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3,74

sur 771 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Ari Mackenzie, travaille au RG mais comme spécialiste des sectes et de l'ésotérique.
Un des meilleurs amis de son père l'appelle en urgence et quand le policier arrive le fameux ami est mort dans des conditions horribles. Il n'en fallait pas plus a ce flic pour enquêter et retomber sur un énorme secret.

J'ai passé un tès bon moment avec ce roman. C'est a la fois un bon thriller, avec un personnage principal très sympa: persévérant et au caractère bien trempé. L'intrigue se tient jusqu'au bout et est même passionnante a suivre avec un ryhtme agréable de lecture .
Le fait de parler des sentiments de Ari pour une jeune libraire rend aussi le personnage attachant et très humain.
Il y a certes des petits moments d'égarement de l'auteur dans la logique des choses mais qui lui sont vite pardonnés par l'envie d'en savoir plus . Mais d'un autre côté ça diminue un peu la crédibilité du héros dans sa spécialisation professionnelle.

Sachant que c'est le premier tome d'une trilogie il est bien évident que je vais poursuivre les aventure de Ari avec plaisir.
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Envie d'un roman qui va à cent à l'heure avec un héros qui met sa vie en danger à chaque page et qui nous entraîne à sa suite dans des aventures aussi ésotériques que dangereuses ?
Ari Mackensie travaille pour les services des renseignements généraux à Paris, il est spécialisé dans les groupes sectaires et il passe la plupart de son temps à rédiger des comptes-rendus, assis à son bureau.
Mais le décès du meilleur ami de son père va l'intriguer au point qu'il va décider de mener sa propre enquête, laquelle va lui faire découvrir un ancien manuscrit du XIII ème siècle et une société secrète qui semble prête à tout pour protéger un très vieux secret.
J'ai adoré ce roman ésotérique qui est tout à fait dans le style du célèbre Da Vinci Code, l'action est au rendez-vous, les secrets et les mystères aussi et les personnages sont attachants.
Ce premier roman se termine par une énorme interrogation, laquelle nécessite de lire le second volume « Les cathédrales du vide » pour que l'histoire soit enfin complète.
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Une lecture bien agréable et fluide qui me permet de découvrir le commandant Ari Mackenzie dont c'est le premier tome de ses aventures.Il m'a plu tout de suite, de même l'enquête à laquelle il est mêlé est hyper intéressante. Société secrète, ésotérisme, quête et meurtres d'une violence incroyable, on retrouve un peu les ingrédients de "l'Apothicaire "qui se déroule par contre au Moyen-âge ou début de l'époque moderne,je ne sais plus. Ari est un personnage bien travaillé,qu'on a vraiment envie de connaitre et j'ai aussi beaucoup aimé son garde du corps, ils font vraiment un bon duo et j'espère qu'on le reverra . L'auteur n'en fait pas trop au niveau ésotérisme, ce qui est un bon point pour moi qui n'en suis pas friande.
Une belle découverte qui me donne envie de lire la suite des aventures de la tête brûlée qu'est Ari !
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Hé, hé, hé, je me suis bien éclatée en lisant ce roman.

La réputation du sieur Loevenbruck n'est plus à faire quand il s'agit de nous embarquer dans une aventure !

Et en plus ça se passe dans mon Paname adoré...Pas que, mais en bonne partie.

Alors, oui, c'est vrai, le héros manque totalement de maturité. Les méchants sont très méchants, et les gentils très gentils. Mais ça fait le job, et j'ai passé un très bon moment, et j'ai surtout découvert la raison d'être du titre :
« Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? » ou dans ce cas présent : « l'explication la plus simple est généralement la bonne ».

