Au début du XXe siècle, un diagnostic s'impose : " ordonner à des fins européennes le reste du monde " (Valéry) n'est plus vraiment possible. La sympathie que nous éprouvons aujourd'hui encore pour cette " politique de l'esprit ", malgré son échec, doit être interrogée.
Ce constat lucide reposait sur une distinction rigoureuse entre une Europe de la politique et une Europe de l'esprit. Mais aujourd'hui cette distinction semble brouillée.
À la victoir... >Voir plus