons sentiments sont un peu excessifs à mon goût et les situations sont assez irréalistes. Entre le riche homme d'affaire qui plaque tout pour devenir un serviteur, Andrew et Philippe qui font les 400 coups ensemble sans réelles conséquences derrière, la patronne qui devient l'alliée de ses employés pour consolider leurs histoires d'amour et autre... et à la fin, tout est mignon, tout est gentil dans le meilleur des mondes! Je n'étais pas vraiment impatiente de savoir ce qui allait se passer puisque étant donné l'ambiance, les événements majeures étaient prévisibles.
Mais l'histoire dans sa globalité est plaisante à lire car elle nous plonge dans une demeure où cohabitent des personnages que l'on apprécie forcément.

Et comme toujours, j'ai adoré la petite note de l'auteur à la fin. C'est toujours un plaisir de lire ce que nous lecteurs pouvons apporter à un écrivain.

Un bon roman détente, mais pas le meilleur Legardinier selon moi.

Quand un faux majordome se fait embaucher chez une veuve désargentée et maussade et qu'il apprivoise peu à peu la cuisinière ronchon, le régisseur aux activités louches et la jeune employée triste, cela donne un cocktail aux relents d'humour très british dont on se délecte avec plaisir.

Andrew quitte sa vie active londonienne, confiant ses responsabilités de boss à son assistante, pour faire le point de cette vie qui ne lui convient pas. En lieu et place d'un monastère ou d'un ashram, c'est un petit manoir français où il est engagé comme majordome qui abritera ses réflexions. Mais pas seulement. Car Andrew se lance à corps perdu dans la résolution des problèmes de son nouvel entourage, un peu comme ces héros de série qui parcourent un pays en solutionnant toutes les embrouilles qu'ils rencontrent.

On s'attache vite aux personnages, en qui l'on peut reconnaitre un voisin ou un proche, tant les apparences sont universelles, et rapidement l'on se sent faire partie de la maison;

L'humour est plus contenu que dans «Demain j'arrête» mais reste quand même très présent et plaisant.

On retrouve l'ambiance des romans de Barbara Constantine, empathie, entraide sont au rendez-vous, dans une ambiance un peu naïve et bon enfant, lecture idéale après un roman bien plombant ou un polar bien noir, comme une bouffée d'air pur au parfum (de synthèse) de printemps.

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Cette lecture est arrivée à point nommée pour me divertir et adoucir la vie.

Bon, bon je ne suis pas la première à avoir lu ce livre et Gilles Legardinier n'en est pas à son premier coup. Je pensais d'ailleurs que ce livre était la suite de " Demain j'arrête " et bien non ... Enfin en même temps je n'ai pas lu celui que je pensais le premier. Tout ça à cause des chats sur les couvertures de ces livres ! Chat alors !

J'ai passé de bon moment avec Andrew Blake. Un " faux " majordome et un homme tout a fait charmant.

Il a la solution à tout et ne sait pas par contre, solutionner ses propres problèmes...

Les différents personnages de ce livre sont un peu caricaturaux mais au fond c'est bien parfois de se laisser aller à la simplicité.

Il y a Odile la cuisinière, vieille fille revêche cuisinant comme une chef et son chat impassible...

Il y a Magnier le garde du domaine un gars brut de décoffrage mais le coeur sur la main

Manon la jeune femme de ménage amoureuse enceinte et plaquée

Mme Beauvillier la dame du domaine un peu inaccessible et avec beaucoup de fêlures

Richard Ward son ami d'enfance dans la confidence de cette ultime entourloupe de son ami.

Il y a des moments pleins d'humour également et Andrew était et reste finalement très facétieux. Il a fait les 400 coups avec son ami Richard Ward qui le couvre encore dans l'aventure de cette nouvelle vie au service de Mme Beauvillier une veuve pas très joyeuse et un peu bizarre...

Il recompose un duo détonnant avec le gardien du domaine Philippe Magnier et les scènes ensemble sont très rigolotes. Une belle amitié naît entre eux deux.

Une lecture bonbon, un brin acidulé, sans prise de tête et pour rire.

Un peu de douceur dans votre vie ?
Et bien engagez vous comme Majordome !

Sinon ...Et bien lisez ce livre !
Mais vous l'avez peut-être déjà lu ;-)

Lien : http://imagimots.blogspot.fr..