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Ari Mackenzie est analyste à la DCRG, spécialiste des affaires occultes et sectaires. Il a un tempérament explosif hérité de sa précédente activité professionnelle. Dans son service, il est assez controversé et avec la fusion prochaine avec la DST, son avenir semble incertain.
Ce trentenaire réfractaire aux nouvelles technologies, amoureux des livres mais également de sa libraire va devoir faire face à une affaire sans précédent.
En effet, lorsque l'architecte Paul Cazo, meilleur ami de son père et mentor fait appel à lui, Ari sent la menace à travers le téléphone. Il arrive cependant trop tard, son ami est retrouvé mort dans son appartement, et son assassin lui a fait subir d'atroces tortures.
Commence alors une véritable chasse à ce tueur qui n'en est pas à son premier coup d'essai.

Je remercie Laehb80 qui m'a fait ressortir ce roman qui dormait dans ma Pal depuis un certain temps. J'ai découvert il y a quelques mois, l'auteur à travers J'irai tuer pour vous. J'avoue que j'ai préféré ce roman d'un genre qui me correspond mieux.
Celui-ci est sans temps morts, le rythme y est soutenu. Les actions et les rebondissements s'enchainent au fil des pages. de plus les chapitres courts et la plume fluide, font que l'on referme ce livre s'en sans rendre compte.
J'ai apprécié le coté historique et les recherches de l'auteur sur des sujets peu souvent abordés comme le compagnonnage, les carnets de Villard de Honnecourt ou encore la société du Vril.
Il est vrai que le personnage d'Ari est la copie conforme du héros récurrent mais en même temps je trouve qu'il a une double personnalité. Il est tête brulée mais sentimental, attentionné avec son chat, réfractaire à l'autorité mais respectueux envers son supérieur hiérarchique, coureur de jupons, peur de l'engagement, entouré de femmes (ex petites amies) toutes prêtes à lui rendre service, amoureux et peureux de l'avouer. Sous son personnage de tête à claques et de dur à cuire, il garde un coté attachant car il cache une grande sensibilité, un grand coeur malgré tout.

Ce roman est le premier d'une trilogie, mais pour ma part, malgré quelques flottements sur divers points comme la santé de son père et sa réelle implication, son avenir au sein des RG et sa vie avec Lola, je n'ai pas ressenti la nécessité absolue de poursuivre. Cependant j'ai passé un bon moment avec ce livre et par conséquent, lorsque l'occasion se présentera, je n'hésiterai pas à lire la suite des aventures de cet agent hors norme.
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Ari Mackenzie, analyste aux Renseignements Généraux et spécialiste de l'étude des sectes, reçoit un message inquiétant de Paul Cazo, un ami de son père. Quand Il se rend au domicile de Paul, il le retrouve sauvagement assassiné. Dès lors, Ari n'aura de cesse de retrouver l'assassin.

J'avais entendu parler de ce roman comme étant un « Da Vinci Code à la française ». C'est vrai qu'on retrouve dans le Rasoir d'Ockham les mêmes ingrédients : une enquête policière sur des meurtres en série, mêlant sociétés secrètes et chasse au trésor sur une trame de fond historique et ésotérique. Les ressemblances sont grandes. Pourtant, j'ai largement préféré ce roman à celui de Dan Brown.

Henri Loevenbruck a su trouver le bon dosage entre enquête, action et digressions historiques. L'histoire est rythmée, alternant moments calmes et temps forts jusqu'au dénouement. Les chapitres, courts, s'enchainent rapidement et chaque révélation donne envie de tourner une page de plus.
Malgré ce rythme effréné, l'auteur n'oublie pas de développer ses personnages. Les passages mettant en relation Ari et son entourage renforcent l'empathie sans alourdir le récit. J'ai trouvé très touchantes les scènes avec Ari et son père.

J'aurais néanmoins quelques reproches à formuler. le côté casse-cou d'Ari frise parfois l'inconscience pour sa vie, mais également celle de son entourage.
J'ai également ressenti une certaine frustration sur la fin, mais je compte sur les tomes suivants pour satisfaire ma curiosité.

Car les aventures d'Ari Mackenzie se poursuivent sur deux autres tomes : Les Cathédrales du vide et le Mystère Fulcanelli, que je compte bien lire prochainement.
Lien : http://lenainloki2.canalblog..
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Le rasoir d'Ockham est l'exemple même d'un page turner et la définition parfaite de ce que j'appelle "un livre qui vous fait passer un bon moment".

Le personnage principal se voit confronté à une double énigme : qui est le tueur qui assassine des gens de manière particulièrement atroce - mais toujours de la même manière - au rythme d'un meurtre tous les deux jours, dans des endroits aussi éloignés les uns des autres que Lausanne, Reims ou la région de Naples ?

Que sont ces mystérieux morceaux de parchemin, dont l'origine remonte au XIIIè siècle, et qui sont comme les pièces d'un puzzle qu'il faut reconstituer pour avoir enfin tous les éléments de la charade qui révèlera un incroyable secret venu du fond des âges ?

Henri Loevenbruck nous entraîne dans une époustouflante chasse au trésor, dans la lignée de L'énigme d'Alexandrie de Steve Berry ou Du Livre des morts de Glenn Cooper (mais en mieux).

J'ai particulièrement apprécié la progression de la résolution de l'énigme historique, moins les courses poursuites et autres fusillades. Mais si vous aimez autant les unes que les autres, ce livre est fait pour vous.
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Je poursuis ma découverte de l'univers de Henri Loevenbruck par la trilogie Mackenzie… Dans le premier volet, le Rasoir d'Ockham, l'auteur mêle avec brio interprétation de faits historiques, thriller, occultisme et sentiments…

Rien de vraiment nouveau dans le genre : une vieille énigme ayant un fond de vérité (le maître d'oeuvre Villard de Honnecourt a réellement existé), un analyste atypique et controversé des Renseignements Généraux confronté à une étrange affaire de meurtres rituels en séries, des personnes qui lui sont chères mêlées à l'enquête, des alliances improbables, des courses poursuites… etc. Mais, avec Henri Loevenbruck un tel ensemble fonctionne au-delà de l'imaginable pour qui accepte le pacte de lecture…
Au sujet du titre, il faut toujours garder en mémoire que le principe élaboré par le philosophe franciscain Guillaume d'Ockham au XIVème siècle est une ode à la simplicité : « il est inutile d'accomplir par un plus grand nombre de moyens ce qu'un nombre moindre de moyens suffit à produire. […] Quand des choses doivent rendre vraie une proposition, si deux choses suffisent à produire cet effet, il est superflu d'en mettre trois ». Mais attention ! simplicité et économie ne signifient pas simplification à outrance… Nous sommes, en effet, en présence d'un beau pavé riches en péripéties et hypothèses… ; que chaque lecteur(trice) se débrouille donc comme il(elle) le peut avec ce raisonnement et le médite à la fin du livre.

L'écriture est savamment maitrisée dans un chapitrage court qui permet l'alternance des situations et des points de vue ; c'est rythmé, sans le moindre temps mort, très visuel aussi, cinématographique. En même temps, les personnages sont travaillés, complexes, attachants… J'ai passé un excellent moment en leur compagnie, m'intéressant à certains plus qu'à d'autres ; ainsi, Ari, avec son faux air de Georges Clooney, m'agace un peu... tandis que je m'identifie un peu à Lola…
Ma récente rencontre avec l'auteur m'a permis de mieux comprendre son rapport à l'écriture : encore une fois, je salue l'important travail de documentation et de recherche, la complexité du plan du récit et surtout, je mesure mieux l'importance du personnage de la libraire aux côtés d'Ari : « un fantasme d'écrivain » ?...
Henri Loevenbruck, nous emmène, nous entraine, ne nous laisse pas souffler et ne perd jamais de vue que ses lecteurs pourraient se fatiguer à suivre Ari Mackenzie ; mais il a l'art et la manière de veiller à ne jamais les laisser se perdre… Ainsi, par exemple, pour ce qui me concerne à titre personnel, je me souviens d'un moment précis ou j'ai pensé tout haut : « non, mais là Henri, c'est pas possible… Ari a été sévèrement blessé il y a à peine quelques pages et vous le faites donner l'assaut, se hisser sur une mezzanine avec une clavicule que je croyais fracturée (je me souviens très bien que l'os avait craqué… et je sais de quoi je parle parce que, moi-même quand je me suis explosée l'épaule, je ne pouvais plus lever le bras…), c'est pas crédible… » ; et bien, juste à cet instant où je bloquais un peu sur la plausibilité du récit, l'auteur fait référence à la douleur insupportable ressentie par son héros… Trop fort !