J'ai découvert cet auteur par ce livre.
le succès de " Demain j'arrête "a aiguisé ma curiosité ! Je l'ai donc emprunté (et nous étions nombreux sur les rangs !)
Bonne surprise: lecture sympa, vivante n'engendrant que de la bonne humeur.
Ce roman a l'allure d'un conte, c'est tendre , léger,drôle et frais avec une once d'humour anglais.
Une lecture qui ne prend pas la tête, idéale pour le plein-air, ou les voyages.

Et voilà, j'ai lu mon premier Legardinier, auteur dont on ne peut pas être passé à côté ces dernières années tellement il a fait parler de lui grâce à tous ses livres qui ont cumulé les succès. Ce livre qui était dans ma PAL depuis plusieurs mois m'a été conseillé par Yunali, qui l'avait beaucoup aimé. J'ai aimé l'histoire, qui a une très belle morale, j'ai aimé les personnages qui sont tous très attachants, j'ai aimé les différents sentiments que l"on peut rencontrer dans ce livre (amiitié, amour, fidélité, pardon...), j'ai aimé les quelques petites pointes d'humour que l'on peut rencontrer au fil des pages, mais j'ai regretté qu"elles ne soient pas assez nombreuses. Voilà, j'ai passé un bon moment de lecture et je continuerais à lire les autres livres de cet auteur qui sont dans ma PAL et je pourrais même me laisser tenter par ses autres livres, mon seul petit bémol consiste au fait que je m'attendais à beaucoup plus d'humour et je pensais rire davantage en lisant ce livre. Donc si vous voulez passer un bon moment de lecture, n'hésitez pas.

On passe toujours un bon moment avec un livre de Gilles Legardinier entre les mains. Son don pour trouver les répliques qui font mouche et nous font nous plier en deux est inégalable. J'ai bien dû pleurer de rire une dizaine de fois durant la lecture de ces 400 et quelques pages. Entre les chamailleries de la cuisinière et du majordome, halloween et les plans plus foireux les uns que les autres ... il est clair qu'on ne s'ennuie pas au manoir de Beauvillier !

C'est l'histoire d'un sexagénaire anglais qui, fatigué des tracas de son métier de chef d'entreprise, décide de se faire une pause. Voila comment Andrew Blake se retrouve un beau jour majordome au domaine de Beauvillier, entre Madame, Odile la cuisinière tyrannique, Philippe le régisseur et Manon la petite femme de chambre.

Je n'ai pas choisi ce livre, on me l'a offert. Et je ne l'aurais surement pas choisi. Oui, c'est amusant. A condition de ne pas être difficile. L'humour de ce roman se base principalement sur les clichés habituels. Dommage.
Quant à l'histoire elle-même... Eh bien, elle est tout sauf réaliste. Qu'est-ce donc que ce monsieur qui se fait embaucher comme majordome mais ne se conduit absolument pas comme tel? C'est le "but" de l'histoire, me direz-vous. Mais, tout de même, pour être crédible, on évite de répondre à Madame comme Blake le fait tout au long du livre.
Bref. Amusant à condition de ne pas être difficile, comme je disais. Hélas, je suis difficile.

Un condensé de folie, de nostalgie, de bon sens. Avec des personnages loufoques et attachants. On m'a offert ce livre très girly. Je l'ai commencé avec l'idée d'en finir rapidement parce ce type d'histoires que je pensais "Cul-cul" n'est pas du tout mon style littéraire. Oui c'est vrai qu'il ne faut pas se casser la tête mais, vous savez quoi? ça fait un bien fou ! de petits chapitres de 2 ou 3 pages., très addictifs, des farces toutes les 2 ou 3 lignes, des calembours savoureux,... Des personnages loufoques ayant leur histoire, leur passé leurs regrets. ref je me suis laissée aller ! et je suis conquise comme on l'est par une bonne petite friandise ! Un roman qui célèbre la vie merci !

Condescendant, prévisible et sirupeux, construit sur des situations éculées et des dialogues artificiels, ce roman aurait pu n'être qu'une avalanche de bons sentiments opportunément lénifiants mais la fraîcheur de ses personnages et la facétie permanente des répliques réussit à enclencher les sourires et débloquer quelques émotions au moment d'une conclusion espérée qui survient avec la méticulosité, la ponctualité et l'élégance d'un majordome anglais. Ni original ni rébarbatif, un livre honnête qui fait du bien quand on en a besoin.