De ce roman foisonnant, je retiendrai, sans ordre ou hiérarchie particulière… :
- Les bases historiques,
- L'occultisme et les arcanes du pouvoir : franc-maçonnerie et compagnonnage… entre autres,
- Les références littéraires, cinématographiques,
- L'action, les bastons, les assauts…,
- le sens des détails,
- L'hiver et la neige…
- Un engrenage parfait…
- …

À la fin, Henri Loevenbruck nous dit « à suivre »… Pour ma part, c'est déjà fait : j'ai entamé Les Cathédrales du vide, toujours en livre audio lu par François Montagut, un vrai bonheur…
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La série Ari Mackenzie comporte, pour le moment, trois romans. J'avais commencé par le troisième et me voilà à terminer le premier. Il n'y a cependant pas de dérangement à n'avoir pas suivi l'ordre académique. le lecteur fait donc connaissance avec ce flic, atypique bien sur, et toujours borderline. Il est le spécialiste des sectes au sein du renseignement français, mais dans le cas présent c'est la mort d'un proche qui le fait se jeter inconditionnellement dans ce tourbillon ésotérique et historique. On y rencontre des néo-nazis et des anciens compagnons du devoir qui tentent de leur échapper. Un rythme soutenu au cours de ses 446 pages, beaucoup de blessures physiques et morales pour Ari et son « garde du corps », une quête et une chasse au trésor pour des manuscrits du moyen-âge. Tout y est hyper documenté pour notre plus grand plaisir. A la fois roman d'aventure et thriller, à ne surtout pas bouder car le dépaysement y est assuré. Bref j'ai aimé et je reprendrai bien un petit tome 2 pour la route …
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Ari Mackenzie est un flic un peu atypique qui enquête sur les sectes au sein d'une brigade spéciale où il est… tout seul. le jour où le meilleur ami de son père est retrouvé mort alors qu'il l'avait appelé à l'aide, Ari se retrouve plongé bien malgré lui au coeur d'une enquête bien dangereuse liée à un manuscrit du 13e siècle, les carnet de Villard de Honnecourt, dont des pages manquantes refont mystérieusement surface à mesure qu'Ari progresse…

Ma première expérience de lecture avec Henri Loevenbruck, il n'y a pas si longtemps, avait été concluante. Donc, quand je suis tombée sur ce roman en farfouillant dans mon appli d'audiolivres, je n'ai pas hésité. Et je ne suis pas déçue ! Un fond historique bien développé, une belle énigme à résoudre, juste ce qu'il faut d'ésotérisme, des sociétés occultes, des meurtres, du suspense, un héros intelligent, quelque peu à l'écart de son temps, qui ne cache pas ses faiblesses et qui ne lâche rien, voilà de quoi rendre ce roman vraiment intéressant ! Et puis, il faut le reconnaitre : c'est réellement bien écrit ! Henri Loevenbruck a réellement beaucoup de talent, j'apprécie vraiment son style à la fois recherché et accessible.

Je me suis réellement laissé happer par l'intrigue qui va de rebondissements en retournements de situations, tantôt de manière haletante, tantôt en piétinant. L'enquête, la quête en fait, que mène Ari est une course contre la montre pour stopper un tueur en série et un groupe d'illuminés mais aussi une quête de soi, qui l'emmène à sonder ses propres sentiments. Je me sens un peu frustrée par le « à suivre » qui clôt le roman mais qu'importe ! Cela veut dire que j'aurais encore l'occasion de vivre d'autres enquêtes aux côtés d'Ari Mackenzie.
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